Investing.com - Le dollar U.S. restait dans une forme mitigée face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, dans l'expectative des chiffres provenant d'où il a cours, avec le bruit de fond du flou sur le moment où son émettrice limitera ses coups de pouce.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY sombrant de 0,40% pour reprendre pied à 99,86, se retrouvant dans une ornière journalière dans le sillage des prises de bénéfices dûes à son rebond d'hier.
Il avait pourtant repris des couleurs après qu'il ait été montré hier que les nombre des transactions sur le marché des habitations nouvelles des Etats-Unis avait été le plus grand en cinq ans le mois passé.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,06% pour tomber à 1,3192.
Il avait auparavant été signalé que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,22% pour chuter à 1,5280.
La devise de la Grande-Bretagne avait pourtant repris du poil de la bête après qu'il ait été constaté que la croissance économique britannique s'était sans surprise élevée à 1,4% annualisés au second trimestre.
Elle s'était contentée de 0,3% lors du premier.
Elle a aussi réalisé comme prévu une expansion trimestrielle de 0,6%, améliorant là encore les 0,3% précédents.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,07% pour culminer à 0,9380.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousines australienne, mais pas la néo-zélandaise, ni la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,13% pour se retrouver à 0,9157, le NZD/USD arrachant 0,93% pour culminer à 0,8015 et l'USD/CAD laissant filer 0,08% pour couler à 1,0304.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait opté à l'aube pour le maintien de son taux d'intérêt directeur à 2,5%, mais laissé entendre qu'il pourrait être revu à la hausse au début de l'année prochaine.
Son gouverneur Graeme Wheeler a précisé: "Les coûts des emprunts devraient demeurer stables jusqu'à la fin de l'année, bien qu'une diminution des perfusions d'argent frais doivent diminuer un jour ou l'autre."
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,03% pour se situer à 82,40.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec le volume de leurs commandes de biens durables.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY sombrant de 0,40% pour reprendre pied à 99,86, se retrouvant dans une ornière journalière dans le sillage des prises de bénéfices dûes à son rebond d'hier.
Il avait pourtant repris des couleurs après qu'il ait été montré hier que les nombre des transactions sur le marché des habitations nouvelles des Etats-Unis avait été le plus grand en cinq ans le mois passé.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,06% pour tomber à 1,3192.
Il avait auparavant été signalé que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,22% pour chuter à 1,5280.
La devise de la Grande-Bretagne avait pourtant repris du poil de la bête après qu'il ait été constaté que la croissance économique britannique s'était sans surprise élevée à 1,4% annualisés au second trimestre.
Elle s'était contentée de 0,3% lors du premier.
Elle a aussi réalisé comme prévu une expansion trimestrielle de 0,6%, améliorant là encore les 0,3% précédents.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,07% pour culminer à 0,9380.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousines australienne, mais pas la néo-zélandaise, ni la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,13% pour se retrouver à 0,9157, le NZD/USD arrachant 0,93% pour culminer à 0,8015 et l'USD/CAD laissant filer 0,08% pour couler à 1,0304.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait opté à l'aube pour le maintien de son taux d'intérêt directeur à 2,5%, mais laissé entendre qu'il pourrait être revu à la hausse au début de l'année prochaine.
Son gouverneur Graeme Wheeler a précisé: "Les coûts des emprunts devraient demeurer stables jusqu'à la fin de l'année, bien qu'une diminution des perfusions d'argent frais doivent diminuer un jour ou l'autre."
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,03% pour se situer à 82,40.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec le volume de leurs commandes de biens durables.