Investing.com - Les options sur l'or ont fini par s'extraire d'une ornière plurihebdomadaire, pour finir sans évolutions notables, les résultats commerciaux guère reluisants des Etats-Unis sapant la crédibilité des rumeurs d'un durcissement monétaire imminent.
La Réserve Fédérale se réunira les 17 et 18 septembre afin d'en décider, après avoir pris le pouls de la conjoncture.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.326,10 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, se laissant arracher 0,35% au cours de celle-ci.
Ils avaient auparavant touché le fond à 1.304,80 USD, leur creux le plus profond depuis le 8 août, avec un passage à vide de 1,9%, après avir déjà dégringolé de 2,45% pour sombrer à 1.330,60 USD la veille.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.304,80 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.365,70 USD, leur plafond du 12 septembre.
Ils se sont du coup effondrés de 4,7% pour leur pire semaine depuis juin, nombre d'investisseurs s'en débarrassant dans l'expectative d'une réduction de voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels au cours de la semaine à venir.
Des opérations techniques ont accentué ce phénomène, suite au passage sous un seuil de soutien crucial ayant entraîné jeudi une vague de ventes déclenchées par des signaux graphiques négatifs.
Ils ont cependant émergé le lendemain de ce gouffre de cinq semaines, après que le département d'état au commerce américain ait mesuré 0,2% de ventes supplémentaires pour le mois passé, au lieu des 0,4% espérés.
L'évaluation préliminaire du moral des consommateurs établie par l'université du Michigan chutait quand à elle depuis 82,1 définitifs vers 76,8 pour septembre, son pire niveau en cinq mois.
Les créations de postes américaines inférieures aux espérances annoncées la semaine dernière pour août avaient déjà jeté un froid.
Ces contre-performances ont du coup semé le doute quand au moment où la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses d'acquisitions d'actifs.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur ses orientations futures.
Son président Ben Bernanke a récemment rappelé qu'elles dépendraient de la capacité de l'économie à encaisser le choc.
La prise de cap que la banque centrale des Etats-Unis effectuera mercredi demeurera bien évidemment au centre des débats, et la conférence de presse que son chef tiendra ensuite sera décortiquée en détail.
Les cours semblent être partis pour subir près de 22% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'un assèchement des perfusions d'argent frais.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs grignoté 0,4% lors de la dernière journée de cotation, pour se retrouver à 22,24 USD de l'once.
Elles subissaient tout de même un dérapage hebdomadaire de 6,85%.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles frémi de 0,35% lors de l'ultime session, pour se hisser à 3,21 USD la livre, reculant tout de même de 1,2% au cours de la semaine.
La Réserve Fédérale se réunira les 17 et 18 septembre afin d'en décider, après avoir pris le pouls de la conjoncture.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.326,10 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, se laissant arracher 0,35% au cours de celle-ci.
Ils avaient auparavant touché le fond à 1.304,80 USD, leur creux le plus profond depuis le 8 août, avec un passage à vide de 1,9%, après avir déjà dégringolé de 2,45% pour sombrer à 1.330,60 USD la veille.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.304,80 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.365,70 USD, leur plafond du 12 septembre.
Ils se sont du coup effondrés de 4,7% pour leur pire semaine depuis juin, nombre d'investisseurs s'en débarrassant dans l'expectative d'une réduction de voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels au cours de la semaine à venir.
Des opérations techniques ont accentué ce phénomène, suite au passage sous un seuil de soutien crucial ayant entraîné jeudi une vague de ventes déclenchées par des signaux graphiques négatifs.
Ils ont cependant émergé le lendemain de ce gouffre de cinq semaines, après que le département d'état au commerce américain ait mesuré 0,2% de ventes supplémentaires pour le mois passé, au lieu des 0,4% espérés.
L'évaluation préliminaire du moral des consommateurs établie par l'université du Michigan chutait quand à elle depuis 82,1 définitifs vers 76,8 pour septembre, son pire niveau en cinq mois.
Les créations de postes américaines inférieures aux espérances annoncées la semaine dernière pour août avaient déjà jeté un froid.
Ces contre-performances ont du coup semé le doute quand au moment où la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses d'acquisitions d'actifs.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur ses orientations futures.
Son président Ben Bernanke a récemment rappelé qu'elles dépendraient de la capacité de l'économie à encaisser le choc.
La prise de cap que la banque centrale des Etats-Unis effectuera mercredi demeurera bien évidemment au centre des débats, et la conférence de presse que son chef tiendra ensuite sera décortiquée en détail.
Les cours semblent être partis pour subir près de 22% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'un assèchement des perfusions d'argent frais.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs grignoté 0,4% lors de la dernière journée de cotation, pour se retrouver à 22,24 USD de l'once.
Elles subissaient tout de même un dérapage hebdomadaire de 6,85%.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles frémi de 0,35% lors de l'ultime session, pour se hisser à 3,21 USD la livre, reculant tout de même de 1,2% au cours de la semaine.