Investing.com - Les options sur l'or ont conclu sur une note positive, le programme d'apport de capitaux de la Réserve Fédérale restant au centre des débats, dans le sillage des chiffres de l'emploi et du secteur secondaire américain.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 668.15 USD de l'once à la clôture des échanges, prenant 0.4%.
Les prix avaient grimpé en début de journée jusqu'à 1 682.85 USD, et ont engrangé 0.55% hebdomadaires.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 653.35 USD, leur plancher du 28 janvier, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 694.75 USD, leur plafond du 23 janvier.
Ils ont bondi après que les performances peu reluisantes aient conforté l'idée du maintien des injections de liquidités de la banque centrale des Etats-Unis.
Le bureau des statistiques de l'emploi a en effet annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé 157 000 postes au cours du dernier mois de l'année, soit un peu moins que les 160 000 envisagés, et que le taux de chômage national avait augmenté sans prévenir, frémissant de 7.8 vers 7.9% sur la même période.
Mais cette poussée s'est trouvée freinée après qu'il ait été souligné que l'activité des industries des Etats-Unis avait atteint son meilleur niveau en neuf mois en janvier, alors que le moral de leurs consommateurs constituait lui aussi une bonne surprise.
L'institut de gestion des approvisionnements a quand à lui fait savoir que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du pays était remonté depuis 50.2 vers 53.1 pour le mois passé, dépassant largement les 50.6 espérés.
Le baromètre définitif de l'humeur des consommateurs établi conjointement par Thomson Reuters et l'université du Michigan est aussi remonté de 71.3 vers 73.8 dans le même temps, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 71.5.
Le département d'état au commerce avait fait savoir deux jours auparavant que l'économie nationale avait subi une contraction de 0.1% au quatrième trimestre, alors qu'une expansion de 1.1% était envisagée, entraînant une forte déception après les 3.1% d'avancée enregistrés lors du troisième.
La banque centrale américaine avait quand à elle rappelé mercredi qu'elle continuerait à procéder 85 milliards d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs "si les perspectives du marché de l'emploi ne montraient pas d'améliorations substantielles".
Elle a aussi assuré que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro tant que le chômage ne passerait pas sous les 6.5%.
Son programme d'assouplissement quantitatif est considéré par de nombreux observateurs comme une source majeure de liquidités, affaiblissant l'étalon américain et renforçant au contraire les produits bruts, parmi lesquells le métal jaune figure en bonne place.
Les prises de cap de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre seront les points d'orgue de la semaine prochaine.
Les informations de mardi concernant l'activité du secteur tertiaire des Etats-Unis ne seront pas oubliées, car tout signal positif ferait diminuer les chances que la planche à billets reprenne du service, renforçant du coup le vert, et pesant sur les matières premières libellées avec.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs grimpé de 1.5% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 31.83 USD de l'once, s'élevant de 2.05% hebdomadaires.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles bondi de 1.2% lors de l'ultime session, pour s'établir à 3.777 USD la livre, son meilleur niveau depuis le 5 octobre, empochant 3.15% au cours de la semaine.
Le métal prisé du domaine secondaire repris des couleurs grâce aux indications laissant entrvoir une accélération de la reprise mondiale.
L'indice définitif des directeurs des achats manufacturiers chinois établi par HSBC est remonté depuis 51.9 jusqu'à 52.3 pour janvier, sa plus haute valeur en 24 mois.
Celui du secteur manufacturier de la zone euro avait quand à lui frémi de 47.5 vers 47.9, subissant sa plus faible rétraction des 11 mois écoulés.
Le métal rouge est fortement dépendant des perspectives de croissance, en raison de son utilisation dans les industries et le batiment.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 668.15 USD de l'once à la clôture des échanges, prenant 0.4%.
Les prix avaient grimpé en début de journée jusqu'à 1 682.85 USD, et ont engrangé 0.55% hebdomadaires.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 653.35 USD, leur plancher du 28 janvier, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 694.75 USD, leur plafond du 23 janvier.
Ils ont bondi après que les performances peu reluisantes aient conforté l'idée du maintien des injections de liquidités de la banque centrale des Etats-Unis.
Le bureau des statistiques de l'emploi a en effet annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé 157 000 postes au cours du dernier mois de l'année, soit un peu moins que les 160 000 envisagés, et que le taux de chômage national avait augmenté sans prévenir, frémissant de 7.8 vers 7.9% sur la même période.
Mais cette poussée s'est trouvée freinée après qu'il ait été souligné que l'activité des industries des Etats-Unis avait atteint son meilleur niveau en neuf mois en janvier, alors que le moral de leurs consommateurs constituait lui aussi une bonne surprise.
L'institut de gestion des approvisionnements a quand à lui fait savoir que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du pays était remonté depuis 50.2 vers 53.1 pour le mois passé, dépassant largement les 50.6 espérés.
Le baromètre définitif de l'humeur des consommateurs établi conjointement par Thomson Reuters et l'université du Michigan est aussi remonté de 71.3 vers 73.8 dans le même temps, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 71.5.
Le département d'état au commerce avait fait savoir deux jours auparavant que l'économie nationale avait subi une contraction de 0.1% au quatrième trimestre, alors qu'une expansion de 1.1% était envisagée, entraînant une forte déception après les 3.1% d'avancée enregistrés lors du troisième.
La banque centrale américaine avait quand à elle rappelé mercredi qu'elle continuerait à procéder 85 milliards d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs "si les perspectives du marché de l'emploi ne montraient pas d'améliorations substantielles".
Elle a aussi assuré que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro tant que le chômage ne passerait pas sous les 6.5%.
Son programme d'assouplissement quantitatif est considéré par de nombreux observateurs comme une source majeure de liquidités, affaiblissant l'étalon américain et renforçant au contraire les produits bruts, parmi lesquells le métal jaune figure en bonne place.
Les prises de cap de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre seront les points d'orgue de la semaine prochaine.
Les informations de mardi concernant l'activité du secteur tertiaire des Etats-Unis ne seront pas oubliées, car tout signal positif ferait diminuer les chances que la planche à billets reprenne du service, renforçant du coup le vert, et pesant sur les matières premières libellées avec.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs grimpé de 1.5% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 31.83 USD de l'once, s'élevant de 2.05% hebdomadaires.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles bondi de 1.2% lors de l'ultime session, pour s'établir à 3.777 USD la livre, son meilleur niveau depuis le 5 octobre, empochant 3.15% au cours de la semaine.
Le métal prisé du domaine secondaire repris des couleurs grâce aux indications laissant entrvoir une accélération de la reprise mondiale.
L'indice définitif des directeurs des achats manufacturiers chinois établi par HSBC est remonté depuis 51.9 jusqu'à 52.3 pour janvier, sa plus haute valeur en 24 mois.
Celui du secteur manufacturier de la zone euro avait quand à lui frémi de 47.5 vers 47.9, subissant sa plus faible rétraction des 11 mois écoulés.
Le métal rouge est fortement dépendant des perspectives de croissance, en raison de son utilisation dans les industries et le batiment.