Investing.com - Les options sur le brut étaient en net recul ce lundi, les investisseurs boudant les valeurs les plus risquées à l'approche de la date-butoir à laquelle la Grèce devra décider d'accepter ou non les conditions imposées par son second plan de secours.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.67 USD le baril en début de séance européenne, dégringolant de 1.17%.
Ils avaient auparavant culminé à 97.77 USD, leur cours le plus élevé du jour, et touché le fond à 96.63.
Les dirigeants politiques grecs devaient se rencontrer en cours de journée pour tenter de trouver un accord sur les conditions exigées par l'Union Européenne, la Banque Centrale Européenne et de Fonds Monétaire International, afin de pouvoir bénéficier des 130 milliards d'euros du nouveau plan de sauvetage.
Lucas Papademos, premier ministre du pays, avait déclaré en fin de semaine que les membres du gouvernement de coalition en avaient accepté certaines, mais que d'autres restaient à traiter.
L'inquiétude vis-a-vis de la nation hellène a fait oublier les bons chiffres de l'emploi américain, qui montraient la création de 243 000 emplois non agricoles pour le mois dernier, leur meilleure performance en neuf mois, tirant le taux de chômage vers un plancher des trois dernières années à 8.3%.
Cette nouvelle avait fait flamber les prix, dans l'espoir que l'économie florissante demande davantage d'or noir et de ses sous-produits pour alimenter sa croissance.
Les cours demeuraient toutefois soutenus par les tensions au Moyen-Orient, l'Iran continuant à rappeler sa capacité d'intervention militaire en cas d'escalade de la conctroverse visant à lui faire abandonner son programme nucléaire.
Le commandant adjoint des gardiens de la révolution iranienne a déclaré hier que Téhéran exercerait des représailles contre tout pays servant de base à des attaques contre son territoire.
Les observateurs surveillaient aussi l'évolution de la situation au Nigeria, après qu'un groupe de militants armés ait attaqué en fin de semaine un oléoduc contrôlé par la compagnie pétrolière italienne Eni SpA, laquelle a du coup avoué la perte de près de 4 000 barils quotidiens de sa production.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont reculé de 0.59% pour descendre à 113.88 USD du baril dans le même temps, soit 17.21 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'écart entre les deux se dirige vers la partie haute de la fourchette comprise entre son plus haut niveau de tous les temps à 20 USD et son plancher historique à 1 USD.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.67 USD le baril en début de séance européenne, dégringolant de 1.17%.
Ils avaient auparavant culminé à 97.77 USD, leur cours le plus élevé du jour, et touché le fond à 96.63.
Les dirigeants politiques grecs devaient se rencontrer en cours de journée pour tenter de trouver un accord sur les conditions exigées par l'Union Européenne, la Banque Centrale Européenne et de Fonds Monétaire International, afin de pouvoir bénéficier des 130 milliards d'euros du nouveau plan de sauvetage.
Lucas Papademos, premier ministre du pays, avait déclaré en fin de semaine que les membres du gouvernement de coalition en avaient accepté certaines, mais que d'autres restaient à traiter.
L'inquiétude vis-a-vis de la nation hellène a fait oublier les bons chiffres de l'emploi américain, qui montraient la création de 243 000 emplois non agricoles pour le mois dernier, leur meilleure performance en neuf mois, tirant le taux de chômage vers un plancher des trois dernières années à 8.3%.
Cette nouvelle avait fait flamber les prix, dans l'espoir que l'économie florissante demande davantage d'or noir et de ses sous-produits pour alimenter sa croissance.
Les cours demeuraient toutefois soutenus par les tensions au Moyen-Orient, l'Iran continuant à rappeler sa capacité d'intervention militaire en cas d'escalade de la conctroverse visant à lui faire abandonner son programme nucléaire.
Le commandant adjoint des gardiens de la révolution iranienne a déclaré hier que Téhéran exercerait des représailles contre tout pays servant de base à des attaques contre son territoire.
Les observateurs surveillaient aussi l'évolution de la situation au Nigeria, après qu'un groupe de militants armés ait attaqué en fin de semaine un oléoduc contrôlé par la compagnie pétrolière italienne Eni SpA, laquelle a du coup avoué la perte de près de 4 000 barils quotidiens de sa production.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont reculé de 0.59% pour descendre à 113.88 USD du baril dans le même temps, soit 17.21 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'écart entre les deux se dirige vers la partie haute de la fourchette comprise entre son plus haut niveau de tous les temps à 20 USD et son plancher historique à 1 USD.