Investing.com - Les options sur l'or ont conclu sur une note positive, dans le sillage de déceptions sur le front de l'emploi américain confortant l'hypothèse d'une poursuite du soutien de la Réserve Fédérale à la fragile relance de la seconde économie mondiale.
Ben Bernanke, son président, a récemment déclaré qu'elle ne changerait pas de cap avant d'être certaine que la reprise puisse voler de ses propres ailes.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin dès cette année de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1.580,65 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, bondissant de 1,8% au cours de celle-ci.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.539,85 USD, leur plancher de 11 mois datant du 4 avril, et rencontrer de la résistanceà 1.604,25 USD, leur plafond du 2 avril.
Ils avaient repris l'offensive, après que le département d'état au travail américain ait constaté que l'économie nationale avait créé 88.000 postes en mars, leur pire performance depuis juin, soit nettement au-dessous des 200.000 espérés.
Il avait été montré que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de fléchir de 7,7 jusqu'à 7,6% en février, mais était imputable à davantage de sorties de la population active, le taux de participation chutant à 63,3%, son niveau le plus bas depuis 1979.
Ces mauvaises nouvelles ont du coup alimenté la crainte d'une perte de vitesse de la relance du marché du travail des Etats-Unis, faisant taire les bruits selon lesquels leur banque centrale compterait réduire son soutien à l'économie.
Elle avait auparavant rappelé son son engagement à maintenir ceux-ci à leurs plus bas niveaux historiques "au moins" jusqu'à ce qu'il y ait 6.5% de demandeurs d'emploi.
Mais le sursaut de vendredi n'a pas suffi à totalement juguler les 1% d'hémorragie hebdomadaire des cours.
Ils avaient en effet plongé jeudi dans un gouffre de 11 mois, le passage en début de semaine sous un seuil de soutien crucial ayant entraîné une vague de ventes déclenchées par des signaux graphiques négatifs.
Le compte-rendu de la dernière prise de cap de la Réserve Fédérale dont la publication aura lieu mercredi sera au centre des débats de la semaine prochaine, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait réduire son programme d'acquisitions d'actifs.
Les chiffres de la production industrielles de l'Allemagne et de la zone euro seront aussi surveillés de près, en raison de l'angoisse au sujet des perspectives éconmiques régionales.
La monnaie unique demeurait encore fragilisée par les craintes concernant Chypre ainsi que par l'impasse politique italienne.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs grimpé de 1,9% lors de la dernière journée de cotation, pour conclure à 27,26 USD de l'once, subissant du coup un dérapage de 3,5% hebdomadaires malgré ce sursaut.
Elles avaient touché le fond la veille à 26,58 USD, le pire valeur depuis le 12 juillet, un analyste de Barclays ayant déclaré le lendemain dans un article que "la faible demande industrielle et le manque d'intérêt pour les investisseurs" contribuaient à cette désaffection.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles reculé de 0,2% lors de l'ultime session, pour sombrer à 3,345 USD la livre, se laissant arracher 0,7% au cours de la semaine.
La journée de jeudi les avait vues déraper à 3,306 USD, leur plus bas niveau en huit mois.
La série de résultats économiques que la Chine dévoilera au cours de la semaine sera très attendue, afin de d'évaluer la force de la seconde économie mondiale, première demandeuse de métal rouge.
Ben Bernanke, son président, a récemment déclaré qu'elle ne changerait pas de cap avant d'être certaine que la reprise puisse voler de ses propres ailes.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin dès cette année de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1.580,65 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, bondissant de 1,8% au cours de celle-ci.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.539,85 USD, leur plancher de 11 mois datant du 4 avril, et rencontrer de la résistanceà 1.604,25 USD, leur plafond du 2 avril.
Ils avaient repris l'offensive, après que le département d'état au travail américain ait constaté que l'économie nationale avait créé 88.000 postes en mars, leur pire performance depuis juin, soit nettement au-dessous des 200.000 espérés.
Il avait été montré que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de fléchir de 7,7 jusqu'à 7,6% en février, mais était imputable à davantage de sorties de la population active, le taux de participation chutant à 63,3%, son niveau le plus bas depuis 1979.
Ces mauvaises nouvelles ont du coup alimenté la crainte d'une perte de vitesse de la relance du marché du travail des Etats-Unis, faisant taire les bruits selon lesquels leur banque centrale compterait réduire son soutien à l'économie.
Elle avait auparavant rappelé son son engagement à maintenir ceux-ci à leurs plus bas niveaux historiques "au moins" jusqu'à ce qu'il y ait 6.5% de demandeurs d'emploi.
Mais le sursaut de vendredi n'a pas suffi à totalement juguler les 1% d'hémorragie hebdomadaire des cours.
Ils avaient en effet plongé jeudi dans un gouffre de 11 mois, le passage en début de semaine sous un seuil de soutien crucial ayant entraîné une vague de ventes déclenchées par des signaux graphiques négatifs.
Le compte-rendu de la dernière prise de cap de la Réserve Fédérale dont la publication aura lieu mercredi sera au centre des débats de la semaine prochaine, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait réduire son programme d'acquisitions d'actifs.
Les chiffres de la production industrielles de l'Allemagne et de la zone euro seront aussi surveillés de près, en raison de l'angoisse au sujet des perspectives éconmiques régionales.
La monnaie unique demeurait encore fragilisée par les craintes concernant Chypre ainsi que par l'impasse politique italienne.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs grimpé de 1,9% lors de la dernière journée de cotation, pour conclure à 27,26 USD de l'once, subissant du coup un dérapage de 3,5% hebdomadaires malgré ce sursaut.
Elles avaient touché le fond la veille à 26,58 USD, le pire valeur depuis le 12 juillet, un analyste de Barclays ayant déclaré le lendemain dans un article que "la faible demande industrielle et le manque d'intérêt pour les investisseurs" contribuaient à cette désaffection.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles reculé de 0,2% lors de l'ultime session, pour sombrer à 3,345 USD la livre, se laissant arracher 0,7% au cours de la semaine.
La journée de jeudi les avait vues déraper à 3,306 USD, leur plus bas niveau en huit mois.
La série de résultats économiques que la Chine dévoilera au cours de la semaine sera très attendue, afin de d'évaluer la force de la seconde économie mondiale, première demandeuse de métal rouge.