Investing.com - Les options sur le brut ont légèrement avancé ce mercredi, la confiance des investisseurs s'étant renforcée à l'approche de la décision cruciale de la plus haute juridiction allemande ainsi que de la réunion d'orientation de la Réserve Fédérale devant se conclure demain.
L'inventaire hebdomadaire très attendu des réserves américaines de brut et de ses dérivés, élaboré par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis était lui aussi l'objet de toutes les attentions.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 97.28 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.15%.
Ils avaient précédement oscillé dans une bande limitée située entre 96.86 USD, leur pire cours du jour, et 97.43, leur meilleur, leur plus haut sommet depuis le 6 septembre.
Les opérateurs attendaient avec optimisme l'arrêt de la cour constitutionnelle allemande à propos de la conformité ou non du Mécanisme Européen de Stabilité avec la loi fondamentale germanique.
Ce feu vert sera indispensable à l'application du programme d'achats de bons du trésor par le Banque Centrale Européenne annoncé la semaine passée et dénommés Transactions Monétaires Directes.
Les résultats de la réunion de son homologue américaine attendus jeudi faisaient aussi des gorges chaudes, sur fond de résurgence des rumeurs selon lesquelles elle pourrait donner cette semaine le coup d'envoi à une troisième série d'injections de liquidités afin de donner un coup de fouet à l'expansion économique.
L'espoir d'une telle opération a en effet enflé suite aux performances decevantes de l'emploi américain dévoilées vendredi et au discours tenu la semaine passée à Jackson Hole par Ben Bernanke, président de la Fed.
Les apports de capitaux ont généralement été nuisibles pour le billet vert, les matières premières libellées avec lui, parmi lesquelles l'or noir, ayant tendance à monter quand ce dernier descend.
L'étalon américain a aussi vu son recul aggravé par l'agence Moody's, avertissant hier qu'elle pourrait dégrader la notation triple A des Etats-Unis au cas où les négociations budgétaires pour 2013 ne devaient pas faire éclore de mesures susceptibles de réduire l'endettement national.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également au menu de l'après-midi, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Une diminution de 2.5 millions de barils pourle brut devrait ainsi être mise en évidence pour la semaine dernière, celle de l'essence ayant des chances de se limiter à 1.6 millions.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant une augmentation de 200 000 barils pour la période considérée, alors qu'un passage à vide de 2.1 millions était envisagé.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont gagné 0.15% pour grimper à 114.97 USD du baril dans le même temps, soit 17.69 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'inventaire hebdomadaire très attendu des réserves américaines de brut et de ses dérivés, élaboré par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis était lui aussi l'objet de toutes les attentions.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 97.28 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.15%.
Ils avaient précédement oscillé dans une bande limitée située entre 96.86 USD, leur pire cours du jour, et 97.43, leur meilleur, leur plus haut sommet depuis le 6 septembre.
Les opérateurs attendaient avec optimisme l'arrêt de la cour constitutionnelle allemande à propos de la conformité ou non du Mécanisme Européen de Stabilité avec la loi fondamentale germanique.
Ce feu vert sera indispensable à l'application du programme d'achats de bons du trésor par le Banque Centrale Européenne annoncé la semaine passée et dénommés Transactions Monétaires Directes.
Les résultats de la réunion de son homologue américaine attendus jeudi faisaient aussi des gorges chaudes, sur fond de résurgence des rumeurs selon lesquelles elle pourrait donner cette semaine le coup d'envoi à une troisième série d'injections de liquidités afin de donner un coup de fouet à l'expansion économique.
L'espoir d'une telle opération a en effet enflé suite aux performances decevantes de l'emploi américain dévoilées vendredi et au discours tenu la semaine passée à Jackson Hole par Ben Bernanke, président de la Fed.
Les apports de capitaux ont généralement été nuisibles pour le billet vert, les matières premières libellées avec lui, parmi lesquelles l'or noir, ayant tendance à monter quand ce dernier descend.
L'étalon américain a aussi vu son recul aggravé par l'agence Moody's, avertissant hier qu'elle pourrait dégrader la notation triple A des Etats-Unis au cas où les négociations budgétaires pour 2013 ne devaient pas faire éclore de mesures susceptibles de réduire l'endettement national.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également au menu de l'après-midi, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Une diminution de 2.5 millions de barils pourle brut devrait ainsi être mise en évidence pour la semaine dernière, celle de l'essence ayant des chances de se limiter à 1.6 millions.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant une augmentation de 200 000 barils pour la période considérée, alors qu'un passage à vide de 2.1 millions était envisagé.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont gagné 0.15% pour grimper à 114.97 USD du baril dans le même temps, soit 17.69 USD de mieux que leurs homologues américaines.