Investing.com - Les options sur le brut étaient en léger repli ce mardi, la controverse autour du plan de sauvetage chypriote et le large renforcement de la monnaie américaine ayant eu raison de la popularité des valeurs liées à la croissance.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 94.06 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.1%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 93.97 USD, leur cours le plus bas du jour, et 94.2 USD, leur valeur la plus élevée depuis le 25 février.
L'ambiance s'est en effet nettement assombrie après qu'il ait été annoncé que tous les clients des banques de Chypre devraient payer une taxe unique sur leurs fonds déposés en l'échange des 10 milliards d'euros de fonds de secours.
Cette décision constituait la première fois depuis le début de la crise de la dette en Europe que les épargnants se trouvaient devoir contribuer directement aux aides financières.
Le moral est toutefois revenu grâce à des bruits selon lesquels le gouvernement serait en train de préparer une nouvelle proposition au sujet de la taxation des comptes en banque afin d'alléger le fardeau des petits épargnants devant être votée aujourd'hui devant le parlement.
Le net regain de forme de l'étalon américain a contribué à la tendance, matières premières aux prix libellés avec ayant tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, prenait ainsi 0.15% pour se situer à 83.
Les opérateurs du marché pétrolier surveillaient aussi l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 2.3 millions de barils la semaine dernière.
La prise de cap de la Réserve Fédérale qui prendra fin demain était aussi sur toutes les lèvres, afin de connaître son point de vue sur les injections de capitaux.
L'inflation modeste dévoilée vendredi lui laissait en tout cas la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont dérapé de 0.4% pour glisser à 109.06 USD du baril dans le même temps, soit seulement 15 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus mince depuis la mi-janvier.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 94.06 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.1%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 93.97 USD, leur cours le plus bas du jour, et 94.2 USD, leur valeur la plus élevée depuis le 25 février.
L'ambiance s'est en effet nettement assombrie après qu'il ait été annoncé que tous les clients des banques de Chypre devraient payer une taxe unique sur leurs fonds déposés en l'échange des 10 milliards d'euros de fonds de secours.
Cette décision constituait la première fois depuis le début de la crise de la dette en Europe que les épargnants se trouvaient devoir contribuer directement aux aides financières.
Le moral est toutefois revenu grâce à des bruits selon lesquels le gouvernement serait en train de préparer une nouvelle proposition au sujet de la taxation des comptes en banque afin d'alléger le fardeau des petits épargnants devant être votée aujourd'hui devant le parlement.
Le net regain de forme de l'étalon américain a contribué à la tendance, matières premières aux prix libellés avec ayant tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, prenait ainsi 0.15% pour se situer à 83.
Les opérateurs du marché pétrolier surveillaient aussi l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 2.3 millions de barils la semaine dernière.
La prise de cap de la Réserve Fédérale qui prendra fin demain était aussi sur toutes les lèvres, afin de connaître son point de vue sur les injections de capitaux.
L'inflation modeste dévoilée vendredi lui laissait en tout cas la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont dérapé de 0.4% pour glisser à 109.06 USD du baril dans le même temps, soit seulement 15 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus mince depuis la mi-janvier.