Investing.com - Les options sur le brut se sont hissées lors de la dernière journée de cotation à leur plus haut sommet depuis mai, prolongeant leur ascension inspirée par la Réserve Fédérale en raison des tensions géopolitiques touchant le Moyen-Orient et l'Afrique.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 98.99 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.7%.
Ils avaient auparavant culminé à 100.42 USD, leur cours le plus élevé depuis le 4 mai, engrangeant 2.7% hebdomadaires.
La journée de jeudi avait été le théâtre d'une envolée de 2% après que la Fed ait décidé de lancer une troisième série d'injections de liquidités afin de donner un coup de pouce à l'économie américaine.
Elle a en effet déclaré qu'elle acquerrait tous les mois 40 milliards de titres sécurisés adossés à des hypothèques jusqu'à ce que le marché de l'emploi sorte la tête de l'eau.
Le comité fédéral des marchés ouverts a ajouté qu'il n'écarterait pas le taux appliqué aux fonds fédéraux des abords de zéro avant la mi-2015 au plus tôt, au lieu de la fin 2014 envisagée auparavant.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Il ne fallait pas non plus négliger bénéfice du coup de mou du billet vert consécutif n'était pas non plus à négliger pour l'or noir, les matières premières libellées avec l'étalon américain ayant souvent tendance à monter quand celui-ci descend, les rendant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.52% ce jour-là, pour se situer à 78.98 à la clôture des échanges, sa valeur le plus faible depuis le 30 avril, ayant subi une hémorragie hebdomadaire de 1.8%.
Cette prise de position de l'institution américaine est survenue une semaine après que la Banque Centrale Européenne ait dévoilé son propre programme d'achats d'obligations, dénommés "Transactions Monétaires Directes", et au lendemain du feu vert accordé la cour constitutionnelle allemande à la mise en place du fonds de secours permanent européen.
Les acteurs du marché continuaient par ailleurs à surveiller la situation géopolitique du Moyen Orient de de l'Afrique, suite à plusieurs attaques touchant les embassades américaines dans la région.
Des violences ont eu lieu au sein de cette dernière, qui rassemble près de la moitié du pétrole restant à extraire, suite à la publication de la bande-annonce d'un film portant sur Mahomet.
Ces évènements ont fait suite à l'assassinat le 11 septtembre de Chris Stevens, embassadeur américain en Libye, et de trois membres du personnel diplomatique lors d'une offensive touchant les bâtiments consulaires de la ville de Benghazi.
Tous les yeux resteront tournés vers la situation dans la zone, avec la crainte d'une perturbation des flux qui en proviennent.
La santé fiscale espagnole sera encore au centre des débats de la semaine prochaine, en raison des rumeurs concernant les chances pour que le pays, fortement endetté, ait recours à la main tendue de la zone euro.
Luis de Guindos, son ministre des finances, a alors déclaré que le gouvernement devrait d'abord observer les conséquences des coups de pouce de la BCE avant de vouloir demander une autre aide que la bouée de sauvetage déjà accordée aux banques du pays.
Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, a quand à elle démenti un article paru dans la presse néerlandaise selon lequel le FMI et la BCE seraient en pourparlers au sujet d'une intervention destinée à remettre Madrid sur les rails.
Les autorités de l'Espagne procèderont d'ailleurs à une mise aux enchères de bons du trésor courant sur dix ans, qui constituera un test critique de l'attractivité de leurs dettes.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre se sont par ailleurs établies à 116.7 USD du baril dans le même temps, après avoir cuminé à 117.94 USD, leur pic le plus élevé depuis le 3 mai.
Elles ont ainsi rebondi de 2.3% sur la semaine, pour se retrouver à 17.71 de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 98.99 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.7%.
Ils avaient auparavant culminé à 100.42 USD, leur cours le plus élevé depuis le 4 mai, engrangeant 2.7% hebdomadaires.
La journée de jeudi avait été le théâtre d'une envolée de 2% après que la Fed ait décidé de lancer une troisième série d'injections de liquidités afin de donner un coup de pouce à l'économie américaine.
Elle a en effet déclaré qu'elle acquerrait tous les mois 40 milliards de titres sécurisés adossés à des hypothèques jusqu'à ce que le marché de l'emploi sorte la tête de l'eau.
Le comité fédéral des marchés ouverts a ajouté qu'il n'écarterait pas le taux appliqué aux fonds fédéraux des abords de zéro avant la mi-2015 au plus tôt, au lieu de la fin 2014 envisagée auparavant.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Il ne fallait pas non plus négliger bénéfice du coup de mou du billet vert consécutif n'était pas non plus à négliger pour l'or noir, les matières premières libellées avec l'étalon américain ayant souvent tendance à monter quand celui-ci descend, les rendant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.52% ce jour-là, pour se situer à 78.98 à la clôture des échanges, sa valeur le plus faible depuis le 30 avril, ayant subi une hémorragie hebdomadaire de 1.8%.
Cette prise de position de l'institution américaine est survenue une semaine après que la Banque Centrale Européenne ait dévoilé son propre programme d'achats d'obligations, dénommés "Transactions Monétaires Directes", et au lendemain du feu vert accordé la cour constitutionnelle allemande à la mise en place du fonds de secours permanent européen.
Les acteurs du marché continuaient par ailleurs à surveiller la situation géopolitique du Moyen Orient de de l'Afrique, suite à plusieurs attaques touchant les embassades américaines dans la région.
Des violences ont eu lieu au sein de cette dernière, qui rassemble près de la moitié du pétrole restant à extraire, suite à la publication de la bande-annonce d'un film portant sur Mahomet.
Ces évènements ont fait suite à l'assassinat le 11 septtembre de Chris Stevens, embassadeur américain en Libye, et de trois membres du personnel diplomatique lors d'une offensive touchant les bâtiments consulaires de la ville de Benghazi.
Tous les yeux resteront tournés vers la situation dans la zone, avec la crainte d'une perturbation des flux qui en proviennent.
La santé fiscale espagnole sera encore au centre des débats de la semaine prochaine, en raison des rumeurs concernant les chances pour que le pays, fortement endetté, ait recours à la main tendue de la zone euro.
Luis de Guindos, son ministre des finances, a alors déclaré que le gouvernement devrait d'abord observer les conséquences des coups de pouce de la BCE avant de vouloir demander une autre aide que la bouée de sauvetage déjà accordée aux banques du pays.
Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, a quand à elle démenti un article paru dans la presse néerlandaise selon lequel le FMI et la BCE seraient en pourparlers au sujet d'une intervention destinée à remettre Madrid sur les rails.
Les autorités de l'Espagne procèderont d'ailleurs à une mise aux enchères de bons du trésor courant sur dix ans, qui constituera un test critique de l'attractivité de leurs dettes.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre se sont par ailleurs établies à 116.7 USD du baril dans le même temps, après avoir cuminé à 117.94 USD, leur pic le plus élevé depuis le 3 mai.
Elles ont ainsi rebondi de 2.3% sur la semaine, pour se retrouver à 17.71 de mieux que leurs homologues américaines.