Investing.com - L'or a conclu avec un sursaut modeste, profitant du large affaiblissement du dollar U.S. et des signes de maintien pour une période non délimitée du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale.
Leurs évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin dès cette année de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 590.9 USD de l'once à la clôture des transactions, arrachant 0.1%, pour un total de tout de même 0.8% de gains pour leur seconde semaine positive d'affilée.
Ils avaient auparavant culminé à 1 597.8 USD, juste au-dessous de leur pic de deux semaines établi le 13 mars à 1 598 USD.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 560.6 USD, leur plancher du 8 mars, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 602.2 USD, leur plafond du 28 février.
Ils ont profité que le dollar U.S. ait conclu sur la sellette après que l'inflation américaine ait montré que son émettrice disposait d'une marge de manoeuvre suffisante pour poursuivre ses injections de liquidités.
Le département d'état au travail l'a en effet mesurée à 0.7% pour février, pour l'amener à une valeur annualisée de 2%.
Il était aussi à noter que celle des produits de base s'était aussi limitée à 2% d'une année sur l'autre.
Cette dernière, excluant les catégories volatiles de la nourriture et de l'énergie, est du coup généralement estimée plus fiable sur le long terme.
La Réserve Fédérale avait déclaré en décembre que des taux d'intérêt "exceptionnellement bas" étaient adaptés tant que les prévisions d'augmentation des prix ne dépassaient pas 2.5%.
Le métal précieux sert souvent de refuge contre les incertitudes économiques et sert de garde-fou contre l'inflation.
Le billet vert a aussi vu son blason terni après que l'université du Michigan ait vu son baromètre du moral des consommateurs plonger depuis une valeur définitive de 77.6 vers 71.8 pour mars, son niveau le plus bas depuis décembre 2011.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.6% de son côté pour finir la semaine à 82.34, sa valeur la plus faible depuis le 8 mars.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Du point de vue technique, on pouvait constater la présence d'une bande limitant ses variations entre environ 1 560 et 1 595 USD depuis le début du mois.
La prise de cap de la fed de mercredi sera parmi les points d'orgue de la semaine prochaine, sur fond de rumeurs d'une fin prématurée de ses acquisitions d'actifs.
Ben Bernanke, son président, tiendra ensuite une conférence de presse très attendue.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs cédé 0.2% lors de la dernière journée de cotation, pour conclure à 28.74 USD de l'once, subissant du coup un dérapage de 0.75% hebdomadaires.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles chuté de 0.6% lors de l'ultime session, pour sombrer à 3.517 USD la livre, n'arrachant que 0.1% au cours de la semaine.
Leurs évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin dès cette année de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 590.9 USD de l'once à la clôture des transactions, arrachant 0.1%, pour un total de tout de même 0.8% de gains pour leur seconde semaine positive d'affilée.
Ils avaient auparavant culminé à 1 597.8 USD, juste au-dessous de leur pic de deux semaines établi le 13 mars à 1 598 USD.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 560.6 USD, leur plancher du 8 mars, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 602.2 USD, leur plafond du 28 février.
Ils ont profité que le dollar U.S. ait conclu sur la sellette après que l'inflation américaine ait montré que son émettrice disposait d'une marge de manoeuvre suffisante pour poursuivre ses injections de liquidités.
Le département d'état au travail l'a en effet mesurée à 0.7% pour février, pour l'amener à une valeur annualisée de 2%.
Il était aussi à noter que celle des produits de base s'était aussi limitée à 2% d'une année sur l'autre.
Cette dernière, excluant les catégories volatiles de la nourriture et de l'énergie, est du coup généralement estimée plus fiable sur le long terme.
La Réserve Fédérale avait déclaré en décembre que des taux d'intérêt "exceptionnellement bas" étaient adaptés tant que les prévisions d'augmentation des prix ne dépassaient pas 2.5%.
Le métal précieux sert souvent de refuge contre les incertitudes économiques et sert de garde-fou contre l'inflation.
Le billet vert a aussi vu son blason terni après que l'université du Michigan ait vu son baromètre du moral des consommateurs plonger depuis une valeur définitive de 77.6 vers 71.8 pour mars, son niveau le plus bas depuis décembre 2011.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.6% de son côté pour finir la semaine à 82.34, sa valeur la plus faible depuis le 8 mars.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Du point de vue technique, on pouvait constater la présence d'une bande limitant ses variations entre environ 1 560 et 1 595 USD depuis le début du mois.
La prise de cap de la fed de mercredi sera parmi les points d'orgue de la semaine prochaine, sur fond de rumeurs d'une fin prématurée de ses acquisitions d'actifs.
Ben Bernanke, son président, tiendra ensuite une conférence de presse très attendue.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs cédé 0.2% lors de la dernière journée de cotation, pour conclure à 28.74 USD de l'once, subissant du coup un dérapage de 0.75% hebdomadaires.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles chuté de 0.6% lors de l'ultime session, pour sombrer à 3.517 USD la livre, n'arrachant que 0.1% au cours de la semaine.