Investing.com - Les options sur le brut se sont tranquillement hissées ce mercredi jusqu'à un pic de trois jours, soutenues par les espoirs d'accélération de la relance mondiale, dans l'expectative des informations hebdomadaires concernant l'état des réserves américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 97.2 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 97 USD, leur cours le plus bas du jour, et 97.36 USD, leur meilleur, leur plus forte valeur depuis le 15 février.
Les bourses mondiales étaient en effet en forme hier, Wall Street voyant le S&P 500 clôturer avec un pic de cinq ans, lequel suivait un rebond européen découlant d'une étude du centre de recherches économiques ZEW montrant hier matin que son baromètre de la confiance dans l'économie allemande s'était hissé en février à son plus haut niveau en 34 mois.
Les actions américaines et l'or noir marchaient main dans la main ces dernières semaines, le niveau des premières servant pour certains de baromètre de la confiance dans l'économie, et donc de précurseur des besoins pétroliers.
Les opérateurs du marché pétrolier surveillaient aussi l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 2.4 millions de barils la semaine dernière.
Leur publication aura du retard en raison du jour férié consacré lundi au président.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente prise de cap de la banque centrale des Etats-Unis reste au centre des débats, dans l'espoir d'y glaner cet après-midi des indices sur son attitude future.
Tout signe laissant entrevoir un changement de cap pourrait faire remonter l'étalon américain, et du même coup tirer vers le bas les matières premières libellées avec.
Les chiffres immobiliers des Etats-Unis dont la publication aura lieu dans l'après-midi serviront aussi à jauger l'état santé de leur économie.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour avril ont trébuché de 0.1% pour glisser à 117.46 USD du baril dans le même temps, soit 20.26 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Cet écart a diminué après qu'Enterprise Products Partners ait déclaré hier que le flux transporté par son oléoduc Seaway devrait augmenter, afin d'aider à réduire l'engorgement dans la région du Midwest.
Un haut responsable de l'opérateur a ainsi que celui-ci, qui évacue le pétrole depuis Cushing, en Ohio, devrait faire transiter 295 000 barils quotidiens entre février et mai, au lieu des 180 000 de janvier.
Il avait bondi de 150 vers 400 000 au début du premier mois de l'année, mais le transporteur a dû avouer le 31 que des goulets d'étranglement en limiteraient le débit jusqu'à la fin 2013.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 97.2 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 97 USD, leur cours le plus bas du jour, et 97.36 USD, leur meilleur, leur plus forte valeur depuis le 15 février.
Les bourses mondiales étaient en effet en forme hier, Wall Street voyant le S&P 500 clôturer avec un pic de cinq ans, lequel suivait un rebond européen découlant d'une étude du centre de recherches économiques ZEW montrant hier matin que son baromètre de la confiance dans l'économie allemande s'était hissé en février à son plus haut niveau en 34 mois.
Les actions américaines et l'or noir marchaient main dans la main ces dernières semaines, le niveau des premières servant pour certains de baromètre de la confiance dans l'économie, et donc de précurseur des besoins pétroliers.
Les opérateurs du marché pétrolier surveillaient aussi l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 2.4 millions de barils la semaine dernière.
Leur publication aura du retard en raison du jour férié consacré lundi au président.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente prise de cap de la banque centrale des Etats-Unis reste au centre des débats, dans l'espoir d'y glaner cet après-midi des indices sur son attitude future.
Tout signe laissant entrevoir un changement de cap pourrait faire remonter l'étalon américain, et du même coup tirer vers le bas les matières premières libellées avec.
Les chiffres immobiliers des Etats-Unis dont la publication aura lieu dans l'après-midi serviront aussi à jauger l'état santé de leur économie.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour avril ont trébuché de 0.1% pour glisser à 117.46 USD du baril dans le même temps, soit 20.26 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Cet écart a diminué après qu'Enterprise Products Partners ait déclaré hier que le flux transporté par son oléoduc Seaway devrait augmenter, afin d'aider à réduire l'engorgement dans la région du Midwest.
Un haut responsable de l'opérateur a ainsi que celui-ci, qui évacue le pétrole depuis Cushing, en Ohio, devrait faire transiter 295 000 barils quotidiens entre février et mai, au lieu des 180 000 de janvier.
Il avait bondi de 150 vers 400 000 au début du premier mois de l'année, mais le transporteur a dû avouer le 31 que des goulets d'étranglement en limiteraient le débit jusqu'à la fin 2013.