Investing.com - Les options sur le brut ont conclu sur une note sombre, frôlant une ornière de sept jours, les yeux étant braqués sur les nouvelles les moins enthousiasmantes énoncées par le rapport sur l'emploi aux Etats-Unis.
L'angoisse d'un manque d'avancées dans les négociations qui leur permettraient d'échapper à une crise budsgétaire majeure contribuait aussi à la nervosité ambiante.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 86.01 USD le baril à la clôture des échanges, perdant 0.3%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 85.78 USD, leur cours le plus bas du jour, après avoir plongé la veille à 85.67 USD, leur valeur la plus faible des sept jours écoulés.
Leur première semaine de régression au cours des cinq dernière les aura ainsi vus accumuler sombrer de 3.3%.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a ainsi fait savoir que 146 000 emplois avaient été créés en novembre, dépassant ainsi les 93 000 espérés, tandis que le taux de chômage glissait de 7.9 à 7.7% dans le même temps, sa valeur la plus faible en presque quatre ans.
Mais la frilosité restait de mise, surtout au vu des autres informations moins réjouissantes qu'il contenait.
Il exposait en effet une hypothèse selon laquelle cette bonne évolution était dûe au départ de travailleurs hors de la population active, ainsi que la révision à la baisse des nouveaux postes dénombrés le mois précédent, depuis 171 000 vers 138 000.
Les acteurs du marché pétrolier surveillent généralement ce rapport de très près, car il offre la prise la plus directe avec le marché du travail américain, et donc une idée de sa voracité.
Le baromètre préliminaire de l'humeur des consommateurs établin conjointement par Thomson Reuters et l'université du Michigan a aussi plongé depuis 82.7 vers 74.5 pour le mois dernier.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessous des 82.4.
L'attention restait aussi concentrées sur le spectre du mur fiscal des Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des trois semaines précédant la date fatidique.
Certains craignent que l'histoire se répète et entraîne le même type de chicaneries partisanes qui avaient poussé Standard & Poor's à priver le pays de sa notation triple A en août 2011, et que celui-si retombe en récession.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Le moral avait déjà subi un coup dur le matin, la Bundesbank ayant réduit ses projections d'expansion économique allemande pour 2013 des 1.6% prédits en juin vers 0.4%, ajoutant que la crise de la dette de la zone euro aurait un impact grandissant sur sa plus grosse économie.
La monnaie unique avait subi un revers jeudi, après que Mario Draghi ait affirmé que ses collègues et lui avaient discuté d'un possible baissse de taux directeurs et modéré les prédictions de croissance et d'inflation lors de la conférence de presse tenue après sa prise de cap.
Elle avait auparavant maintenu sans surprise son taux de base à 0.75%.
La réunion de la Réserve Fédérale de mercredi sera au centre des débats de la semaine prochaine, sur foud de robabilités d'une poursuite des accommodements destinés à encourager l'économie américaine.
Elle avait fait savoir à la mi-septembre qu'elle comptait acquérir 40 milliards d'USD mensuels de titres sécurisés adossés à des hypothèques jusqu'à ce que le marché du travail des Etats-Unis recouvre la santé, pour sa troisième série d'assouplissements quantitatifs, ou QE3.
La rencontre des représentants de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole de mercredi et les deux jours de sommet des chefs de l'Union Européenne à Bruxelles débutant jeudi ne sera pas non plus à négliger.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont glissé de 0.8% lors de la dernière journée de cotation pour chuter à 106.27 USD du baril, leur niveau le plus bas depuis le 8 novembre.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec un passage à vide de 4.4%, pour s'établir à 20.26 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'angoisse d'un manque d'avancées dans les négociations qui leur permettraient d'échapper à une crise budsgétaire majeure contribuait aussi à la nervosité ambiante.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 86.01 USD le baril à la clôture des échanges, perdant 0.3%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 85.78 USD, leur cours le plus bas du jour, après avoir plongé la veille à 85.67 USD, leur valeur la plus faible des sept jours écoulés.
Leur première semaine de régression au cours des cinq dernière les aura ainsi vus accumuler sombrer de 3.3%.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a ainsi fait savoir que 146 000 emplois avaient été créés en novembre, dépassant ainsi les 93 000 espérés, tandis que le taux de chômage glissait de 7.9 à 7.7% dans le même temps, sa valeur la plus faible en presque quatre ans.
Mais la frilosité restait de mise, surtout au vu des autres informations moins réjouissantes qu'il contenait.
Il exposait en effet une hypothèse selon laquelle cette bonne évolution était dûe au départ de travailleurs hors de la population active, ainsi que la révision à la baisse des nouveaux postes dénombrés le mois précédent, depuis 171 000 vers 138 000.
Les acteurs du marché pétrolier surveillent généralement ce rapport de très près, car il offre la prise la plus directe avec le marché du travail américain, et donc une idée de sa voracité.
Le baromètre préliminaire de l'humeur des consommateurs établin conjointement par Thomson Reuters et l'université du Michigan a aussi plongé depuis 82.7 vers 74.5 pour le mois dernier.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessous des 82.4.
L'attention restait aussi concentrées sur le spectre du mur fiscal des Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des trois semaines précédant la date fatidique.
Certains craignent que l'histoire se répète et entraîne le même type de chicaneries partisanes qui avaient poussé Standard & Poor's à priver le pays de sa notation triple A en août 2011, et que celui-si retombe en récession.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Le moral avait déjà subi un coup dur le matin, la Bundesbank ayant réduit ses projections d'expansion économique allemande pour 2013 des 1.6% prédits en juin vers 0.4%, ajoutant que la crise de la dette de la zone euro aurait un impact grandissant sur sa plus grosse économie.
La monnaie unique avait subi un revers jeudi, après que Mario Draghi ait affirmé que ses collègues et lui avaient discuté d'un possible baissse de taux directeurs et modéré les prédictions de croissance et d'inflation lors de la conférence de presse tenue après sa prise de cap.
Elle avait auparavant maintenu sans surprise son taux de base à 0.75%.
La réunion de la Réserve Fédérale de mercredi sera au centre des débats de la semaine prochaine, sur foud de robabilités d'une poursuite des accommodements destinés à encourager l'économie américaine.
Elle avait fait savoir à la mi-septembre qu'elle comptait acquérir 40 milliards d'USD mensuels de titres sécurisés adossés à des hypothèques jusqu'à ce que le marché du travail des Etats-Unis recouvre la santé, pour sa troisième série d'assouplissements quantitatifs, ou QE3.
La rencontre des représentants de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole de mercredi et les deux jours de sommet des chefs de l'Union Européenne à Bruxelles débutant jeudi ne sera pas non plus à négliger.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont glissé de 0.8% lors de la dernière journée de cotation pour chuter à 106.27 USD du baril, leur niveau le plus bas depuis le 8 novembre.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec un passage à vide de 4.4%, pour s'établir à 20.26 USD de mieux que leurs homologues américaines.