Investing.com - Les options sur le brut étaient en légère baisse ce vendredi, l'optimisme concernant l'accord dégagé par les dirigeants européens concernant les mesures de lutte contre le problème du surendettement régional allant diminuant, en combinaison avec quelques ventes d'opportunité
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 93.55 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, raflant 6.75% en cours de semaine, leur plus forte flambée hebdomadaire depuis février.
Ils avaient plongé ce jour-là enraison du retour de l'angoisse de la crise de la dette souveraine de la zone euro après que l'agence de notation Fitch ait affirmé ce jour-là que la dévaluation des dettes grecques indiquerait un défaut de paiement, et que les coûts des emprunts italiens aient établi un nouveau sommet historique après une mise aux enchères d'obligations gouvernementales.
Ces mauvaises nouvelles ont poussé certains investisseurs à liquider leurs positions tant qu'elles étaient favorables et assurer leurs plus-values découlant de l'envolée de la veille.
Ils avaient en effet engrangé près de 4% jeudi alors que le dollar U.S. se trouvait largement affaibli par les progrès des dirigeants européens concernant la résolution de la crise de la dette souveraine affectant zone euro depuis deux ans.
Ils ont en effet convaincu les banques de consentir à une réduction de 50% de la valeur faciale de leurs obligations grecques, et se sont mis d'accord concernant l'augmentation des pouvoirs du fonds de secours régional et la recapitalisation des prêteurs de la région.
Les acteurs des marchés s'en sont trouvés incités à favoriser les investissements les plus risqués, comme les matières premières et les actions, tout en boudant les valeurs refuge traditionnelles, comme le dollar U.S.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 1.79% de son côté pour se situer à 75.27, sa plus faible valeur depuis le 6 septembre.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les cours ont également bénéficié de l'inventaire officiel montrant que le produit intérieur brut américain, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de vigueur de celle-ci avait augmenté de 2.5% au troisième trimestre, son augmentation la plus rapide depuis la même période en 2010.
Cette valeur représente presque le double des 1.3% du trimestre précédent, alors que les experts n'espéraient pas plus de 2.4%.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde, avec environ 19 millions de barils quotidiens en 2010, soit 21% de la demande mondiale, d'après les informations émanant de British Petroleum.
Les cours avaient atteint mardi un pic des trois derniers mois, en raison de la dissipation la crainte d'une diminution des besoins chinois après que l'indice HSBC China des directeurs des achats ait établi en octobre un pic des cinq derniers mois à 51.1.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont gagné 0.31% pour grimper à 110.03 USD du baril dans le même temps, l'écart avec leurs homologues américaines se réduisant à 16.48 USD, sa plus faible valeur en quatre mois.
Il avait atteint début octobre un pic historique à 27.88 USD, mais s'est réduit ces derniers temps en raison de l'attente d'une reprise de la production libyenne, qui a remis les cours sur la sellette.
Les investisseurs guetteront avec impatience la réunion d'élaboration de la politique monétaire de la Réserve Fédérale de mercredi, afin d'y déceler des indices d'assouplissements futurs, ainsi que les informations sur la masse salariale non agricole du pays de vendredi.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 93.55 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, raflant 6.75% en cours de semaine, leur plus forte flambée hebdomadaire depuis février.
Ils avaient plongé ce jour-là enraison du retour de l'angoisse de la crise de la dette souveraine de la zone euro après que l'agence de notation Fitch ait affirmé ce jour-là que la dévaluation des dettes grecques indiquerait un défaut de paiement, et que les coûts des emprunts italiens aient établi un nouveau sommet historique après une mise aux enchères d'obligations gouvernementales.
Ces mauvaises nouvelles ont poussé certains investisseurs à liquider leurs positions tant qu'elles étaient favorables et assurer leurs plus-values découlant de l'envolée de la veille.
Ils avaient en effet engrangé près de 4% jeudi alors que le dollar U.S. se trouvait largement affaibli par les progrès des dirigeants européens concernant la résolution de la crise de la dette souveraine affectant zone euro depuis deux ans.
Ils ont en effet convaincu les banques de consentir à une réduction de 50% de la valeur faciale de leurs obligations grecques, et se sont mis d'accord concernant l'augmentation des pouvoirs du fonds de secours régional et la recapitalisation des prêteurs de la région.
Les acteurs des marchés s'en sont trouvés incités à favoriser les investissements les plus risqués, comme les matières premières et les actions, tout en boudant les valeurs refuge traditionnelles, comme le dollar U.S.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 1.79% de son côté pour se situer à 75.27, sa plus faible valeur depuis le 6 septembre.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les cours ont également bénéficié de l'inventaire officiel montrant que le produit intérieur brut américain, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de vigueur de celle-ci avait augmenté de 2.5% au troisième trimestre, son augmentation la plus rapide depuis la même période en 2010.
Cette valeur représente presque le double des 1.3% du trimestre précédent, alors que les experts n'espéraient pas plus de 2.4%.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde, avec environ 19 millions de barils quotidiens en 2010, soit 21% de la demande mondiale, d'après les informations émanant de British Petroleum.
Les cours avaient atteint mardi un pic des trois derniers mois, en raison de la dissipation la crainte d'une diminution des besoins chinois après que l'indice HSBC China des directeurs des achats ait établi en octobre un pic des cinq derniers mois à 51.1.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont gagné 0.31% pour grimper à 110.03 USD du baril dans le même temps, l'écart avec leurs homologues américaines se réduisant à 16.48 USD, sa plus faible valeur en quatre mois.
Il avait atteint début octobre un pic historique à 27.88 USD, mais s'est réduit ces derniers temps en raison de l'attente d'une reprise de la production libyenne, qui a remis les cours sur la sellette.
Les investisseurs guetteront avec impatience la réunion d'élaboration de la politique monétaire de la Réserve Fédérale de mercredi, afin d'y déceler des indices d'assouplissements futurs, ainsi que les informations sur la masse salariale non agricole du pays de vendredi.