Forexpros - Les options sur l'or ont conclu en territoire baissier, s'effondrant jusqu'à leur pire niveau en 21 mois, subissant un recul technique après avoir plongé sous des seuils de soutien cruciau.
Elles se sont en effet trouvées boudées après que le compte-rendu de la plus récente réunion du son comité d'orientation de la Réserve Fédérale ait montré que certains de ses membres envisageaient une interruption prématurée de ses acquisitions d'actifs.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin dès cette année de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1.482,65 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, se laissant arracher 5,25% au cours de celle-ci.
Ils avaient auparavant touché le fond à 1.481,45 USD, leur plus bas niveau depuis le premier juillet 2011, et auront laissé filer pas moins de 6,2% sur la semaine.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1.478,05 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 1.516,80 USD, leur plafond du 5 juillet 2011.
Les cours avaient sombré suite au passage sous la barre des 1.535 puis des 1.520 USD, ayant entraîné une vague de ventes déclenchées par des signaux graphiques négatifs.
Ils se sont effondrés de près de 23% depuis leur sommet historique de 1.920,80 USD établi en septembre 2011, cnstituant ainsi un marché en déclin.
Cette tendance pourrait se poursuivre, certains analystes mettant en garde contre un recul vers les 1.434,15 USD, au niveau de sa moyenne fluctuante à 200 semaines.
La pression s'est accentuée, après que le procès-verbal du conseil d'orientation de mars de la banque centrale américaine ait signalé que plusieurs de ses membres estimaient que les assouplissements quantitatifs diminueraient vers le milieu de l'année, tandis que bien d'autres voyaient une telle hypothèse se réaliser plus tard, avec un arrêt en fin d'année.
L'un d'entre eux désirait même y mettre un terme immédiatement, et deux autres estimaient qu'ils pourraient se poursuivre l'anée prochaine.
L'annonce de la vente par l'état chypriote, forcement endetté, de "ses réserves d'or excédentaires" pour lever environ 400 millions d'euros n'a pas non plus contribué à alléger l'ambiance.
Le pays en détenait au 31 mars, d'après les informations du World Gold Council, 13,9 tonnes, évalués à 696 millions d'USD.
La tendance s'est encore accentuée après que Goldman Sachs ait rabaissé ses prévisions à trois mois depuis 1.615 vers 1.530 USD.
Celle à 12 mois s'est quand à elle trouvée sabrée de 1.550 jusqu'à 1.390 USD, au prétexte d'une diminution de l'attrait du métal précieux en tant que valeur refuge.
Les Etats-Unis publieront la semaine prochaine une avalanche de résultats économiques, avec notamment l'activité manufacturière, l'état du secteur du logement et l'inflation.
Ces données seront guettées avec avidité, afin de servir à jauger l'état santé de leur économie, et donc les chances d'un poursuite des injections de capitaux.
Une étude officielle avait montré lors de la dernière journée de cotation que les ventes au détail américaines avaient reculé de 0,4% en mars, leur pire déconvenue en neuf mois, alors qu'un frémissement de 0,1% était espéré.
Il était aussi à noter que la première estimation du moral des consommateurs établie par l'université du Michigan montrait une repli de 78,6 vers 72,3 pour avril, son niveau le plus faible depuis juillet.
Les futures sur l'argent pour mai avaient par ailleurs cédé 6,4%, pour conclure à 25,91 USD de l'once, subissant du coup un dérapage de 4,95% pour leur cinquième semaine négative d'affilée.
Elles avaient auparavant touché le fond à 25,86 USD, le pire valeur depuis le 18 novembre 2010.
Ce muovement s'est trouvé expliqué par un analyste de Barclays ayant déclaré dans un article que "la faible demande industrielle et le manque d'intérêt pour les investisseurs".
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles reculé de 2,9% lors de l'ultime session, pour sombrer à 3,334 USD la livre, ne se laissant arracher que 0,3% hebdomadaires.
Les nombreux résultats économiques que la Chine révèlera la semaine prochaine seront scrutés avec attention, afin d'évaluer son appétit pour le métal rouge, dont elle est le premier consommateur mondial.
