Investing.com - Les options sur l'or se sont envolées ce jeudi vers leur plus haut niveau depuis la mi-décembre, prolongeant sa forte ascension de la veille après que la Réserve Fédérale se soit engagée hier à maintenir ses taux à leur plancher historique jusqu'à au moins la fin 2014, soit un an de plus qu'escompté auparavant.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 707.15 USD de l'once en début de séance européenne, engrangeant 0.41%.
Ils avaient précédement culminé à 1 714.75 USD, leur meilleur cours depuis le 9 décembre, avec 0.75% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 648.25, leur plancher du 25 janvier, et de rencontrer de la résistance à court tterme à 1 718.75, leur plafond du 9 décembre.
Leurs équivalent libellés en euros ont quand à eux bondi vers un pic à 1 307.45 euros, soit seulement 4.9% de moins que leur sommet historique de septembre à 1 374.7 euros.
En conclusion de ses deux jours de réunion d'orientation de la politique monétaire s'étant achevés mercredi, le comité fédéral des marchés ouverts a donc affirmé que la situation économique "imposera des taux exceptionnellement bas pour les fonds fédéraux, au moins jusqu'à fin 2014".
Cette affirmation vient remplacer la précédente selon laquelle ils avaient toutes les chances d'évoluer dans leur plus basse fourchette de tous les temps entre 0 et 0.25% jusqu'à mi-2013 au moins.
Ben Bernanke, son président, a ajouté qu'il "y a des arguments justifiant davantage d'interventionnisme", et même précisé que l'achat d'obligations était "une option certainement envisageable".
Ces propos, laissant entendre qu'une troisième série d'assouplissements quantitatifs n'était pas à exclure, ont déclenché une ruée vers l'or, semblable à celle qui avait suivi l'annonce par la Fed d'une seconde série d'injections de capitaux en novembre dernier, et qui avait poussé le métal précieux à battre des records lors de quatre séances d'affilée.
La banque centrale des Etats-Unis fournira le détail des débats de membres de son conseil directeur concernant les résultats économiques lorsque le compte-rendu détaillé de cette réunion sera dévoilé, le 15 février.
Elle a du coup maintenu ses taux d'intérêt aux abords de zéro, où ils ont été cantonnés depuis décembre 2008, et établi un objectif d'inflation à long terme à 2%.
La baisse des taux d'intérêt peut tirer l'or vers le haut, en diminuant le coût relatif du maintien d'une position sur ce dernier, qui n'offre toutefois aucune garantie de bénéfice comparable.
En zone euro, les négociations concernant les échanges de dettes entre la Grèce et ses créanciers devaient reprendre à Athènes en cours de journée.
Un consensus doit être dégagé pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche des fonds de secours, et évite ainsi un défaut de paiement dévastateur, car il ne dispose pas d'assez de liquidités pour rembourser les 14.5 milliards d'euros dûs le 20 mars.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 0.1% pour grimper à 33.15 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont raflé 1.1% pour se retrouver à 3.873 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 707.15 USD de l'once en début de séance européenne, engrangeant 0.41%.
Ils avaient précédement culminé à 1 714.75 USD, leur meilleur cours depuis le 9 décembre, avec 0.75% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 648.25, leur plancher du 25 janvier, et de rencontrer de la résistance à court tterme à 1 718.75, leur plafond du 9 décembre.
Leurs équivalent libellés en euros ont quand à eux bondi vers un pic à 1 307.45 euros, soit seulement 4.9% de moins que leur sommet historique de septembre à 1 374.7 euros.
En conclusion de ses deux jours de réunion d'orientation de la politique monétaire s'étant achevés mercredi, le comité fédéral des marchés ouverts a donc affirmé que la situation économique "imposera des taux exceptionnellement bas pour les fonds fédéraux, au moins jusqu'à fin 2014".
Cette affirmation vient remplacer la précédente selon laquelle ils avaient toutes les chances d'évoluer dans leur plus basse fourchette de tous les temps entre 0 et 0.25% jusqu'à mi-2013 au moins.
Ben Bernanke, son président, a ajouté qu'il "y a des arguments justifiant davantage d'interventionnisme", et même précisé que l'achat d'obligations était "une option certainement envisageable".
Ces propos, laissant entendre qu'une troisième série d'assouplissements quantitatifs n'était pas à exclure, ont déclenché une ruée vers l'or, semblable à celle qui avait suivi l'annonce par la Fed d'une seconde série d'injections de capitaux en novembre dernier, et qui avait poussé le métal précieux à battre des records lors de quatre séances d'affilée.
La banque centrale des Etats-Unis fournira le détail des débats de membres de son conseil directeur concernant les résultats économiques lorsque le compte-rendu détaillé de cette réunion sera dévoilé, le 15 février.
Elle a du coup maintenu ses taux d'intérêt aux abords de zéro, où ils ont été cantonnés depuis décembre 2008, et établi un objectif d'inflation à long terme à 2%.
La baisse des taux d'intérêt peut tirer l'or vers le haut, en diminuant le coût relatif du maintien d'une position sur ce dernier, qui n'offre toutefois aucune garantie de bénéfice comparable.
En zone euro, les négociations concernant les échanges de dettes entre la Grèce et ses créanciers devaient reprendre à Athènes en cours de journée.
Un consensus doit être dégagé pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche des fonds de secours, et évite ainsi un défaut de paiement dévastateur, car il ne dispose pas d'assez de liquidités pour rembourser les 14.5 milliards d'euros dûs le 20 mars.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 0.1% pour grimper à 33.15 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont raflé 1.1% pour se retrouver à 3.873 USD la livre dans le même temps.