Investing.com - Le dollar U.S. ne se laissait pas abattre face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, le volume des transactions demeurant réduit par les vacances d'été.
En première partie de séance européenne, il n'a presque pas fléchi devant le yen, l'USD/JPY laissant échapper 0,01% pour reprendre pied à 99,64, après avoir établi un plancher journalier à 99,15.
Il s'est en effet retrouvé sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité du marché des habitations aux Etats-Unis avait diminué sans crier gare en juin, étouffant les rumeurs de réduction des injections de liquidités de la Réserve Fédérale.
L'association nationale des agents immobiliers a ainsi révélé hier que les transactions concernant les logements d'occasion avaient plongé en juin de 1,2% pour un total annualisé de 5,08 millions de ventes, se maintenant cependant aux abords d'un pic de trois ans et demi.
Le gouvernement japonais avait pour sa part revu à l'aube pour juin ses projections économiques à la hausse la troisième fois d'affilée, déclarant que "certains domaines montrent des signes de relance durable".
Il a notamment souligné que les prix à la consommation étaient "en cours de stabilisation", laissant espérer un apaisement de la déflation.
L'euro a par contre fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,05% pour tomber à 1,3179.
La monnaie unique avait retrouvé du mordant après que Pedro Passos Coelho, premier ministre du Portugal, ait annoncé lundi le maintien en place du gouvernement actuel, après qu'un consensus entre les dirigeants politiques ait émergé concernant le respect du programme de sauvetage national se montant à 78 milliards d'euros.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,07% pour chuter à 1,5347, le franc suisse subissant aussi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,25% pour culminer à 0,9385.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été légèrement dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD arachant 0,01% pour se retrouver à 0,9240, le NZD/USD avançant de 0,17% pour culminer à 0,7984 et l'USD/CAD prenant 0,09% pour monter à 1,0341.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,09% pour se situer à 82,39.
En première partie de séance européenne, il n'a presque pas fléchi devant le yen, l'USD/JPY laissant échapper 0,01% pour reprendre pied à 99,64, après avoir établi un plancher journalier à 99,15.
Il s'est en effet retrouvé sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité du marché des habitations aux Etats-Unis avait diminué sans crier gare en juin, étouffant les rumeurs de réduction des injections de liquidités de la Réserve Fédérale.
L'association nationale des agents immobiliers a ainsi révélé hier que les transactions concernant les logements d'occasion avaient plongé en juin de 1,2% pour un total annualisé de 5,08 millions de ventes, se maintenant cependant aux abords d'un pic de trois ans et demi.
Le gouvernement japonais avait pour sa part revu à l'aube pour juin ses projections économiques à la hausse la troisième fois d'affilée, déclarant que "certains domaines montrent des signes de relance durable".
Il a notamment souligné que les prix à la consommation étaient "en cours de stabilisation", laissant espérer un apaisement de la déflation.
L'euro a par contre fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,05% pour tomber à 1,3179.
La monnaie unique avait retrouvé du mordant après que Pedro Passos Coelho, premier ministre du Portugal, ait annoncé lundi le maintien en place du gouvernement actuel, après qu'un consensus entre les dirigeants politiques ait émergé concernant le respect du programme de sauvetage national se montant à 78 milliards d'euros.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,07% pour chuter à 1,5347, le franc suisse subissant aussi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,25% pour culminer à 0,9385.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été légèrement dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD arachant 0,01% pour se retrouver à 0,9240, le NZD/USD avançant de 0,17% pour culminer à 0,7984 et l'USD/CAD prenant 0,09% pour monter à 1,0341.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,09% pour se situer à 82,39.