Investing.com - Les options sur l'or demeuraient en difficulté dans un creux de cinq semaines ce mardi matin, sur fond de rumeurs selon lesquelles la banque centrale des Etats-Unis compterait mettre un frein à ses 85 milliards d'USD d'injections mensuelles dès ce mois-ci.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.319,00 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0,1%, après avoir conclu hier à 1.317,80 USD, réalisant une poussée de 0,7%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette située entre 1.306,00 USD, leur pire cours journalier, et 1.321,40 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1.303,20 USD, leur plancher d'hier, et rencontrer de la résistance à 1.365,70 USD, leur plafond du 12 septembre.
Certains analystes s'attendent en effet à ce que la Réserve Fédérale réduise de 10 à 35 milliards d'USD ses acquisitions d'obligations, tout en maintenant les rachats d'hypothèques à leur volume actuel de 40 milliards.
Les cours avait repris du poil de la bête dans le sillage de l'abandon par l'ancien ministre des finances Lawrence Summers de la course à la succession de Ben Bernanke au poste de président de la Réserve Fédérale.
Il semblait en effet davantagge susceptible d'être partisan d'une fermeture des vannes bien plus rapide que Janet Yellen, sa principale rivale.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les prix semblent être partis pour subir près de 21% de pertes sur l'année, l'amélioration de la situation économique américaine laissant craindre un assèchement des perfusions d'argent frais.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs arraché 0,2% pour grimper à 22,05 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 0,15% pour se retrouver à 3,227 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.319,00 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0,1%, après avoir conclu hier à 1.317,80 USD, réalisant une poussée de 0,7%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette située entre 1.306,00 USD, leur pire cours journalier, et 1.321,40 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1.303,20 USD, leur plancher d'hier, et rencontrer de la résistance à 1.365,70 USD, leur plafond du 12 septembre.
Certains analystes s'attendent en effet à ce que la Réserve Fédérale réduise de 10 à 35 milliards d'USD ses acquisitions d'obligations, tout en maintenant les rachats d'hypothèques à leur volume actuel de 40 milliards.
Les cours avait repris du poil de la bête dans le sillage de l'abandon par l'ancien ministre des finances Lawrence Summers de la course à la succession de Ben Bernanke au poste de président de la Réserve Fédérale.
Il semblait en effet davantagge susceptible d'être partisan d'une fermeture des vannes bien plus rapide que Janet Yellen, sa principale rivale.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les prix semblent être partis pour subir près de 21% de pertes sur l'année, l'amélioration de la situation économique américaine laissant craindre un assèchement des perfusions d'argent frais.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs arraché 0,2% pour grimper à 22,05 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 0,15% pour se retrouver à 3,227 USD la livre dans le même temps.