Investing.com - Les options sur l'or ont conclu la semaine à la peine pour la septième fois consécutive, plongeant dans un gouffre mensuel sur fond de rumeurs d'interruption imminente des injections de liquidités de la Réserve Fédérale.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Elles ont aussi été affectées par un influx de ventes automatiques découlant du passage des courbes au-dessous de seuils de soutien cruciaux.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1.357,75 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, se laissant arracher 2,1% au cours de celle-ci.
Ils avaient auparavant touché le fond à 1.353,85 USD, leur plus bas niveau depuis le 18 avril, avec un passage à vide de 2,4%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1.347,50 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.396,65 USD, leur plafond du 16 mai.
Ils se seront tout de même effondrés de 6,1% pour leur seconde semaine négative d'affilée.
Le retour en force de l'étalon américain aura amplifié la tendance, les matières premières aux prix libellés avec ayant tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grimpé de 0,5% de son côté pour se situer à 84,34, sa meilleure valeur depuis juillet 2010.
La devise des Etats-Unis a en effet repris des couleurs après que les belles performances de l'emploi des Etats-Unis aient laissé renaître les rumeurs de ralentissement des coups de fouets de leur banque centrale.
Celle-ci procède actuellementt à des acquisitions mensuelles de 85 milliards d'actifs, affaiblissant sa monnaie pour encourager la relance.
Il a en effet été montré que le moral des consommateurs avait fait pour mai la bonne surprise de grimper vers un sommet de six ans.
L'université du Michigan a ainsi vu son baromètre de la confiance des particuliers bondir depuis 76,4 vers 83,7 pour ce mois-ci, son plus haut niveau depuis 2007, au lieu des 78,0 espérés.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a quand à lui constaté que son indice des signaux économiques prévisionnels avait grimpé de 0,6% en avril, soit le triple des 0,2% anticipés par les experts.
Mais les perspectives techniques en déclin continuaient à tirer les cours vers le bas.
Ces derniers avaient dégringolé en avril, sombrant le 16 avril à 1.322,25 USD, leur plus bas niveau des 27 derniers mois, rebondissant ensuite le 3 mai jusqu'à 1.487,15 USD.
Ils n'ont toutefois pas réussi à repasser la barre psychologique des 1.500 USD malgré de nombreuses tentatives, dénotant un marché baissier.
Leur blason s'est aussi terni après que le milliardaire gestionnaire de fonds de pension George Soros ait stipula dans des documents trimestriels avoir diminué le volume de ses produits adossés au métal précieux au cours des trois premiers mois de l'année.
Il en était de même avec leurs équivalents établis par Blackrock et Northern Trust, soulignant la crainte que leur popularité serait en train de s'évanouir alors que les actions ne cessent de caracoler vers des sommets historiques.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la banque centrale américaine, dont la publication est prévue mercredi, sera au centre des débats, de même que les audiences concernant les prévisions économiques et la politique monétaire de son président Ben Bernanke.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs cédé 2,1% lors de la dernière journée de cotation, pour conclure à 22,19 USD de l'once, leur pire niveau de clôture depuis le 5 octobre 2010.
Il ont ainsi subi un dérapage hebdomadaire de 6,9%, amboîtant le pas à celles portant sur l'or.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles grignoté 0,6% lors de l'ultime session, pour s'élever à 3,316 USD la livre, se laissant malgré ce sursaut arracher 2,1% au cours de la semaine.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Elles ont aussi été affectées par un influx de ventes automatiques découlant du passage des courbes au-dessous de seuils de soutien cruciaux.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1.357,75 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, se laissant arracher 2,1% au cours de celle-ci.
Ils avaient auparavant touché le fond à 1.353,85 USD, leur plus bas niveau depuis le 18 avril, avec un passage à vide de 2,4%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1.347,50 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.396,65 USD, leur plafond du 16 mai.
Ils se seront tout de même effondrés de 6,1% pour leur seconde semaine négative d'affilée.
Le retour en force de l'étalon américain aura amplifié la tendance, les matières premières aux prix libellés avec ayant tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grimpé de 0,5% de son côté pour se situer à 84,34, sa meilleure valeur depuis juillet 2010.
La devise des Etats-Unis a en effet repris des couleurs après que les belles performances de l'emploi des Etats-Unis aient laissé renaître les rumeurs de ralentissement des coups de fouets de leur banque centrale.
Celle-ci procède actuellementt à des acquisitions mensuelles de 85 milliards d'actifs, affaiblissant sa monnaie pour encourager la relance.
Il a en effet été montré que le moral des consommateurs avait fait pour mai la bonne surprise de grimper vers un sommet de six ans.
L'université du Michigan a ainsi vu son baromètre de la confiance des particuliers bondir depuis 76,4 vers 83,7 pour ce mois-ci, son plus haut niveau depuis 2007, au lieu des 78,0 espérés.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a quand à lui constaté que son indice des signaux économiques prévisionnels avait grimpé de 0,6% en avril, soit le triple des 0,2% anticipés par les experts.
Mais les perspectives techniques en déclin continuaient à tirer les cours vers le bas.
Ces derniers avaient dégringolé en avril, sombrant le 16 avril à 1.322,25 USD, leur plus bas niveau des 27 derniers mois, rebondissant ensuite le 3 mai jusqu'à 1.487,15 USD.
Ils n'ont toutefois pas réussi à repasser la barre psychologique des 1.500 USD malgré de nombreuses tentatives, dénotant un marché baissier.
Leur blason s'est aussi terni après que le milliardaire gestionnaire de fonds de pension George Soros ait stipula dans des documents trimestriels avoir diminué le volume de ses produits adossés au métal précieux au cours des trois premiers mois de l'année.
Il en était de même avec leurs équivalents établis par Blackrock et Northern Trust, soulignant la crainte que leur popularité serait en train de s'évanouir alors que les actions ne cessent de caracoler vers des sommets historiques.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la banque centrale américaine, dont la publication est prévue mercredi, sera au centre des débats, de même que les audiences concernant les prévisions économiques et la politique monétaire de son président Ben Bernanke.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs cédé 2,1% lors de la dernière journée de cotation, pour conclure à 22,19 USD de l'once, leur pire niveau de clôture depuis le 5 octobre 2010.
Il ont ainsi subi un dérapage hebdomadaire de 6,9%, amboîtant le pas à celles portant sur l'or.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles grignoté 0,6% lors de l'ultime session, pour s'élever à 3,316 USD la livre, se laissant malgré ce sursaut arracher 2,1% au cours de la semaine.