Investing.com - Les options sur l'or étaient en léger retrait ce jeudi, discours très attendu vendredi de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, en raison de bruit portant sur de nouveaux accomodements possibles.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 658.65 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.12%.
Ils avaient précédement oscillé entre 1 655.05 USD, leur pire cours du jour, et 1 660.45 USD, leur meilleur, après avoir culminé à 1 677.45 USD le 27 août, leur valeur la plus élevée depuis le 13 avril.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 634.55 USD, leur plancher du 22 août, et rencontrer de la résistance à 1 677.45 USD, leur plafond du 27 août.
Les opérateurs préféraient en effet rester sur la touche dans l'expectative des propos du chef de la Fed, qui pourraient dissiper les rumeurs concernant la propension de celle-ci à procéder à des encouragements supplémentaires.
Ils précèderont en effet de peu les deux jours de réunion de la banque centrale américaine les 12 et 13 septembre, et Il avait déjà donné des indices à ce sujet lors des deux éditions précédentes.
Il avait été montré hier que les ventes de logements en cours aux Etats-Unis s'étaient élevées en juillet vers leur plus haut niveau depuis avril 2010, et une autre étude signalait que l'économie du pays avait davantage progressé au second trimestre qu'évalué au préalable.
Les évolutions du métal précieux constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par les Etats-Unis pour remplumer leur système financier.
L'envolée de ses cours a ainsi atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD après que la Fed ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait renouveler ses apports de capitaux.
Ils sont toutefois retombés de près de 7% depuis la fin février, sur fond de manque d'initiatives de sa part, et le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour leur contrepartie qu'est l'étalon américain.
Il se disait aussi que la Banque Centrale Européenne serait en train de travailler sur des mesures destinées à stabiliser les marchés obligataires régionaux en préparation de sa réunion du 6 septembre.
Mario Draghi, son président, a pour sa part déclaré au journal allemand Die Zeit que celle-ci devait employer pour la politique monétaire des "mesures exceptionnelles", tout en restant dans les limites de ses prérogatives.
Il aurait dû intervenir samedi lors de la conférence de Jackson Hole, au lendemain du discours de son homologue américain, mais a dû se décommander, invoquant sa "charge de travail".
Rome compte pour sa part émettre à la mi-journée des bons du trésor à échéance décennale, ce qui devrait constituer un test crucial de l'attractivité de sa dette.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste cet après-midi avec le volume des revenus individuels et le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs dérapé de 0.45% pour glisser à 30.77 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.5% pour se retrouver à 3.467 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 658.65 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.12%.
Ils avaient précédement oscillé entre 1 655.05 USD, leur pire cours du jour, et 1 660.45 USD, leur meilleur, après avoir culminé à 1 677.45 USD le 27 août, leur valeur la plus élevée depuis le 13 avril.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 634.55 USD, leur plancher du 22 août, et rencontrer de la résistance à 1 677.45 USD, leur plafond du 27 août.
Les opérateurs préféraient en effet rester sur la touche dans l'expectative des propos du chef de la Fed, qui pourraient dissiper les rumeurs concernant la propension de celle-ci à procéder à des encouragements supplémentaires.
Ils précèderont en effet de peu les deux jours de réunion de la banque centrale américaine les 12 et 13 septembre, et Il avait déjà donné des indices à ce sujet lors des deux éditions précédentes.
Il avait été montré hier que les ventes de logements en cours aux Etats-Unis s'étaient élevées en juillet vers leur plus haut niveau depuis avril 2010, et une autre étude signalait que l'économie du pays avait davantage progressé au second trimestre qu'évalué au préalable.
Les évolutions du métal précieux constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par les Etats-Unis pour remplumer leur système financier.
L'envolée de ses cours a ainsi atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD après que la Fed ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait renouveler ses apports de capitaux.
Ils sont toutefois retombés de près de 7% depuis la fin février, sur fond de manque d'initiatives de sa part, et le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour leur contrepartie qu'est l'étalon américain.
Il se disait aussi que la Banque Centrale Européenne serait en train de travailler sur des mesures destinées à stabiliser les marchés obligataires régionaux en préparation de sa réunion du 6 septembre.
Mario Draghi, son président, a pour sa part déclaré au journal allemand Die Zeit que celle-ci devait employer pour la politique monétaire des "mesures exceptionnelles", tout en restant dans les limites de ses prérogatives.
Il aurait dû intervenir samedi lors de la conférence de Jackson Hole, au lendemain du discours de son homologue américain, mais a dû se décommander, invoquant sa "charge de travail".
Rome compte pour sa part émettre à la mi-journée des bons du trésor à échéance décennale, ce qui devrait constituer un test crucial de l'attractivité de sa dette.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste cet après-midi avec le volume des revenus individuels et le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs dérapé de 0.45% pour glisser à 30.77 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.5% pour se retrouver à 3.467 USD la livre dans le même temps.