Investing.com - Les options sur le brut ont redressé la tête ce mardi, s'extirpant de leur creux des trois derniers jours, tandis que s'apaisaient les craintes découlant de la crise de la dette de la zone euro et que les observateurs guettaient les résultats du conseil très attendu des décideurs de la Réserve Fédérale d'aujourd'hui.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 106.83 USD le baril en première partie de séance européenne, prenant 0.46%.
Ils avaient auparavant culminé à 107.13 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.65% de progression, après avoir plongé lundi à 105.37, leur plus bas niveau des trois sessions écoulées.
Le moral est revenu après que les ministres des finances de la zone euro aient fait savoir en début de semaine que la Grèce recevrait leur approbation formelle pour ainsi bénéficier du second plan de sauvetage.
Jean-Claude Juncker, chef du groupe des ministres des finances de l'Eurogroupe, a déclaré qu'il n'y avait "pas de doute" que le deuxième programme de sauvetage serait adopté en cours de semaine.
Leur rencontre se prolongera toutefois pendant la journée, avec la dette de l'Espagne probablement à l'ordre du jour, afin d'exiger des objectifs de réduction de déficits plus stricts pour cette année, afin de revenir sur les rails en 2013.
Mariano Rajoy, son premiere ministre, avait en effet annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.
L'évolution de la situation en zone euro a fait évoluer l'humeur du marché pétrolier ces derniers mois, les cours suivant de près l'intensité de la peur liée au problème du surendettement régional.
Les acteurs des marchés guettaient en effet les conséquences de la réunion de la banque centrale américaine dprévue dans l'après-midi.
Elle arrive après les bons résultats de l'emploi dévoilés vendredi, montrant la création de 227 000 emplois pour février, dépassant les 210 000 espérés.
Ces chiffres encourageants ont freiné l'attente d'une nouvelle série d'assouplissements monétaires destinés à encourager l'économie de sa part.
Le Wall Street Journal a toutefois rapporté la semaine dernière que celle-ci étudiait une stratégie lui permettant de procéder à de nouveaux achats de bons du trésor tout en diminuant les risques d'inflation.
Les acteurs du marché gardaient toujours à l'oeil les tensions entre l'Occident et l'Iran à propos du programme nucléaire de ce dernier.
Le premier devrait renforcer son opposition contre lui cette semaine, une fois que le président américain Barack Obama et David Cameron, premier ministre britannique, se seront rencontrés.
La confrontation entre l'Occident et l'Iran concernant le programme atomique de ce dernier a fait planer ces dernières semaines son ombre sur les transactions.
L'envenimement des relations entre la république islamique avec Israël ont ravivé l'angoisse qu'une escalade des hostilités entre les deux pays ne déclenche des conflits dans la région et ne fasse s'envoler les prix du brut.
La nation perse produit en effet environ 3.5 millions de barils quotidiens, se situant ainsi second de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole après l'Arabie Saoudite.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour avril ont gagné 0.35% pour grimper à 125.2 USD du baril dans le même temps, soit 18.37 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 106.83 USD le baril en première partie de séance européenne, prenant 0.46%.
Ils avaient auparavant culminé à 107.13 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.65% de progression, après avoir plongé lundi à 105.37, leur plus bas niveau des trois sessions écoulées.
Le moral est revenu après que les ministres des finances de la zone euro aient fait savoir en début de semaine que la Grèce recevrait leur approbation formelle pour ainsi bénéficier du second plan de sauvetage.
Jean-Claude Juncker, chef du groupe des ministres des finances de l'Eurogroupe, a déclaré qu'il n'y avait "pas de doute" que le deuxième programme de sauvetage serait adopté en cours de semaine.
Leur rencontre se prolongera toutefois pendant la journée, avec la dette de l'Espagne probablement à l'ordre du jour, afin d'exiger des objectifs de réduction de déficits plus stricts pour cette année, afin de revenir sur les rails en 2013.
Mariano Rajoy, son premiere ministre, avait en effet annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.
L'évolution de la situation en zone euro a fait évoluer l'humeur du marché pétrolier ces derniers mois, les cours suivant de près l'intensité de la peur liée au problème du surendettement régional.
Les acteurs des marchés guettaient en effet les conséquences de la réunion de la banque centrale américaine dprévue dans l'après-midi.
Elle arrive après les bons résultats de l'emploi dévoilés vendredi, montrant la création de 227 000 emplois pour février, dépassant les 210 000 espérés.
Ces chiffres encourageants ont freiné l'attente d'une nouvelle série d'assouplissements monétaires destinés à encourager l'économie de sa part.
Le Wall Street Journal a toutefois rapporté la semaine dernière que celle-ci étudiait une stratégie lui permettant de procéder à de nouveaux achats de bons du trésor tout en diminuant les risques d'inflation.
Les acteurs du marché gardaient toujours à l'oeil les tensions entre l'Occident et l'Iran à propos du programme nucléaire de ce dernier.
Le premier devrait renforcer son opposition contre lui cette semaine, une fois que le président américain Barack Obama et David Cameron, premier ministre britannique, se seront rencontrés.
La confrontation entre l'Occident et l'Iran concernant le programme atomique de ce dernier a fait planer ces dernières semaines son ombre sur les transactions.
L'envenimement des relations entre la république islamique avec Israël ont ravivé l'angoisse qu'une escalade des hostilités entre les deux pays ne déclenche des conflits dans la région et ne fasse s'envoler les prix du brut.
La nation perse produit en effet environ 3.5 millions de barils quotidiens, se situant ainsi second de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole après l'Arabie Saoudite.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour avril ont gagné 0.35% pour grimper à 125.2 USD du baril dans le même temps, soit 18.37 USD de mieux que leurs homologues américaines.