Investing.com - Le dollar U.S. resétait en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, et notamment contre son homologue nippon, dans le sillage du renforcement de l'assise du pouvoir japonais en place découlant du dernier scrutin.
En fin de première partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,68% pour se retrouver à 99,92, après avoir auparavant sombré jusqu'à 99,61.
La devise du pays du soleil levant a en effet repris des forces suite aux élections sénatoriales s'étant déroulées hier là où elle a cours, voyant la coalition formée autour du parti démocrate libéral d'établir une majorité ferme sur les deux chambres du parlement.
Celle-ci permettra à Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, de poursuivre ses réformes économiques destinées à donner un coup de fouet à la croissance et à lutter contre la déflation.
Son adversaire américain demeurait cependant populaire dans l'attente d'une diminution des perfusions d'argent frais de son émettrice d'ici la fin de l'année.
Les ministres des finances et les chefs des banques centrales du groupe des 20 pays les plus développés ont quand à eux mis en relief en fin de semaine l'importance d'une transition "prudente" lors de la fermeture des robinets, afin que la volatilité des marchés résultante ne vienne pas perturber la reprise mondiale.
Ils ont estimé samedi que les prochains changements d'orientation dans la politique monétaire devraient être "mesurés avec précaution et expliqués avec pédagogie".
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,38% pour grimper à 1,3187.
La monnaie unique a retrouvé du mordant après que la président du Portugal ait exclu hier l'idée d'un passage aux urnes anticipé, malgré l'absence de consensus entre les dirigeants politiques concernant le respect du programme de sauvetage national.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling et au franc suisse, le GBP/USD prenant 0,38% pour se hisser à 1,5335, et l'USD/CHF glissant de 0,39% pour tomber à 0,9378.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,24% pour monter à 0,9200, le NZD/USD laissant échapper 0,14% pour toucher le fond à 0,7919 et l'USD/CAD régressant de 0,15% pour aller vers 1,03504.
L'unité monétaire de la Nouvelle-Zélande continuait à subir les contrecoups du séisme atteignant 6,5 sur l'échelle de Richter ayant touché hier la ville de Wellington.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,40% pour se situer à 82,40.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté voir les acteurs du secteur immobilier conclure la journée avec leurs informations concernant les ventes de logements d'occasion.
En fin de première partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,68% pour se retrouver à 99,92, après avoir auparavant sombré jusqu'à 99,61.
La devise du pays du soleil levant a en effet repris des forces suite aux élections sénatoriales s'étant déroulées hier là où elle a cours, voyant la coalition formée autour du parti démocrate libéral d'établir une majorité ferme sur les deux chambres du parlement.
Celle-ci permettra à Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, de poursuivre ses réformes économiques destinées à donner un coup de fouet à la croissance et à lutter contre la déflation.
Son adversaire américain demeurait cependant populaire dans l'attente d'une diminution des perfusions d'argent frais de son émettrice d'ici la fin de l'année.
Les ministres des finances et les chefs des banques centrales du groupe des 20 pays les plus développés ont quand à eux mis en relief en fin de semaine l'importance d'une transition "prudente" lors de la fermeture des robinets, afin que la volatilité des marchés résultante ne vienne pas perturber la reprise mondiale.
Ils ont estimé samedi que les prochains changements d'orientation dans la politique monétaire devraient être "mesurés avec précaution et expliqués avec pédagogie".
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,38% pour grimper à 1,3187.
La monnaie unique a retrouvé du mordant après que la président du Portugal ait exclu hier l'idée d'un passage aux urnes anticipé, malgré l'absence de consensus entre les dirigeants politiques concernant le respect du programme de sauvetage national.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling et au franc suisse, le GBP/USD prenant 0,38% pour se hisser à 1,5335, et l'USD/CHF glissant de 0,39% pour tomber à 0,9378.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,24% pour monter à 0,9200, le NZD/USD laissant échapper 0,14% pour toucher le fond à 0,7919 et l'USD/CAD régressant de 0,15% pour aller vers 1,03504.
L'unité monétaire de la Nouvelle-Zélande continuait à subir les contrecoups du séisme atteignant 6,5 sur l'échelle de Richter ayant touché hier la ville de Wellington.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,40% pour se situer à 82,40.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté voir les acteurs du secteur immobilier conclure la journée avec leurs informations concernant les ventes de logements d'occasion.