Investing.com - Les options sur le brut ont subi un léger contretemps ce vendredi matin, les résultats économiques mitigés dévoilés hier nuisant à la confiance des investisseurs, tandis qu'une interruption des livraisons dans le Midwest américain les tirait vers le haut.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 92.44 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.08%.
La Banque de Réserve Fédérale de Philadelphie a en effet révélé que son indice manufacturier avait engrangé 7.6 points pour se situer à 5.7 pour ce mois-ci, au lieu des -1.9 du précédent.
Les experts n'espéraient pourtant pas le voir en prendre plus de 2.9 pour se hisser à 1 pour la période considérée.
Le département d'état au travail américain avait auparavant révélé que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage au cours de la semaine achevée le 13 octobre avait augmenté de 46 000 unités pour en totaliser 388 000 après ajustement saisonnier, alors qu'une augmmentation de 23 000 pour un total de 365 000 était envisagée.
Les 385 000 de la précédente ont également été revus à la hausse de 339 000, la valeur la plus basse depuis février 2008, vers 342 000.
Mais les cours n'ont pas plongé, après que l'opérateur TransCanada ait fermé l'oléoduc Keystone afin de procéder à des réparations, déclarant avoir détecté une "anomalie minime" dans sa partie reliant les états du Missouri et de l'Illinois.
Des informations de source goouvernementale avaient aussi montré en cours de semaine que l'augmentation de l'appétit des Etats-Unis avait été contrebalancée par un mouvement similaire des approvisionnements.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Tous les yeux étant désormais braqués vers la conclusion du sommet de l'UE, bien qu'aucune annonce marquante de la part de l'Espagne ou de la Grèce ne soit au programme.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont fléchi de 0.02% pour glisser à 112.43 USD du baril dans le même temps, soit 19.99 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 92.44 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.08%.
La Banque de Réserve Fédérale de Philadelphie a en effet révélé que son indice manufacturier avait engrangé 7.6 points pour se situer à 5.7 pour ce mois-ci, au lieu des -1.9 du précédent.
Les experts n'espéraient pourtant pas le voir en prendre plus de 2.9 pour se hisser à 1 pour la période considérée.
Le département d'état au travail américain avait auparavant révélé que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage au cours de la semaine achevée le 13 octobre avait augmenté de 46 000 unités pour en totaliser 388 000 après ajustement saisonnier, alors qu'une augmmentation de 23 000 pour un total de 365 000 était envisagée.
Les 385 000 de la précédente ont également été revus à la hausse de 339 000, la valeur la plus basse depuis février 2008, vers 342 000.
Mais les cours n'ont pas plongé, après que l'opérateur TransCanada ait fermé l'oléoduc Keystone afin de procéder à des réparations, déclarant avoir détecté une "anomalie minime" dans sa partie reliant les états du Missouri et de l'Illinois.
Des informations de source goouvernementale avaient aussi montré en cours de semaine que l'augmentation de l'appétit des Etats-Unis avait été contrebalancée par un mouvement similaire des approvisionnements.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Tous les yeux étant désormais braqués vers la conclusion du sommet de l'UE, bien qu'aucune annonce marquante de la part de l'Espagne ou de la Grèce ne soit au programme.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont fléchi de 0.02% pour glisser à 112.43 USD du baril dans le même temps, soit 19.99 USD de mieux que leurs homologues américaines.