Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, profitant de nouvelles mitigées sur le front de l'emploi là où il a cours, après que les émettrices de ses homologue européen et britannique aient opté pour le statu quo.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,44% pour tomber à 1,3148.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a en effet déclaré lors de la conférence de presse ayant suivi la prise de cap de cette dernière que sa politique monétaire demeurerait souple aussi longtemps que nécessaire, et que ses taux d'intérêt demeureraient à leur niveau actuel pour encore longtemps, voire pourraient diminuer.
Elle a d'autre part revu ses projections pour 2013 à la hausse, estimant que le bloc devrait subir une érosion de 0,4%, au lieu des 0,6% pressentis en juin.
Elle avait comme prévu maintenu son taux directeur à 0,5%, son plus faible niveau de l'histoire.
Le département d'état au travail américain a pour sa part dénombré 9.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 28 août, pour un total hebdomadaire de 323.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 2.000 était espérée.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a quand à elle annoncé la création de 176.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois écoulé, alors que les experts en espéraient 180.000, contre 190.000 après révision à la baisse au cours du précédent.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,08% pour chuter à 1,5612.
La Banque d'Angleterre n'a surpris personne avec le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
Elle avait déjà réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,03% pour se hisser à 99,76 et l'USD/CHF grignotant 0,71% pour culminer à 0,9420.
La Banque du Japon a confirmé après deux jours de délibération qu'elle ajouterait annuellement 60 à 70 billions de JPY à la masse monétaire nationale.
Elle a aussi exprimé davantage d'optimisme au sujet de l'état de l'économie, estimant qu'une relance modeste se poursuivait.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,38% pour se retrouver à 0,9139, le NZD/USD se laissant arracher 0,19% pour toucher le fond à 0,7891 et l'USD/CAD se rétractait de 0,09% pour reprendre pied à 1,0486.
Il avait été signalé à l'aube que le commerce extérieur de l'Australie avait basculé sans crier gare d'un surplus de 240 à un déficit de 770 milions d'AUD pour juillet.
Les experts ne pensaient pourtant pas qu'il passerait au-dessous des 50 millions de solde positif pour la période considérée.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,38% pour se situer à 82,52.
La prudence restait de mise après que le comité sénatorial des affaires étrangères américain ait donné hier son aval à une résolution autorisant une intervention militaire limitée contre la Syrie, permettant ainsi de dégager la voie à un débat du sénat entier, qui devrait se prononcer sur la question à sa rentrée, le 9 septembre.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec le niveau de l'activité nationale hors industries.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,44% pour tomber à 1,3148.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a en effet déclaré lors de la conférence de presse ayant suivi la prise de cap de cette dernière que sa politique monétaire demeurerait souple aussi longtemps que nécessaire, et que ses taux d'intérêt demeureraient à leur niveau actuel pour encore longtemps, voire pourraient diminuer.
Elle a d'autre part revu ses projections pour 2013 à la hausse, estimant que le bloc devrait subir une érosion de 0,4%, au lieu des 0,6% pressentis en juin.
Elle avait comme prévu maintenu son taux directeur à 0,5%, son plus faible niveau de l'histoire.
Le département d'état au travail américain a pour sa part dénombré 9.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 28 août, pour un total hebdomadaire de 323.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 2.000 était espérée.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a quand à elle annoncé la création de 176.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois écoulé, alors que les experts en espéraient 180.000, contre 190.000 après révision à la baisse au cours du précédent.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,08% pour chuter à 1,5612.
La Banque d'Angleterre n'a surpris personne avec le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
Elle avait déjà réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,03% pour se hisser à 99,76 et l'USD/CHF grignotant 0,71% pour culminer à 0,9420.
La Banque du Japon a confirmé après deux jours de délibération qu'elle ajouterait annuellement 60 à 70 billions de JPY à la masse monétaire nationale.
Elle a aussi exprimé davantage d'optimisme au sujet de l'état de l'économie, estimant qu'une relance modeste se poursuivait.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,38% pour se retrouver à 0,9139, le NZD/USD se laissant arracher 0,19% pour toucher le fond à 0,7891 et l'USD/CAD se rétractait de 0,09% pour reprendre pied à 1,0486.
Il avait été signalé à l'aube que le commerce extérieur de l'Australie avait basculé sans crier gare d'un surplus de 240 à un déficit de 770 milions d'AUD pour juillet.
Les experts ne pensaient pourtant pas qu'il passerait au-dessous des 50 millions de solde positif pour la période considérée.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,38% pour se situer à 82,52.
La prudence restait de mise après que le comité sénatorial des affaires étrangères américain ait donné hier son aval à une résolution autorisant une intervention militaire limitée contre la Syrie, permettant ainsi de dégager la voie à un débat du sénat entier, qui devrait se prononcer sur la question à sa rentrée, le 9 septembre.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec le niveau de l'activité nationale hors industries.