Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents lors des transactions raréfiées ce vendredi, le spectre du plafond de surendettement des Etats-Unis reléguant au second plan le statu quo adopté par son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0,09% pour se hisser à 1,3542.
Le billet vert demeurait cependant sur la sellette après que la banque centrale des Etats-Unis se soit retenue mercredi de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a refusé de s'engager à procéder à un tour de vis dès cette année, rappelant que les orientations "n'étaient pas prédéterminées".
La nervosité était palpable alors que les élus démocrates et républicains doivent rapidement décider du futur du budget du gouvernement, en autorisant ou non un relèvement de sa capacité d'endettement maximale.
Si ils ne trouvent pas un terrain d'entente avec l'administration Obama pour aller dans cette direction, la trésorerie pourrait dépasser les 16,7 billions lui étant assignés, ce qui pourait mettre le pays en défaut.
Les résultats du scrutin législatif qui se déroulera dimanche en Allemagne seront aussi surveillés de près, la chancelière Angela Merkel briguant un troisième mandat.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,05% pour se hisser à 1,6040.
Une étude officielle avait auparavant révélé que les emprunts du secteur public britannique avaient moins augmenté le mois dernier qu'anticipé, gonflant de 11,5 milliards de GBP, après avoir connu un recul de 1,1% après révision en juillet, alors que les experts craignaient de le voir atteindre 12 milliards.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,12% pour se retrouver à 99,33 et l'USD/CHF glissant de 0,14% pour tomber à 0,9093.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, a quand à lui de nouveau exhorté à l'aube le gouvernement à reprendre les rênes de son budget, rappelant que des finances saines étaient "indispensables" pour une croissance durable.
Il n'a d'autre part guère offert lors de cette conférence à Tokyo d'indices sur la volonté de mettre en place de nouvelles mesures destinées à amoindrir l'impact de la remontée de la taxe sur la valeur ajoutée sur la relance nationale.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD sombrant de 0,16% pour fondre à 0,9425, le NZD/USD engrangeant 0,12% pour culminer à 0,8385 et l'USD/CAD progressant de 0,28% pour aller vers 1,0294.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,07% pour se situer à 80,42.
Le volume des transactions d' aujourd'hui semblait devoir rester minime, en l'absence de résultats économiques majeurs.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0,09% pour se hisser à 1,3542.
Le billet vert demeurait cependant sur la sellette après que la banque centrale des Etats-Unis se soit retenue mercredi de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a refusé de s'engager à procéder à un tour de vis dès cette année, rappelant que les orientations "n'étaient pas prédéterminées".
La nervosité était palpable alors que les élus démocrates et républicains doivent rapidement décider du futur du budget du gouvernement, en autorisant ou non un relèvement de sa capacité d'endettement maximale.
Si ils ne trouvent pas un terrain d'entente avec l'administration Obama pour aller dans cette direction, la trésorerie pourrait dépasser les 16,7 billions lui étant assignés, ce qui pourait mettre le pays en défaut.
Les résultats du scrutin législatif qui se déroulera dimanche en Allemagne seront aussi surveillés de près, la chancelière Angela Merkel briguant un troisième mandat.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,05% pour se hisser à 1,6040.
Une étude officielle avait auparavant révélé que les emprunts du secteur public britannique avaient moins augmenté le mois dernier qu'anticipé, gonflant de 11,5 milliards de GBP, après avoir connu un recul de 1,1% après révision en juillet, alors que les experts craignaient de le voir atteindre 12 milliards.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,12% pour se retrouver à 99,33 et l'USD/CHF glissant de 0,14% pour tomber à 0,9093.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, a quand à lui de nouveau exhorté à l'aube le gouvernement à reprendre les rênes de son budget, rappelant que des finances saines étaient "indispensables" pour une croissance durable.
Il n'a d'autre part guère offert lors de cette conférence à Tokyo d'indices sur la volonté de mettre en place de nouvelles mesures destinées à amoindrir l'impact de la remontée de la taxe sur la valeur ajoutée sur la relance nationale.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD sombrant de 0,16% pour fondre à 0,9425, le NZD/USD engrangeant 0,12% pour culminer à 0,8385 et l'USD/CAD progressant de 0,28% pour aller vers 1,0294.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,07% pour se situer à 80,42.
Le volume des transactions d' aujourd'hui semblait devoir rester minime, en l'absence de résultats économiques majeurs.