Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, après que l'abandon par l'ancien ministre des finances Lawrence Summers de la course au poste de président de la Réserve Fédérale ait entraîné un large regain d'audace.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,44% pour se retrouver à 98,91.
Les cours sont en effet remontés après que M. Summers ait jeté l'éponge, apaisant l'angoisse d'un durcissement monétaire bien plus rapide de sa part que de celle de sa principale rivale, Janet Yellen.
Les observateurs guettaient aussi les conclusions de la réunion que la banque centrale des Etats-Unis tiendra mercredi, les piètres résultats économiques récemment enregistrés ayant semé le doute sur sa volonté de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,34% pour grimper à 1,3342, aux abords d'un sommet de trois semaines.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a pour sa part rappelé lors d'un discours à Berlin que la relance économique était encore "fragile" et que ses taux d'intérêt demeureraient à leur niveau actuel ou plus bas "pour encore longtemps".
Il était aussi à noter que les prix à la consommation au sein du bloc dont elle a la charge avaient augmenté de 1,3% d'une année sur l'autre le mois dernier, commee lors du précédent, conformément aux prédictions et aux premières estimations.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,33% pour se hisser à 1,5930, frôlant un sommet de huit mois.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,30% pour tomber à 0,9267.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 1,20% pour monter à 0,9356, le NZD/USD engrangeant 0,84% pour culminer à 0,8201 et l'USD/CAD régressant de 0,57% pour aller vers 1,0295.
La Westpac Banking Corporation avait auparavant fait savoir que son baromètre du moral des consommateurs avait subi une érosion depuis 116,6 vers 115,4 pour le troisième trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,37% pour se situer à 81,37.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur indice manufacturier de la région de New York, sans oublier le volume de la production industrielle et le taux d'utilisation des capacités.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,44% pour se retrouver à 98,91.
Les cours sont en effet remontés après que M. Summers ait jeté l'éponge, apaisant l'angoisse d'un durcissement monétaire bien plus rapide de sa part que de celle de sa principale rivale, Janet Yellen.
Les observateurs guettaient aussi les conclusions de la réunion que la banque centrale des Etats-Unis tiendra mercredi, les piètres résultats économiques récemment enregistrés ayant semé le doute sur sa volonté de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,34% pour grimper à 1,3342, aux abords d'un sommet de trois semaines.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a pour sa part rappelé lors d'un discours à Berlin que la relance économique était encore "fragile" et que ses taux d'intérêt demeureraient à leur niveau actuel ou plus bas "pour encore longtemps".
Il était aussi à noter que les prix à la consommation au sein du bloc dont elle a la charge avaient augmenté de 1,3% d'une année sur l'autre le mois dernier, commee lors du précédent, conformément aux prédictions et aux premières estimations.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,33% pour se hisser à 1,5930, frôlant un sommet de huit mois.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,30% pour tomber à 0,9267.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 1,20% pour monter à 0,9356, le NZD/USD engrangeant 0,84% pour culminer à 0,8201 et l'USD/CAD régressant de 0,57% pour aller vers 1,0295.
La Westpac Banking Corporation avait auparavant fait savoir que son baromètre du moral des consommateurs avait subi une érosion depuis 116,6 vers 115,4 pour le troisième trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,37% pour se situer à 81,37.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur indice manufacturier de la région de New York, sans oublier le volume de la production industrielle et le taux d'utilisation des capacités.