Investing.com - Le dollar U.S. était modérément en forme face à la plupart de l'opposition ce mardi après-midi, et notamment contre ses homologues européen et japonais, profitant des rumeurs persistantes de réductions des aides de son émettrice.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,17% pour tomber à 1,3170, aux abords d'une ornière de six semaines.
Il demeurait en effet fragilisé dans l'expectative d'une absence d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne après sa réunion de jeudi prochain.
Son adversaire gardait la corde en raison des rumeurs selon lesquelles la banque centrale des Etats-Unis pourrait effectuer un tour de vis le 18 septembre, à l'issue de son conseil d'orientation.
Les observateurs guettent pour vendredi leur rapport sur l'emploi hors agriculture, qui jouera probablement un rôle crucial dans sa prise de décision.
Il en allait de même avec le yen, bien que sa percée ait connu un coup de frein, l'USD/JPY grimpant de 0,23% pour se hisser à 99,55, après avoir établi un pic mensuel à 99,70.
Ce dernier avait eu lieu après qu'une agence de presse russe ait déclaré avoir détecté un lancement de missile dans la région de la Méditerranée, après quoi Israël a déclaré qu'il s'agissait d'un exercice de tir conjoint avec les forces Etats-Unis présentes dans la région.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,18% pour se limiter à 0,9361 après avoir culminé à 0,9376.
Le billet vert a par contre cédé moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,04% pour s'établir à 1,5602.
Cette dernière a regagné du mordant après qu'il ait été révélé que le domaine du bâtiment avait connu le mois dernier son expansion la plus marquée en six ans.
L'indice des directeurs des acquisitions du secteur de la contruction du Royaume-Uni, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS s'est ainsi élevé de 57,0 vers 59,1, alors que les experts ne s'attendaient pas à le voir dépasser 58,3.
Son équivalent industriel avait déjà montré hier une résurgence manufacturière jamais vue depuis 30 mois, alimentant là aussi des rumeurs de fermeture anticipée des vannes de la Banque d'Angleterre.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,72% pour se retrouver à 0,9041, le NZD/USD arrachant 0,05% pour frémir à 0,7812 et l'USD/CAD se rétractant de 0,33% pour descendre à 1,0514.
La première avait repris du poil de la bête après que la Réserve Bancaire d'Australie ait opté à l'aube pour le maintien de son taux directeur à son plancher historique de 2,5%, tout en continuant à ajuster ses actions en fonction des évolutions de l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,10% pour se situer à 82,38.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec des informations concernant le domaine industriel américain.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,17% pour tomber à 1,3170, aux abords d'une ornière de six semaines.
Il demeurait en effet fragilisé dans l'expectative d'une absence d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne après sa réunion de jeudi prochain.
Son adversaire gardait la corde en raison des rumeurs selon lesquelles la banque centrale des Etats-Unis pourrait effectuer un tour de vis le 18 septembre, à l'issue de son conseil d'orientation.
Les observateurs guettent pour vendredi leur rapport sur l'emploi hors agriculture, qui jouera probablement un rôle crucial dans sa prise de décision.
Il en allait de même avec le yen, bien que sa percée ait connu un coup de frein, l'USD/JPY grimpant de 0,23% pour se hisser à 99,55, après avoir établi un pic mensuel à 99,70.
Ce dernier avait eu lieu après qu'une agence de presse russe ait déclaré avoir détecté un lancement de missile dans la région de la Méditerranée, après quoi Israël a déclaré qu'il s'agissait d'un exercice de tir conjoint avec les forces Etats-Unis présentes dans la région.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,18% pour se limiter à 0,9361 après avoir culminé à 0,9376.
Le billet vert a par contre cédé moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,04% pour s'établir à 1,5602.
Cette dernière a regagné du mordant après qu'il ait été révélé que le domaine du bâtiment avait connu le mois dernier son expansion la plus marquée en six ans.
L'indice des directeurs des acquisitions du secteur de la contruction du Royaume-Uni, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS s'est ainsi élevé de 57,0 vers 59,1, alors que les experts ne s'attendaient pas à le voir dépasser 58,3.
Son équivalent industriel avait déjà montré hier une résurgence manufacturière jamais vue depuis 30 mois, alimentant là aussi des rumeurs de fermeture anticipée des vannes de la Banque d'Angleterre.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,72% pour se retrouver à 0,9041, le NZD/USD arrachant 0,05% pour frémir à 0,7812 et l'USD/CAD se rétractant de 0,33% pour descendre à 1,0514.
La première avait repris du poil de la bête après que la Réserve Bancaire d'Australie ait opté à l'aube pour le maintien de son taux directeur à son plancher historique de 2,5%, tout en continuant à ajuster ses actions en fonction des évolutions de l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,10% pour se situer à 82,38.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec des informations concernant le domaine industriel américain.