Investing.com - Les options sur l'or étaient en recul pour la première fois en six jours ce vendredi, voyant leurs gains hebdomadaires rabotés alors que les investisseurs liquidaient leurs positions afin d'assurer leurs plus-values découlant de leur pic des cinq dernières semaines.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 744.65 USD de l'once en fin de séance asiatique, bondissant de toute de même 6.8% en cours de semaine, leur plus belle progression depuis janvier 2009.
Ils avaient engrangé près de 1.5% de jeudi alors que le dollar U.S. se trouvait largement affaibli par les progrès des dirigeants européens concernant la résolution de la crise de la dette souveraine affectant zone euro depuis deux ans.
Ils ont en effet convaincu les banques de consentir à une réduction de 50% de la valeur faciale de leurs obligations grecques, et se sont mis d'accord concernant l'augmentation des pouvoirs du fonds de secours régional et la recapitalisation des prêteurs de la région.
Cette annonce aura vu la monnaie unique s'envoler de près de 2% par rapport à l'étalon américain, pour établir un pic des sept semaines passées, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 1.79% de son côté pour se situer à 75.27, sa plus faible valeur depuis le 6 septembre.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les cours sont retombés le lendemain de leur pic des cinq dernières semaines à 1 752 USD avec le retour en grâce du dollar U.S. face à la concurrence, après avoir subi la veille sa plus forte plongée journalière en plus de deux ans.
Les cours sont toutefois restés soutenus après que l'agence de notation Fitch ait affirmé ce jour-là que la dévaluation des dettes grecques indiquerait un défaut de paiement, et que les coûts des emprunts italiens aient établi un sommet historique après une mise aux enchères d'obligations gouvernementales.
Les invetisseurs acquièrent souvent de l'or afin de se prémunir contre les incertitudes politiques et économiques.
La banque française Société Générale a pour sa part déclaré vendredi qu'à court terme, "les marchés vont se concentrer sur la manière dont les banques centrales du monde vont passer d'une politique neutre ou dure à davantage de souplesse, voire d'agressivité".
Elle a précisé dans son article: "L'or devrait remmonter lentement, et bondira en cas de décisions politiques majeures, notamment l'annonce d'une troisième série d'injections de capitaux."
La forte demande physique de l'Inde, premier consommateur mondial, a continué à tirer les prix vers le haut, alors que diwali, un des festivals indiens les plus propices, avait démarré en début de semaine.
Les futures sur l'argent pour décembre se sont par ailleurs envolées de 11% pour grimper à 35.29 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 12.8% pour se retrouver à 3.716 USD la livre dans le même temps, leur plus haute valeur en cinq semaines.
Ces derniers ont repris des couleurs avec la dissipation de la peur d'un "atterrissage forcé" de la croissance chinoise, l'optimisme concernant l'accord de l'Union Européenne et la grève en cours dans la mine indonésienne de Grasberg de Freeport McMoran Copper & Gold contribuant à stimuler les cours.
Les investisseurs guetteront avec impatience la réunion d'élaboration de la politique monétaire de la Réserve Fédérale de mercredi, afin d'y déceler des indices d'assouplissements futurs, ainsi que les informations sur la masse salariale non agricole du pays de vendredi.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 744.65 USD de l'once en fin de séance asiatique, bondissant de toute de même 6.8% en cours de semaine, leur plus belle progression depuis janvier 2009.
Ils avaient engrangé près de 1.5% de jeudi alors que le dollar U.S. se trouvait largement affaibli par les progrès des dirigeants européens concernant la résolution de la crise de la dette souveraine affectant zone euro depuis deux ans.
Ils ont en effet convaincu les banques de consentir à une réduction de 50% de la valeur faciale de leurs obligations grecques, et se sont mis d'accord concernant l'augmentation des pouvoirs du fonds de secours régional et la recapitalisation des prêteurs de la région.
Cette annonce aura vu la monnaie unique s'envoler de près de 2% par rapport à l'étalon américain, pour établir un pic des sept semaines passées, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 1.79% de son côté pour se situer à 75.27, sa plus faible valeur depuis le 6 septembre.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les cours sont retombés le lendemain de leur pic des cinq dernières semaines à 1 752 USD avec le retour en grâce du dollar U.S. face à la concurrence, après avoir subi la veille sa plus forte plongée journalière en plus de deux ans.
Les cours sont toutefois restés soutenus après que l'agence de notation Fitch ait affirmé ce jour-là que la dévaluation des dettes grecques indiquerait un défaut de paiement, et que les coûts des emprunts italiens aient établi un sommet historique après une mise aux enchères d'obligations gouvernementales.
Les invetisseurs acquièrent souvent de l'or afin de se prémunir contre les incertitudes politiques et économiques.
La banque française Société Générale a pour sa part déclaré vendredi qu'à court terme, "les marchés vont se concentrer sur la manière dont les banques centrales du monde vont passer d'une politique neutre ou dure à davantage de souplesse, voire d'agressivité".
Elle a précisé dans son article: "L'or devrait remmonter lentement, et bondira en cas de décisions politiques majeures, notamment l'annonce d'une troisième série d'injections de capitaux."
La forte demande physique de l'Inde, premier consommateur mondial, a continué à tirer les prix vers le haut, alors que diwali, un des festivals indiens les plus propices, avait démarré en début de semaine.
Les futures sur l'argent pour décembre se sont par ailleurs envolées de 11% pour grimper à 35.29 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 12.8% pour se retrouver à 3.716 USD la livre dans le même temps, leur plus haute valeur en cinq semaines.
Ces derniers ont repris des couleurs avec la dissipation de la peur d'un "atterrissage forcé" de la croissance chinoise, l'optimisme concernant l'accord de l'Union Européenne et la grève en cours dans la mine indonésienne de Grasberg de Freeport McMoran Copper & Gold contribuant à stimuler les cours.
Les investisseurs guetteront avec impatience la réunion d'élaboration de la politique monétaire de la Réserve Fédérale de mercredi, afin d'y déceler des indices d'assouplissements futurs, ainsi que les informations sur la masse salariale non agricole du pays de vendredi.