Elle fera connaître demain son produit intérieur brut, qui sera suivi du volume des ventes au détail, de la production industrielle et des investissements en capital fixe.
Elles se sont en effet trouvées boudées après que le compte-rendu de la plus récente réunion du son comité d'orientation de la Réserve Fédérale ait montré que certains de ses membres envisageaient une interruption prématurée de ses acquisitions d'actifs.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin dès cette année de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1.482,65 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, se laissant arracher 5,25% au cours de celle-ci.
Ils avaient auparavant touché le fond à 1.481,45 USD, leur plus bas niveau depuis le premier juillet 2011, et auront laissé filer pas moins de 6,2% sur la semaine.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1.478,05 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 1.516,80 USD, leur plafond du 5 juillet 2011.
Les cours avaient sombré suite au passage sous la barre des 1.535 puis des 1.520 USD, ayant entraîné une vague de ventes déclenchées par des signaux graphiques négatifs.
Ils se sont effondrés de près de 23% depuis leur sommet historique de 1.920,80 USD établi en septembre 2011, cnstituant ainsi un marché en déclin.
Cette tendance pourrait se poursuivre, certains analystes mettant en garde contre un recul vers les 1.434,15 USD, au niveau de sa moyenne fluctuante à 200 semaines.
La pression s'est accentuée, après que le procès-verbal du conseil d'orientation de mars de la banque centrale américaine ait signalé que plusieurs de ses membres estimaient que les assouplissements quantitatifs diminueraient vers le milieu de l'année, tandis que bien d'autres voyaient une telle hypothèse se réaliser plus tard, avec un arrêt en fin d'année.
L'un d'entre eux désirait même y mettre un terme immédiatement, et deux autres estimaient qu'ils pourraient se poursuivre l'anée prochaine.
L'annonce de la vente par l'état chypriote, forcement endetté, de "ses réserves d'or excédentaires" pour lever environ 400 millions d'euros n'a pas non plus contribué à alléger l'ambiance.
Le pays en détenait au 31 mars, d'après les informations du World Gold Council, 13,9 tonnes, évalués à 696 millions d'USD.
La tendance s'est encore accentuée après que Goldman Sachs ait rabaissé ses prévisions à trois mois depuis 1.615 vers 1.530 USD.
Celle à 12 mois s'est quand à elle trouvée sabrée de 1.550 jusqu'à 1.390 USD, au prétexte d'une diminution de l'attrait du métal précieux en tant que valeur refuge.
Les Etats-Unis publieront la semaine prochaine une avalanche de résultats économiques, avec notamment l'activité manufacturière, l'état du secteur du logement et l'inflation.
Ces données seront guettées avec avidité, afin de servir à jauger l'état santé de leur économie, et donc les chances d'un poursuite des injections de capitaux.
Une étude officielle avait montré lors de la dernière journée de cotation que les ventes au détail américaines avaient reculé de 0,4% en mars, leur pire déconvenue en neuf mois, alors qu'un frémissement de 0,1% était espéré.
Il était aussi à noter que la première estimation du moral des consommateurs établie par l'université du Michigan montrait une repli de 78,6 vers 72,3 pour avril, son niveau le plus faible depuis juillet.
Les futures sur l'argent pour mai avaient par ailleurs cédé 6,4%, pour conclure à 25,91 USD de l'once, subissant du coup un dérapage de 4,95% pour leur cinquième semaine négative d'affilée.
Elles avaient auparavant touché le fond à 25,86 USD, le pire valeur depuis le 18 novembre 2010.
Ce muovement s'est trouvé expliqué par un analyste de Barclays ayant déclaré dans un article que "la faible demande industrielle et le manque d'intérêt pour les investisseurs".
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles reculé de 2,9% lors de l'ultime session, pour sombrer à 3,334 USD la livre, ne se laissant arracher que 0,3% hebdomadaires.
Les nombreux résultats économiques que la Chine révèlera la semaine prochaine seront scrutés avec attention, afin d'évaluer son appétit pour le métal rouge, dont elle est le premier consommateur mondial.
Elle fera connaître demain son produit intérieur brut, qui sera suivi du volume des ventes au détail, de la production industrielle et des investissements en capital fixe.