Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, dans l'expectative des chiffres cruciaux que les Etats-Unis divulgueront sous peu, en quête d'indices sur les prochaines décisions de leur banque centrale.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,06% pour grimper à 1,3128.
La monnaie unique s'est cependant retrouvée fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré jeudi lors de la conférence de presse ayant suivi la prise de cap de cette dernière que sa politique monétaire demeurerait souple aussi longtemps que nécessaire, et que ses taux d'intérêt demeureraient à leur niveau actuel ou plus bas pour encore longtemps.
Les autorités de l'Allemagne ont aussi mis en relief à l'aube une diminution inattendue de l'excédent de la balance commerciale, depuis les 15,8 milliards d'euros après révision à la hausse jusqu'à 14,5 milliards pour juillet, alors que les experts tablaient sur 16,1 milliards pour la période considérée.
La livre sterling lui a par contre cédé du terrain, le GBP/USD trébuchant de 0,09% pour reprendre pied à 1,5576.
Il a en effet été montré que la production manufacturée nationale avait frémi de 0,2% en juillet, au lieu des 0,3% pressentis, en prolongement des 2% ayant précédé.
Une étude officielle a quand à elle signalé en début de journée que le pays avait enregistré une augmentation inattendue du déficit de son commerce extérieur, depuis les 8,17 milliards d'euros après révision à la baisse jusqu'à 9,85 milliards pour juillet, alors que les experts tablaient sur 8,15 milliards pour la période considérée.
La Banque d'Angleterre a aussi révélé que l'inflation attendue avait diminué des 3,6% du second trimestre à 3,2% pour le troisième.
Les coûts des logements ont également moins gonflé qu'attendu pour août, avec seulement 0,4% au lieu des 0,9% précédents, alors que 0,7% étaient envisagés.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY plongeant de 0,44% pour se retrouver à 99,66 et l'USD/CHF glissant de 0,12% pour tomber à 0,9439.
La confédération helvète a pour sa part mesuré une érosion de 0,01% des prix à la consommation au cours du mois passé, alors qu'une stagnation semblait probable après leur faux pas de 0,4% de juillet.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,21% pour monter à à,9141, le NZD/USD engrangeant 0,70% pour culminer à 0,7939 et l'USD/CAD régressant de 0,44% pour aller vers 1,0458.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,17% pour se situer à 82,54.
L'ombre d'une possible offensive des Etats-Unis contre le gouvernement syrien persistait, alors que leur parlement devrait se prononcer la semaine prochaine sur la proposition de tir de missiles du président Barack Obama.
Les chefs d'état du monde entier ont égalemennt mis la pression sur lui lors de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés en Russie afin de le persuader de ne pas engager une telle manoeuvre, afin d'éviter une flambée des cours qui pourrait mettre un frein à la relance mondiale.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la semaine avec leur décompte des postes non agricoles et le taux de chômage national, ainsi que le salaire horaire moyen.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,06% pour grimper à 1,3128.
La monnaie unique s'est cependant retrouvée fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré jeudi lors de la conférence de presse ayant suivi la prise de cap de cette dernière que sa politique monétaire demeurerait souple aussi longtemps que nécessaire, et que ses taux d'intérêt demeureraient à leur niveau actuel ou plus bas pour encore longtemps.
Les autorités de l'Allemagne ont aussi mis en relief à l'aube une diminution inattendue de l'excédent de la balance commerciale, depuis les 15,8 milliards d'euros après révision à la hausse jusqu'à 14,5 milliards pour juillet, alors que les experts tablaient sur 16,1 milliards pour la période considérée.
La livre sterling lui a par contre cédé du terrain, le GBP/USD trébuchant de 0,09% pour reprendre pied à 1,5576.
Il a en effet été montré que la production manufacturée nationale avait frémi de 0,2% en juillet, au lieu des 0,3% pressentis, en prolongement des 2% ayant précédé.
Une étude officielle a quand à elle signalé en début de journée que le pays avait enregistré une augmentation inattendue du déficit de son commerce extérieur, depuis les 8,17 milliards d'euros après révision à la baisse jusqu'à 9,85 milliards pour juillet, alors que les experts tablaient sur 8,15 milliards pour la période considérée.
La Banque d'Angleterre a aussi révélé que l'inflation attendue avait diminué des 3,6% du second trimestre à 3,2% pour le troisième.
Les coûts des logements ont également moins gonflé qu'attendu pour août, avec seulement 0,4% au lieu des 0,9% précédents, alors que 0,7% étaient envisagés.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY plongeant de 0,44% pour se retrouver à 99,66 et l'USD/CHF glissant de 0,12% pour tomber à 0,9439.
La confédération helvète a pour sa part mesuré une érosion de 0,01% des prix à la consommation au cours du mois passé, alors qu'une stagnation semblait probable après leur faux pas de 0,4% de juillet.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,21% pour monter à à,9141, le NZD/USD engrangeant 0,70% pour culminer à 0,7939 et l'USD/CAD régressant de 0,44% pour aller vers 1,0458.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,17% pour se situer à 82,54.
L'ombre d'une possible offensive des Etats-Unis contre le gouvernement syrien persistait, alors que leur parlement devrait se prononcer la semaine prochaine sur la proposition de tir de missiles du président Barack Obama.
Les chefs d'état du monde entier ont égalemennt mis la pression sur lui lors de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés en Russie afin de le persuader de ne pas engager une telle manoeuvre, afin d'éviter une flambée des cours qui pourrait mettre un frein à la relance mondiale.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la semaine avec leur décompte des postes non agricoles et le taux de chômage national, ainsi que le salaire horaire moyen.