Investing.com - Les options sur le brut ont conclu avec une fausse note, demeurant cependant proches de leur pic de quatre mois établi la veille sur fond de signes d'un coup d'accélérateur chinois.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.82 USD le baril à la clôture des transactions, trébuchant de 0.15%.
Ils auront toutefois engrangé 2.2% pour leur sixième avancée hebdomadaire d'affilée, leur série la plus longue en près de 14 mois.
Ils avaient culminé jeudi à 96.48 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 19 septembre, après qu'il ait été signalé que les inscriptions au chômage des Etats-Unis avaient plongé la semaine passée au plus bas des cinq dernières années, tandis que le nombre des lancements de chantiers caracolait à son meilleur niveau en quatre ans le mois passé.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Cette poussée s'était prolongée dans la matinée de vendredi grâce à des statistiques chinoises enthousiasmantes.
Le produit intérieur brut de la seconde économiqe mondiale a ainsi bondi au quatrième trimestre de 7.9% par rapport à l'année dernière, au lieu des 7.8% espérés suite aux 7.4% précédents.
Un autre sapport signalait quand à lui que la production industrielle nationale de décembre y avait aussi dépassé les attentes, passant de 10.1 à 10.3% d'amélioration annualisée au lieu de se stabiliser aux 10.1% envisagés.
Ces informations réjouissantes ont du coup renforcé l'attente d'un envol de sa reprise, sa voracité pétrolière n'étant seconde que derrière celle des Etats-Unis, et restant la principale responsable de l'augmentation de la demande.
La tendance s'est encore renforcée après que l'Agence Internationale de l'Energie ait rajouté 240 000 barils quotidiens à ses prévisions des besoins 2013, les amenant à 90.8 millions, invoquant le regain d'activité chinois.
Mais une retombée à ensuite eu lieu alors que le billet vert reprenait des couleurs suite à la publication d'informations laissant penser que la zone euro aurait du mal à poursuivre sa relance cette année.
La Banque d'Italie a ainsi révélé vendredi que l'économie nationale subirait une contraction de 1% sur cette période, alors que le ministère de l'économie de l'Allemagne avait réduit en début de semaine ses prévisions de croissance depuis 1 jusqu'à 0.4%.
Les valeurs refuge ont aussi repris de la vigueur après qu'il ait été montré que l'indice de la confiance des ménages établi par l'université du Michigan ait dérapé depuis 72.9 vers 71.3 pour janvier, sa valeur la plus basse depuis décembre 2011, alors qu'une avancée jusqu'à 75 était espérée.
Ce fléchissement était à mettre sur le compte du spectre du désaccord sur le relèvement du plafond d'endettement des Etats-Unis.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a du coup engrangé 0.5% de son côté pour finir à 80.13, son niveau le plus élevé depuis le 10 janvier.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La situation américaine restera cette semaine sur le devant de la scène, la nervosité étant de mise à l'approche des tractations politiques visant à relever les 16.4 bilions d'USD du plafond d'endettement du pays, qui sera atteint le mois prochain.
Les élus républicains ont laissé entendre qu'ils exigeraient de sabrer dans les budgets en échange de leur accord, mais le président Barack Obama a fait le voeu de ne pas céder au chantage.
La corbeille NYMEX demeurera quand à elle close demain en raison du jour férié consacré à Martin Luther King Jr.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février se sont pour leur part élevées de 0.65% vendredi pour grimper à 111.81 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec 1.1% d'amélioration, pour s'établir à 15.99 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Le regain des tensions venues d'Algérie les avait encouragés, après que le pays ait lancé une offensive contre les militants islamistes qui avaient attaqué une installation de traitement de gaz naturel et enlevé de nombreux travailleurs locaux et étrangers quelques jours auparavant.
Il demeure le troisième fournisseur de gaz naturel à l'Europe et un pourvoyeur important de brut de haute qualité.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.82 USD le baril à la clôture des transactions, trébuchant de 0.15%.
Ils auront toutefois engrangé 2.2% pour leur sixième avancée hebdomadaire d'affilée, leur série la plus longue en près de 14 mois.
Ils avaient culminé jeudi à 96.48 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 19 septembre, après qu'il ait été signalé que les inscriptions au chômage des Etats-Unis avaient plongé la semaine passée au plus bas des cinq dernières années, tandis que le nombre des lancements de chantiers caracolait à son meilleur niveau en quatre ans le mois passé.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Cette poussée s'était prolongée dans la matinée de vendredi grâce à des statistiques chinoises enthousiasmantes.
Le produit intérieur brut de la seconde économiqe mondiale a ainsi bondi au quatrième trimestre de 7.9% par rapport à l'année dernière, au lieu des 7.8% espérés suite aux 7.4% précédents.
Un autre sapport signalait quand à lui que la production industrielle nationale de décembre y avait aussi dépassé les attentes, passant de 10.1 à 10.3% d'amélioration annualisée au lieu de se stabiliser aux 10.1% envisagés.
Ces informations réjouissantes ont du coup renforcé l'attente d'un envol de sa reprise, sa voracité pétrolière n'étant seconde que derrière celle des Etats-Unis, et restant la principale responsable de l'augmentation de la demande.
La tendance s'est encore renforcée après que l'Agence Internationale de l'Energie ait rajouté 240 000 barils quotidiens à ses prévisions des besoins 2013, les amenant à 90.8 millions, invoquant le regain d'activité chinois.
Mais une retombée à ensuite eu lieu alors que le billet vert reprenait des couleurs suite à la publication d'informations laissant penser que la zone euro aurait du mal à poursuivre sa relance cette année.
La Banque d'Italie a ainsi révélé vendredi que l'économie nationale subirait une contraction de 1% sur cette période, alors que le ministère de l'économie de l'Allemagne avait réduit en début de semaine ses prévisions de croissance depuis 1 jusqu'à 0.4%.
Les valeurs refuge ont aussi repris de la vigueur après qu'il ait été montré que l'indice de la confiance des ménages établi par l'université du Michigan ait dérapé depuis 72.9 vers 71.3 pour janvier, sa valeur la plus basse depuis décembre 2011, alors qu'une avancée jusqu'à 75 était espérée.
Ce fléchissement était à mettre sur le compte du spectre du désaccord sur le relèvement du plafond d'endettement des Etats-Unis.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a du coup engrangé 0.5% de son côté pour finir à 80.13, son niveau le plus élevé depuis le 10 janvier.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La situation américaine restera cette semaine sur le devant de la scène, la nervosité étant de mise à l'approche des tractations politiques visant à relever les 16.4 bilions d'USD du plafond d'endettement du pays, qui sera atteint le mois prochain.
Les élus républicains ont laissé entendre qu'ils exigeraient de sabrer dans les budgets en échange de leur accord, mais le président Barack Obama a fait le voeu de ne pas céder au chantage.
La corbeille NYMEX demeurera quand à elle close demain en raison du jour férié consacré à Martin Luther King Jr.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février se sont pour leur part élevées de 0.65% vendredi pour grimper à 111.81 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec 1.1% d'amélioration, pour s'établir à 15.99 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Le regain des tensions venues d'Algérie les avait encouragés, après que le pays ait lancé une offensive contre les militants islamistes qui avaient attaqué une installation de traitement de gaz naturel et enlevé de nombreux travailleurs locaux et étrangers quelques jours auparavant.
Il demeure le troisième fournisseur de gaz naturel à l'Europe et un pourvoyeur important de brut de haute qualité.