Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, et notamment conte son homologue nippon, dans le sillage du renforcement de l'assise du pouvoir japonais en place suite au dernier scrutin.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,57% pour se retrouver à 100,03, après avoir auparavant sombré jusqu'à 99,61.
La devise nippone a en effet repris des forces suite aux élections sénatoriales s'étant déroulées hier là où elle a cours, voyant la coalition formée autour du parti démocrate libéral d'établir une majorité ferme sur les deux chambres du parlement.
Celle-ci permettra à Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, de poursuivre ses réformes économiques destinées à donner un coup de fouet à la croissance et à lutter contre la déflation.
Son adversaire américain demeurait cependant populaire dans l'attente d'une diminution des perfusions d'argent frais de son émettrice d'ici la fin de l'année.
Les ministres des finances et les chefs des banques centrales du groupe des 20 pays les plus développés ont quand à eux mis en relief en fin de semaine l'iportance d'une transition "prudente" lors de la fermeture des robinets, afin que la volatilité des marchés résultante ne vienne pas perturber la reprise mondiale.
Ils ont estimé samedi que les prochains changements d'orientation dans la politique monétaire devraient être "mesurés avec précaution et expliqués avec pédagogie", sans oublier d'être "proportionnels" aux évolutions économiques.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,15% pour grimper à 1,3158.
La monnaie unique a retrouvé du mordant après que la président du Portugal ait exclu hier l'idée d'un passage aux urnes anticipé, malgré l'absence de consensus entre les dirigeants politiques concernant le respect du programme de sauvetage national.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling et au franc suisse, le GBP/USD prenant 0,11% pour se hisser à 1,5284, et l'USD/CHF glissant de 0,19% pour tomber à 0,9397.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,13% pour monter à 0,9191, le NZD/USD laissant échapper 0,19% pour toucher le fond à 0,7915 et l'USD/CAD régressant de 0,12% pour aller vers 1,0354.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,21% pour se situer à 82,56.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui des spécialistes fournir leurs informations concernant les ventes de logements d'occasion.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,57% pour se retrouver à 100,03, après avoir auparavant sombré jusqu'à 99,61.
La devise nippone a en effet repris des forces suite aux élections sénatoriales s'étant déroulées hier là où elle a cours, voyant la coalition formée autour du parti démocrate libéral d'établir une majorité ferme sur les deux chambres du parlement.
Celle-ci permettra à Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, de poursuivre ses réformes économiques destinées à donner un coup de fouet à la croissance et à lutter contre la déflation.
Son adversaire américain demeurait cependant populaire dans l'attente d'une diminution des perfusions d'argent frais de son émettrice d'ici la fin de l'année.
Les ministres des finances et les chefs des banques centrales du groupe des 20 pays les plus développés ont quand à eux mis en relief en fin de semaine l'iportance d'une transition "prudente" lors de la fermeture des robinets, afin que la volatilité des marchés résultante ne vienne pas perturber la reprise mondiale.
Ils ont estimé samedi que les prochains changements d'orientation dans la politique monétaire devraient être "mesurés avec précaution et expliqués avec pédagogie", sans oublier d'être "proportionnels" aux évolutions économiques.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,15% pour grimper à 1,3158.
La monnaie unique a retrouvé du mordant après que la président du Portugal ait exclu hier l'idée d'un passage aux urnes anticipé, malgré l'absence de consensus entre les dirigeants politiques concernant le respect du programme de sauvetage national.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling et au franc suisse, le GBP/USD prenant 0,11% pour se hisser à 1,5284, et l'USD/CHF glissant de 0,19% pour tomber à 0,9397.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,13% pour monter à 0,9191, le NZD/USD laissant échapper 0,19% pour toucher le fond à 0,7915 et l'USD/CAD régressant de 0,12% pour aller vers 1,0354.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,21% pour se situer à 82,56.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui des spécialistes fournir leurs informations concernant les ventes de logements d'occasion.