Investing.com - Les options sur l'or ont conclu la semaine dans grande évolution, demeurant tirées vers le haut par l'attente de nouvelles initiatives stimulatrices de la part des principales banques centrales de la planète.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 615.75 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, ne cédant que 0.3% hebdomadaires.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 590.25 USD, leur plancher du 15 août, et rencontrer de la résistance à 1 626.05 USD, leur plafond du 13 août.
Ils se sont maintenus dans une fourchette étroite depuis le début du mois, les observateurs guettant de nouveaux signes concernant l'arrivée de nouveaux apports de liquidités destinés à relancer une croissance mondiale en perte de vitesse.
Il avait été montré vendredi que le baromètre de l'humeur des consommateurs établi par l'université du Michigan avait atteint un sommet des trois derniers mois, passant de 72.3 à 73.6 pour juillet, et dépassant largement les 72.4 attendus.
Le Conference Board a également constaté que son indice des signaux économiques prévisionnels avait davantage progressé dans le même temps qu'espéré.
Le volume des ventes et les chiffres de la production industrielle des Etats-Unis avaient déjà raboté en début de semaine les perspectives d'accomodements supplémentaires du côté de la Réserve Fédérale.
Mais la prudence demeurait toutefois de mise après que d'autres informations révélées le même jour aient fait savoir que le baromètre de l'activité des usines dans la région de New York avait fléchi en août pour la première fois depuis octobre 2011, et que celle autour de Philadelphie avait subi son quatrième revers mensuel d'affilée.
Les évolutions du métal précieux constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par les Etats-Unis pour remplumer leur système financier.
L'espoir de nouvelles mesures de la part de la Banque Centrale Européenne a par contre retrouvé des couleurs après que la chancelière allemande Angela Merkel ait affirmé que l'Allemagne était "sur la même ligne" que la Banque Centrale Européenne concernant la défense de la monnaie unique, alimentant les espoirs que cette dernière s'arrange bientôt afin de rabaisser les coûts des emprunts espagnols et italiens.
Les prix ont également été encouragés par l'attente d'assouplissements à court terme du côté de la Chine.
Wen Jiabao, premier ministre chinois, avait déclaré en début de semaine que le ralentissemeent de l'inflation "fournissait davantage de marge de manoeuvre concernant la politique monétaire" afin de donner un coup de fouet à la seconde économie mondiale.
Il a du coup amplifié rumeurs selon lesquelles les autorités de Pékin procèderaient à une nouvelle diminution des quotas prudentiels imposés aux banques ou des taux d'intérêt, les prix nationaux ayant connu en juillet leur plus faible augmentation des trente derniers mois.
La Banque Populaire de Chine a déjà par deux fois agi de la sorte sur chacun de ces leviers cette année, afin d'encourager les prêts et la croissance.
Les signes avant-coureurs d'injections de capitaux sont généralement bénéfiques pour le métal jaune, celui-ci étant considéré comme un accumulateur de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
La conférence annuelle des économiste et banquiers centraux, prévue fin août à Jackson Hole, dans le Wyoming, était du coup déjà sur toutes les lèvres.
Les réunions d'orientation de la BCE et de la Fed, prévues pour la première partie de Septembre, étaient également très attendues.
L'envolée de ses cours a ainsi atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD après que la Fed ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait renouveler ses apports de capitaux.
Ils sont toutefois retombés de près de 10% depuis la fin février, sur fond de manque d'initiatives de sa part, et le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour leur contrepartie qu'est l'étalon américain.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs fléchi de 0.15% pour glisser à 28.01 USD de l'once dans le même temps.
Eelles sur le cuivre à échéance identique ont par contre gagné 0.4% pour s'élever à 3.416 USD la livre.
Mercredi prochain verra la publication très attendue duprocès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, lequel pourrait contenir des indices sur la direction future de la politique monétaire.
Le pays surveillera aussi la divulgation d'études sur le secteur immobilier et la production manufacturière.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 615.75 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, ne cédant que 0.3% hebdomadaires.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 590.25 USD, leur plancher du 15 août, et rencontrer de la résistance à 1 626.05 USD, leur plafond du 13 août.
Ils se sont maintenus dans une fourchette étroite depuis le début du mois, les observateurs guettant de nouveaux signes concernant l'arrivée de nouveaux apports de liquidités destinés à relancer une croissance mondiale en perte de vitesse.
Il avait été montré vendredi que le baromètre de l'humeur des consommateurs établi par l'université du Michigan avait atteint un sommet des trois derniers mois, passant de 72.3 à 73.6 pour juillet, et dépassant largement les 72.4 attendus.
Le Conference Board a également constaté que son indice des signaux économiques prévisionnels avait davantage progressé dans le même temps qu'espéré.
Le volume des ventes et les chiffres de la production industrielle des Etats-Unis avaient déjà raboté en début de semaine les perspectives d'accomodements supplémentaires du côté de la Réserve Fédérale.
Mais la prudence demeurait toutefois de mise après que d'autres informations révélées le même jour aient fait savoir que le baromètre de l'activité des usines dans la région de New York avait fléchi en août pour la première fois depuis octobre 2011, et que celle autour de Philadelphie avait subi son quatrième revers mensuel d'affilée.
Les évolutions du métal précieux constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par les Etats-Unis pour remplumer leur système financier.
L'espoir de nouvelles mesures de la part de la Banque Centrale Européenne a par contre retrouvé des couleurs après que la chancelière allemande Angela Merkel ait affirmé que l'Allemagne était "sur la même ligne" que la Banque Centrale Européenne concernant la défense de la monnaie unique, alimentant les espoirs que cette dernière s'arrange bientôt afin de rabaisser les coûts des emprunts espagnols et italiens.
Les prix ont également été encouragés par l'attente d'assouplissements à court terme du côté de la Chine.
Wen Jiabao, premier ministre chinois, avait déclaré en début de semaine que le ralentissemeent de l'inflation "fournissait davantage de marge de manoeuvre concernant la politique monétaire" afin de donner un coup de fouet à la seconde économie mondiale.
Il a du coup amplifié rumeurs selon lesquelles les autorités de Pékin procèderaient à une nouvelle diminution des quotas prudentiels imposés aux banques ou des taux d'intérêt, les prix nationaux ayant connu en juillet leur plus faible augmentation des trente derniers mois.
La Banque Populaire de Chine a déjà par deux fois agi de la sorte sur chacun de ces leviers cette année, afin d'encourager les prêts et la croissance.
Les signes avant-coureurs d'injections de capitaux sont généralement bénéfiques pour le métal jaune, celui-ci étant considéré comme un accumulateur de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
La conférence annuelle des économiste et banquiers centraux, prévue fin août à Jackson Hole, dans le Wyoming, était du coup déjà sur toutes les lèvres.
Les réunions d'orientation de la BCE et de la Fed, prévues pour la première partie de Septembre, étaient également très attendues.
L'envolée de ses cours a ainsi atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD après que la Fed ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait renouveler ses apports de capitaux.
Ils sont toutefois retombés de près de 10% depuis la fin février, sur fond de manque d'initiatives de sa part, et le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour leur contrepartie qu'est l'étalon américain.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs fléchi de 0.15% pour glisser à 28.01 USD de l'once dans le même temps.
Eelles sur le cuivre à échéance identique ont par contre gagné 0.4% pour s'élever à 3.416 USD la livre.
Mercredi prochain verra la publication très attendue duprocès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, lequel pourrait contenir des indices sur la direction future de la politique monétaire.
Le pays surveillera aussi la divulgation d'études sur le secteur immobilier et la production manufacturière.