TORONTO - Thomson Reuters (TSX/NYSE: TRI) et des fonds d'investissement affiliés à Blackstone ont vendu leur participation collective dans le London Stock Exchange Group PLC (LSEG), marquant ainsi la sortie de Thomson Reuters du groupe boursier. La transaction a impliqué la vente de 17,3 millions d'actions à 91,50 livres sterling chacune à un ensemble d'investisseurs institutionnels et particuliers.
Les actions vendues comprennent environ 4,3 millions d'actions détenues indirectement par Thomson Reuters. À l'issue de cette vente, Thomson Reuters prévoit un revenu net avant impôt d'environ 0,5 milliard de dollars. Cette opération marque la fin de la participation financière de la société dans LSEG.
Thomson Reuters est connu pour fournir des données critiques, des renseignements et des solutions technologiques aux professionnels de divers secteurs, notamment juridique, fiscal, comptable, de conformité, gouvernemental et médiatique. Elle est également la société mère de Reuters, un leader mondial de l'information et du journalisme.
La vente a été réalisée par le biais d'un processus de placement, qui est une méthode courante pour les entreprises de céder un grand nombre d'actions à des investisseurs. Cette méthode est généralement plus rapide et implique moins d'exigences réglementaires qu'une offre publique.
La cession de la participation dans LSEG est un événement financier important pour Thomson Reuters, car elle représente la cession d'un actif substantiel. La société n'a pas dévoilé de plans spécifiques pour l'utilisation du produit de la vente.
Cette information est basée sur un communiqué de presse de Thomson Reuters.
Perspectives InvestingPro
Alors que Thomson Reuters (NYSE:TRI) conclut sa cession du London Stock Exchange Group, les indicateurs financiers et les mouvements stratégiques de la société sont sous les feux des projecteurs pour les investisseurs et les analystes du marché. Selon les données d'InvestingPro, Thomson Reuters a une capitalisation boursière de 75,67 milliards de dollars et se négocie à un ratio C/B de 32,06, ce qui indique une valorisation supérieure par rapport aux bénéfices immédiats. Toutefois, le ratio PEG de la société, qui s'élève à 0,26 pour les douze derniers mois au 1er trimestre 2024, suggère que les investisseurs peuvent s'attendre à une croissance significative des bénéfices par rapport au ratio P/E.
La performance financière récente de la société montre une croissance régulière des revenus de 3,74% sur les douze derniers mois au T1 2024, avec une marge bénéficiaire brute de 40,93%, reflétant une forte efficacité opérationnelle. En outre, Thomson Reuters a démontré son engagement envers le rendement des actionnaires, affichant un rendement du dividende de 1,29% et un taux de croissance du dividende de 6,23% au cours de la même période.
Les conseils d'InvestingPro soulignent que Thomson Reuters a un score Piotroski parfait de 9, ce qui est un indicateur fort de la stabilité financière et de la rentabilité de l'entreprise. De plus, la stratégie de la direction consistant à racheter agressivement des actions pourrait être un signal de confiance dans la valorisation et les perspectives d'avenir de la société. Notamment, Thomson Reuters a augmenté son dividende pendant quatre années consécutives, ce qui souligne sa fiabilité en tant qu'investissement générateur de revenus.
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Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.