Investing.com - Les options sur l'or étaient ont repris du poil de la bête ce mardi, rebondissant de leur creux des quatre dernières semaines après que le dollar U.S. s'affaiblissait légèrement, les investisseurs continuant à surveiller de près l'évolution de problèmes d'endettement des Etats-Unis et de la zone euro.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 693.76 USD de l'once en début de séance européenne, bondissant de 0.9%.
Ils avaient précédement culminé à 1 694.65 USD, leur meilleur cours du jour, avec 1% d'augmentation.
Cette progression survenait alors que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 0.25% de son côté pour se situer à 78.25.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Quelques achats d'opportunité ont également contribué à tirer les prix vers le haut après que ceux-ci aient dégringolé hier de près de 2.7%, pour s'établir à leur plus bas niveau depuis la fin octobre.
Le moral des investisseurs a également été mis à mal par l'absence d'accord du "super comité" parlementaire américain concernant une série de mesures de réduction à hauteur de 1.2 billions d'USD du déficit budgétaire sur les 10 ans à venir.
L'agence de notation Fitch a pour sa part déclaré que l'échec ddes négociations aurait des chances d'entraîner le placement du pays sous une perspective négative de sa part, et non une dégradation.
L'agence de notation Moody's Investor Services avait quand à elle affirmé hier qu'une hausse des dividendes des obligations françaises et un affaiblissement des prévisions de croissance nationales pourrait nuire à sa notation future.
L'or est souvent considéré comme une protection contre les risques financiers, mais ses cours peuvent s'effondrer lors de liquidations de positions de gros acteurs désireux de colmater des brèches ouvertes sur d'autres marchés.
La banque française BNP Paribas, persistait malgré la récente glissade des cours à estimer que ceux-ci tutoieraient de nouveau les sommets d'ici la fin de l'année, rappelant que le métal précieux gardait "un statut de valeur refuge dans un environnement hautement incertain".
Elle a précisé: "Il devrait continuer à enregistrer de meilleures performances que le reste de ses concurrents du secteur."
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs engrangé 1.6% pour grimper à 31.68 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 1.75% pour se retrouver à 3.361 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 693.76 USD de l'once en début de séance européenne, bondissant de 0.9%.
Ils avaient précédement culminé à 1 694.65 USD, leur meilleur cours du jour, avec 1% d'augmentation.
Cette progression survenait alors que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 0.25% de son côté pour se situer à 78.25.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Quelques achats d'opportunité ont également contribué à tirer les prix vers le haut après que ceux-ci aient dégringolé hier de près de 2.7%, pour s'établir à leur plus bas niveau depuis la fin octobre.
Le moral des investisseurs a également été mis à mal par l'absence d'accord du "super comité" parlementaire américain concernant une série de mesures de réduction à hauteur de 1.2 billions d'USD du déficit budgétaire sur les 10 ans à venir.
L'agence de notation Fitch a pour sa part déclaré que l'échec ddes négociations aurait des chances d'entraîner le placement du pays sous une perspective négative de sa part, et non une dégradation.
L'agence de notation Moody's Investor Services avait quand à elle affirmé hier qu'une hausse des dividendes des obligations françaises et un affaiblissement des prévisions de croissance nationales pourrait nuire à sa notation future.
L'or est souvent considéré comme une protection contre les risques financiers, mais ses cours peuvent s'effondrer lors de liquidations de positions de gros acteurs désireux de colmater des brèches ouvertes sur d'autres marchés.
La banque française BNP Paribas, persistait malgré la récente glissade des cours à estimer que ceux-ci tutoieraient de nouveau les sommets d'ici la fin de l'année, rappelant que le métal précieux gardait "un statut de valeur refuge dans un environnement hautement incertain".
Elle a précisé: "Il devrait continuer à enregistrer de meilleures performances que le reste de ses concurrents du secteur."
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs engrangé 1.6% pour grimper à 31.68 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 1.75% pour se retrouver à 3.361 USD la livre dans le même temps.