Investing.com - Les options sur le brut ont redressé la tête vendredi pour la première fois en six séances, limitant leurs dégâts hebdomadaires après que les chiffres de l'emploi Etats-Unis dépassant les attentes aient renforcé la confiance des investisseurs dans la relance économique du pays, tandis que les observateurs surveillaient toujours une éventuelle perturbation des exportations iraniennes.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 97.83 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, plongeant de 1.68% sur la semaine, après avoir établi jeudi un plancher des six dernières semaines à 95.43 USD.
Ilt avaient cependant repris 1.5% le lendemain après que le département d'état au travail ait annoncé que 243 000 emplois non agricoles avaient été créés le mois dernier, leur meilleure performance en neuf mois, après en avoir déjà ajouté 203 000 le mois précédent.
Les experts n'en espéraient pas plus de 150 000, le taux de chômage reculant à son plus bas niveau des trois dernières années à 8.3% contre 8.5% auparavant.
D'autres résultats dévoilés ce jour-là confortaient aussi l'attente d'une amélioration de la situatio économique, les commandes auprès des usines américaines ayant connu en décembre leur deuxième amélioration mensuelle d'affilée, tandis que le secteur tertiaire du pays connaissait en janvier sa plus forte croissance depuis février 2011.
Ces chiffres encourageant ont donc relégué à l'arrière-plan l'angoisse d'une diminution de la demande du premier consommateur de la planète, avec 19.1 millions de barils quotidiens en 2010, soit 21% de cette dernière.
Les cours ont également été tirés vers le haut après qqu'il ait été rapporté que Leon Panette, secrétaire d'état à la défense des Etats-Unis, estimait qu'il y avaiit de fortes chances pour qu'Israël attaque l'Iran d'ici la fin juin, ravivant la crainte d'une perturbation de ses livraisons pétrolières.
L'ayatollah Ali Khamenei, suprème autorité iranienne, a quand à lui rappelé que son pays ne resterait pas les bras croisés face aux sanctions des pays occidentaux destinées à lui faire abandonner son programme nucléaire.
La république islamique demeure le quatrième extracteur mondial, avec près de 5% de la production planétaire en 2010, et le spectre de la mise à exécution sa promesse de couper l'accès stratégique au Détroit d'Ormuz en cas de sanctions internationales contre elle a contribué à coutenir les courss de ces dernières semaines.
Ils avaient plongé de près de 3.4% lors des quatre sessions précédentes, en raison de la peur d'un éventuel défaut de paiement grec et des signes de diminution de la voracité américaine.
L'inquiétude causée par l'éternisation des négociations visant à restructurer la dette de la Grèce persistait quand à elle malgré l'assurance par les représentants européens qu'un accord était sur le point d'être bouclé.
Celui-ci reste indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides d'urgence et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'il devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
L'inventaire effectué par les autorités avait pour sa part montré un gonflement des réserves d'or noir et d'essence dépassant les prévisions.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont engrangé 2.7% de leur côté pour grimper à 114.66 USD du baril dans le même temps, soit 16.83 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus important depuis le 9 novembre.
La banque Citigroup avait annoncé dans un article publié jeudi qu'il avait des chances de s'élever jusqu'à 20 USD du baril, l'augmentation de la production dans le Dakota du Nord et l'accumulation de réserves au point de livraison de Cushing, en Oklahoma, point de repère des livraisons américaines, pesant sur les prix NYMEX.
La différence avait atteint un nouveau record en octobre 2011 avec 27.88 USD.
Les prix Brent ont eu le dessus lors des dernières séances en raison de la possibilité de problèmes touchant l'approvisionnement par les producteurs africains comme le Nigeria et le Sud Soudan.
Les investisseurs garderont un oeil sur la dispute entre l'Occident et l'Iran, ce dernier avant entamé samedi des manoeuvres militaires au sol, et averti qu'il pouvait fermer les vannes des pays "hostiles" européens.
Ils auront aussi l'évolution de la situation en zone euro à l'esprit, ses dirigeants devant tenir une série de rencontres centrées sur le plan de sauvetage grec et les garanties financières de Fonds de Stabilisation Financière Européen, qui sera sa nouvelle roue de secours.
