Investing.com - Les options sur l'or n'ont guère évolué lors des échanges peu reluisants de ce lundi, rabotant une partie de leurs gains du début de journée, après que l'Inde ait proposé un plan de doublement des taxes d'importation pesant sur ce dernier, entraînant un étouffement des mouvements sur le marché physique.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 656.25 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.03%.
Ils avaient précédement culminé à 1 664.95 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.35% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 634.75 USD, leur plancher du 14 mars, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 682.75 USD, leur plafond du même jour.
Pranab Mukherjee, ministre des finances indien, a en effet annoncé vendredi que les droits de douane exercés par le pays sur le métal précieux s'élevaient désormais à 4%, dans le but d'aider le gouvernement à juguler le déficit de son commerce extérieur.
Les consommateurs nationaux n'étaient pas encore revenus sur le marché physique ce lundi, alors que des achats dûs à la panique avaient eu lieu vendredi après cette déclaration.
L'Inde demeure la premier demandeur au monde, mais cette manoeuvre pourrait entrainer une désaffection notable.
Prithviraj Kothari, président de la Bombay Bullion Association, a estimé que les bebsoins nationaux pourraient plonger en conséquence de plus de 30% pour se situer à 600 tonnes, et les 10 grammes s'élever de 500 roupies sur le marché local.
Les prix continuaient toutefois de bénéficier de périodes d'achats à bas prix et techniques après avoir subi une dégringolade de 3.15% la semaine passée, la seconde plus importante depuis le début de l'année.
Le métal jaune s'est retrouvé sur la sellette ces dernières semaines, les acteurs du marché abandonnant leurs positions à long terme après que la Réserve Fédérale ait revu mardi ses prévisions économiques à la hausse, poussant les investisseurs à abandonner l'espoir d'une troisième série d'injections de capitaux de sa part.
L'or a dégringolé de presque 8% depuis la fin février, et se situe à environ 14% au-dessous de son sommet historiquee à 1 920 USD de l'once établi en septembre.
Le quotidien Financial Times a toutefois contribué à lutter contre la tendance en rapportant que les récente plongée avait poussé une ou plusieurs banques centrales à acheter ces dernières semaines jusqu'à quatre tonnes de lingots.
Ces acquisitions, valant environ 250 millions d'USD aux cours actuels, ont transité par la Banque des Règlements Internationaux.
Le World Gold Council a révélé de son côté que les banques centrales avaient été des acheteuses voraces en 2011, avec 439.7 tonnes, le volume le plus important constaté depuis la fin de l'étalon-or en 1971, alors qu'il s'était limité à 77 tonnes en 2010.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs laissé échapper 0.5% pour glisser à 32.44 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont fléchi de 0.25% pour se retrouver à 3.868 USD la livre dans le même temps.
Il avait été affirmé vendredi dans un article que le passage des premières au-dessous des 33.25 du début de semaine pouvait mener à un creux imminent à 30 USD.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 656.25 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.03%.
Ils avaient précédement culminé à 1 664.95 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.35% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 634.75 USD, leur plancher du 14 mars, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 682.75 USD, leur plafond du même jour.
Pranab Mukherjee, ministre des finances indien, a en effet annoncé vendredi que les droits de douane exercés par le pays sur le métal précieux s'élevaient désormais à 4%, dans le but d'aider le gouvernement à juguler le déficit de son commerce extérieur.
Les consommateurs nationaux n'étaient pas encore revenus sur le marché physique ce lundi, alors que des achats dûs à la panique avaient eu lieu vendredi après cette déclaration.
L'Inde demeure la premier demandeur au monde, mais cette manoeuvre pourrait entrainer une désaffection notable.
Prithviraj Kothari, président de la Bombay Bullion Association, a estimé que les bebsoins nationaux pourraient plonger en conséquence de plus de 30% pour se situer à 600 tonnes, et les 10 grammes s'élever de 500 roupies sur le marché local.
Les prix continuaient toutefois de bénéficier de périodes d'achats à bas prix et techniques après avoir subi une dégringolade de 3.15% la semaine passée, la seconde plus importante depuis le début de l'année.
Le métal jaune s'est retrouvé sur la sellette ces dernières semaines, les acteurs du marché abandonnant leurs positions à long terme après que la Réserve Fédérale ait revu mardi ses prévisions économiques à la hausse, poussant les investisseurs à abandonner l'espoir d'une troisième série d'injections de capitaux de sa part.
L'or a dégringolé de presque 8% depuis la fin février, et se situe à environ 14% au-dessous de son sommet historiquee à 1 920 USD de l'once établi en septembre.
Le quotidien Financial Times a toutefois contribué à lutter contre la tendance en rapportant que les récente plongée avait poussé une ou plusieurs banques centrales à acheter ces dernières semaines jusqu'à quatre tonnes de lingots.
Ces acquisitions, valant environ 250 millions d'USD aux cours actuels, ont transité par la Banque des Règlements Internationaux.
Le World Gold Council a révélé de son côté que les banques centrales avaient été des acheteuses voraces en 2011, avec 439.7 tonnes, le volume le plus important constaté depuis la fin de l'étalon-or en 1971, alors qu'il s'était limité à 77 tonnes en 2010.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs laissé échapper 0.5% pour glisser à 32.44 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont fléchi de 0.25% pour se retrouver à 3.868 USD la livre dans le même temps.
Il avait été affirmé vendredi dans un article que le passage des premières au-dessous des 33.25 du début de semaine pouvait mener à un creux imminent à 30 USD.