Investing.com - Le dollar U.S. était en repli face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, attendant pour après-demain les conclusions de la réunion de la banque centrale des Etats-Unis, après qu'il ait été montré que les prix proposés à leurs particuliers avaient moins augmenté que prévu pour le mois dernier.
En seconde partie de séance européenne, le yen a toutefois à peine fléchi devant lui, l'USD/JPY s'élevant de 0,09% pour se retrouver à 99,16.
La nervosité était palpable à deux jours de la prise de cap de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles.
Les cours n'ont cependant guère varié après qu'il ait été noté que les prix à la consommation américains avaient augmenté de 0,1% en août, alors que 0,2% étaient anticipés.
Ils ont du coup limité leur ascennsion annualisée à 1,5% au lieu des 1,6% qui semblaient probables.
Les produits de base ont aussi frémi de 0,1%, pour une inflation de 1,8% à l'année, conforément aux prédictions.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,21% pour grimper à 1,3361.
Ce dernier avait retrouvé des couleurs après qu'il ait été montré que l'humeur concernant l'économie de l'Allemagne avait atteint ce mois-ci son eilleur niveau depuis avril 2010.
Le centre de recherches économiques ZEW a ainsi constaté une hausse de son baromètre du moral économique allemand des 42,0 d'août vers 49,6, sur fond de perspectives régionales en bonne voie, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 46,0.
Le billet vert s'est contenté de limiter les dégâts contre la livre sterling, le GBP/USD effectuant un saut de puce de 0,01% pour s'établir à 1,5899, quittant toutefois un piédestal de presque huit mois après qu'un ralentissement sans surprise de l'augmentations des coûts au détail depuis les 2,8% d'une année sur l'autre enregistrés en juillet vers 2,7% ait été mis en relief pour le mois dernier.
Il a tout de même moins bien résisté au franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,15% pour tomber à 0,9260.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise, et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,36% pour monter à 0,9351, le NZD/USD engrangeant 0,54% pour culminer à 0,8214 et l'USD/CAD régressant de 0,12% pour aller vers 1,0311.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie avait montré à l'aube qu'elle comptait demeurer souple, et qu'aucune action urgente n'étaiit envisagée de sa part, estiant qu'une poursuite de sa dépréciation "aiderait" l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,14% pour se situer à 81,31.
En seconde partie de séance européenne, le yen a toutefois à peine fléchi devant lui, l'USD/JPY s'élevant de 0,09% pour se retrouver à 99,16.
La nervosité était palpable à deux jours de la prise de cap de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles.
Les cours n'ont cependant guère varié après qu'il ait été noté que les prix à la consommation américains avaient augmenté de 0,1% en août, alors que 0,2% étaient anticipés.
Ils ont du coup limité leur ascennsion annualisée à 1,5% au lieu des 1,6% qui semblaient probables.
Les produits de base ont aussi frémi de 0,1%, pour une inflation de 1,8% à l'année, conforément aux prédictions.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,21% pour grimper à 1,3361.
Ce dernier avait retrouvé des couleurs après qu'il ait été montré que l'humeur concernant l'économie de l'Allemagne avait atteint ce mois-ci son eilleur niveau depuis avril 2010.
Le centre de recherches économiques ZEW a ainsi constaté une hausse de son baromètre du moral économique allemand des 42,0 d'août vers 49,6, sur fond de perspectives régionales en bonne voie, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 46,0.
Le billet vert s'est contenté de limiter les dégâts contre la livre sterling, le GBP/USD effectuant un saut de puce de 0,01% pour s'établir à 1,5899, quittant toutefois un piédestal de presque huit mois après qu'un ralentissement sans surprise de l'augmentations des coûts au détail depuis les 2,8% d'une année sur l'autre enregistrés en juillet vers 2,7% ait été mis en relief pour le mois dernier.
Il a tout de même moins bien résisté au franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,15% pour tomber à 0,9260.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise, et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,36% pour monter à 0,9351, le NZD/USD engrangeant 0,54% pour culminer à 0,8214 et l'USD/CAD régressant de 0,12% pour aller vers 1,0311.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie avait montré à l'aube qu'elle comptait demeurer souple, et qu'aucune action urgente n'étaiit envisagée de sa part, estiant qu'une poursuite de sa dépréciation "aiderait" l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,14% pour se situer à 81,31.