La Banque Centrale Européenne tiendra quand à elle sa réunion d'orientation politique, au cours de laquelle un maintien de son taux directeur à 1% a toutes les chances d'être adopté, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, fera pour sa part une apparition devant le comité budgétaire sénatorial à Washington.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 97.83 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, plongeant de 1.68% sur la semaine, après avoir établi jeudi un plancher des six dernières semaines à 95.43 USD.
Ilt avaient cependant repris 1.5% le lendemain après que le département d'état au travail ait annoncé que 243 000 emplois non agricoles avaient été créés le mois dernier, leur meilleure performance en neuf mois, après en avoir déjà ajouté 203 000 le mois précédent.
Les experts n'en espéraient pas plus de 150 000, le taux de chômage reculant à son plus bas niveau des trois dernières années à 8.3% contre 8.5% auparavant.
D'autres résultats dévoilés ce jour-là confortaient aussi l'attente d'une amélioration de la situatio économique, les commandes auprès des usines américaines ayant connu en décembre leur deuxième amélioration mensuelle d'affilée, tandis que le secteur tertiaire du pays connaissait en janvier sa plus forte croissance depuis février 2011.
Ces chiffres encourageant ont donc relégué à l'arrière-plan l'angoisse d'une diminution de la demande du premier consommateur de la planète, avec 19.1 millions de barils quotidiens en 2010, soit 21% de cette dernière.
Les cours ont également été tirés vers le haut après qqu'il ait été rapporté que Leon Panette, secrétaire d'état à la défense des Etats-Unis, estimait qu'il y avaiit de fortes chances pour qu'Israël attaque l'Iran d'ici la fin juin, ravivant la crainte d'une perturbation de ses livraisons pétrolières.
L'ayatollah Ali Khamenei, suprème autorité iranienne, a quand à lui rappelé que son pays ne resterait pas les bras croisés face aux sanctions des pays occidentaux destinées à lui faire abandonner son programme nucléaire.
La république islamique demeure le quatrième extracteur mondial, avec près de 5% de la production planétaire en 2010, et le spectre de la mise à exécution sa promesse de couper l'accès stratégique au Détroit d'Ormuz en cas de sanctions internationales contre elle a contribué à coutenir les courss de ces dernières semaines.
Ils avaient plongé de près de 3.4% lors des quatre sessions précédentes, en raison de la peur d'un éventuel défaut de paiement grec et des signes de diminution de la voracité américaine.
L'inquiétude causée par l'éternisation des négociations visant à restructurer la dette de la Grèce persistait quand à elle malgré l'assurance par les représentants européens qu'un accord était sur le point d'être bouclé.
Celui-ci reste indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides d'urgence et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'il devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
L'inventaire effectué par les autorités avait pour sa part montré un gonflement des réserves d'or noir et d'essence dépassant les prévisions.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont engrangé 2.7% de leur côté pour grimper à 114.66 USD du baril dans le même temps, soit 16.83 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus important depuis le 9 novembre.
La banque Citigroup avait annoncé dans un article publié jeudi qu'il avait des chances de s'élever jusqu'à 20 USD du baril, l'augmentation de la production dans le Dakota du Nord et l'accumulation de réserves au point de livraison de Cushing, en Oklahoma, point de repère des livraisons américaines, pesant sur les prix NYMEX.
La différence avait atteint un nouveau record en octobre 2011 avec 27.88 USD.
Les prix Brent ont eu le dessus lors des dernières séances en raison de la possibilité de problèmes touchant l'approvisionnement par les producteurs africains comme le Nigeria et le Sud Soudan.
Les investisseurs garderont un oeil sur la dispute entre l'Occident et l'Iran, ce dernier avant entamé samedi des manoeuvres militaires au sol, et averti qu'il pouvait fermer les vannes des pays "hostiles" européens.
Ils auront aussi l'évolution de la situation en zone euro à l'esprit, ses dirigeants devant tenir une série de rencontres centrées sur le plan de sauvetage grec et les garanties financières de Fonds de Stabilisation Financière Européen, qui sera sa nouvelle roue de secours.
La Banque Centrale Européenne tiendra quand à elle sa réunion d'orientation politique, au cours de laquelle un maintien de son taux directeur à 1% a toutes les chances d'être adopté, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, fera pour sa part une apparition devant le comité budgétaire sénatorial à Washington.