Investing.com - Les options sur le brut ont grimpé lors de la dernière session jusqu'à un pic de trois semaines, les bons résultats économiques des Etats-Unis confortant l'espoir d'une accélération de la relance nationale, et d'une augmentation de ses besoins énergétiques.
Une économie florissante a en effet tendance à exiger davantage de carburant.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 93.58 USD le baril à la clôture des transactions, avec une avancée de 0.-%.
Ils avaient auparavant culminé à 93.82, leur valeur la plus forte depuis le 25 février, empochant 1.851% pour leur seconde offensive hebdomadaire consécutive.
Une étude émanant des autorités a en effet signalé que la production industrielle des Etats-Unis avait augmenté de 0.7% le mois passé, soit nettement plus que les 0.4% avancés.
L'indice de l'activité manufacturière régionale établie par la Réserve Fédérale de New York a quand à lui mieux résisté pour mars qu'espéré, trébuchant de 10 vers 9.2.
Ces plutôt bonnes nouvelles ont éclipsé le fait que l'université du Michigan avait vu son baromètre du moral des consommateurs plonger depuis une valeur définitive de 77.6 vers 71.8 pour mars, son niveau le plus bas depuis décembre 2011.
Les cours ont profité du fait que l'inflation américaine ait montré que la banque centrale du pays disposait d'une marge de manoeuvre suffisante pour poursuivre ses injections de liquidités.
Le département d'état au travail l'a en effet mesurée à 0.7% pour février, pour l'amener à une valeur annualisée de 2%, tandis que celle des produits de base s'était aussi limitée à 2% d'une année sur l'autre.
Cette dernière, excluant les catégories volatiles de la nourriture et de l'énergie, est du coup généralement estimée plus fiable sur le long terme.
La Réserve Fédérale avait déclaré en décembre que des taux d'intérêt "exceptionnellement bas" étaient adaptés tant que les prévisions d'augmentation des prix ne dépassaient pas 2.5%.
Le billet vert s'est du coup retrouvé boudé en raison de l'attente d'un maintien du cap de son émettrice.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a ainsi glissé de 0.6% de son côté pour finir la semaine à 82.34, sa valeur la plus faible depuis le 8 mars.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La prise de cap de la fed de mercredi sera parmi les points d'orgue de la semaine prochaine, sur fond de rumeurs d'une fin prématurée de ses acquisitions d'actifs.
Ben Bernanke, son président, tiendra ensuite une conférence de presse très attendue.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour avril ont pour leur part epoché 1% vendredi pour grimper à 110.08 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un frémissement de 0.1%, pour s'établir à 16.5 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Il avait fondu mercredi au plus bas en sept semaines après que des informations officielles aient signalé que les stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex, avaient connu la semaine passée leur plus forte diminution depuis mai 2011.
Une économie florissante a en effet tendance à exiger davantage de carburant.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 93.58 USD le baril à la clôture des transactions, avec une avancée de 0.-%.
Ils avaient auparavant culminé à 93.82, leur valeur la plus forte depuis le 25 février, empochant 1.851% pour leur seconde offensive hebdomadaire consécutive.
Une étude émanant des autorités a en effet signalé que la production industrielle des Etats-Unis avait augmenté de 0.7% le mois passé, soit nettement plus que les 0.4% avancés.
L'indice de l'activité manufacturière régionale établie par la Réserve Fédérale de New York a quand à lui mieux résisté pour mars qu'espéré, trébuchant de 10 vers 9.2.
Ces plutôt bonnes nouvelles ont éclipsé le fait que l'université du Michigan avait vu son baromètre du moral des consommateurs plonger depuis une valeur définitive de 77.6 vers 71.8 pour mars, son niveau le plus bas depuis décembre 2011.
Les cours ont profité du fait que l'inflation américaine ait montré que la banque centrale du pays disposait d'une marge de manoeuvre suffisante pour poursuivre ses injections de liquidités.
Le département d'état au travail l'a en effet mesurée à 0.7% pour février, pour l'amener à une valeur annualisée de 2%, tandis que celle des produits de base s'était aussi limitée à 2% d'une année sur l'autre.
Cette dernière, excluant les catégories volatiles de la nourriture et de l'énergie, est du coup généralement estimée plus fiable sur le long terme.
La Réserve Fédérale avait déclaré en décembre que des taux d'intérêt "exceptionnellement bas" étaient adaptés tant que les prévisions d'augmentation des prix ne dépassaient pas 2.5%.
Le billet vert s'est du coup retrouvé boudé en raison de l'attente d'un maintien du cap de son émettrice.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a ainsi glissé de 0.6% de son côté pour finir la semaine à 82.34, sa valeur la plus faible depuis le 8 mars.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La prise de cap de la fed de mercredi sera parmi les points d'orgue de la semaine prochaine, sur fond de rumeurs d'une fin prématurée de ses acquisitions d'actifs.
Ben Bernanke, son président, tiendra ensuite une conférence de presse très attendue.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour avril ont pour leur part epoché 1% vendredi pour grimper à 110.08 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un frémissement de 0.1%, pour s'établir à 16.5 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Il avait fondu mercredi au plus bas en sept semaines après que des informations officielles aient signalé que les stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex, avaient connu la semaine passée leur plus forte diminution depuis mai 2011.