Investing.com - Le dollar U.S. était moins en berne qu'à l'ouverture face à la plupart de ses concurrents ce lundi, le moral bénéficiant d'un coup de fouet dans le sillage de l'annoncé de l'attribution à Tokyo des jeux olympiques de 2020 et des bonnes nouvelles chinoises.
En fin de première partie de séance européenne, la valeur sûre du yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY empochant 0,37% pour se retrouver à 99,48, après avoir atteint 100,11.
Les refuges traditionnels se sont retrouvés sur la défensive, l'indice-phare nippon rebondissant en raison de l'idée selon laquelle les investissements et les chantiers destinés à préparer les rencontres sportives à venir aideront à mener l'archipel sur le chemin de la relance pour les prochaines années.
Il avait d'autre part été révélé à l'aube que l'économie du Japon avait connu une expansion de 0,9% au second trimestre, alors que seulement 0,6% étaient pressentis, pour l'amener à 3,8% annualisés, au lieu des 2,6% des premières évaluations.
Les beaux résultats du commerce extérieur de la Chine dévoilés dimanche ont aussi rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir d'un passage à vide, renforçant la propension à l'audace.
Les exportations nationales ont ainsi enflé de 7,2% d'une année sur l'autre en août, au lieu des 5,1% précédents, et les importations de 7%.
Il était d'autre part à noter que les prix à la consommation y avaient augmenté sans surprise de 2,6% dans le même temps.
Mais cette avancée demeurait entravée par les résultats décevants provenant du front de l'emploi américain, forçant une fois de plus les observateurs à revoir à la baisse les probabilités d'une réduction imminente des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,08% pour grimper à 1,3191.
Ce dernier avait retrouvé des couleurs après que l'institut de recherches économiques Sentix ait vu son baromètre de la confiance des investisseurs dans le bloc l'ayant adopté s'envoler de -4,9 vers 6,5 pour septembre, au lieu de se limiter à -2,8 comme pressenti.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,32% pour se hisser à 1,5680.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,07% pour tomber à 0,9367.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,15% pour monter à 0,9203, le NZD/USD engrangeant 0,03% pour culminer à 0,8003 et l'USD/CAD régressant de 0,29% pour aller vers 1,0381.
La première, fortement dépendante de la demande chinoise, profitait elle aussi des bonnes nouvelles régionales, au lendemain d'élections fédérales.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,07% pour se situer à 82,12.
En fin de première partie de séance européenne, la valeur sûre du yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY empochant 0,37% pour se retrouver à 99,48, après avoir atteint 100,11.
Les refuges traditionnels se sont retrouvés sur la défensive, l'indice-phare nippon rebondissant en raison de l'idée selon laquelle les investissements et les chantiers destinés à préparer les rencontres sportives à venir aideront à mener l'archipel sur le chemin de la relance pour les prochaines années.
Il avait d'autre part été révélé à l'aube que l'économie du Japon avait connu une expansion de 0,9% au second trimestre, alors que seulement 0,6% étaient pressentis, pour l'amener à 3,8% annualisés, au lieu des 2,6% des premières évaluations.
Les beaux résultats du commerce extérieur de la Chine dévoilés dimanche ont aussi rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir d'un passage à vide, renforçant la propension à l'audace.
Les exportations nationales ont ainsi enflé de 7,2% d'une année sur l'autre en août, au lieu des 5,1% précédents, et les importations de 7%.
Il était d'autre part à noter que les prix à la consommation y avaient augmenté sans surprise de 2,6% dans le même temps.
Mais cette avancée demeurait entravée par les résultats décevants provenant du front de l'emploi américain, forçant une fois de plus les observateurs à revoir à la baisse les probabilités d'une réduction imminente des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,08% pour grimper à 1,3191.
Ce dernier avait retrouvé des couleurs après que l'institut de recherches économiques Sentix ait vu son baromètre de la confiance des investisseurs dans le bloc l'ayant adopté s'envoler de -4,9 vers 6,5 pour septembre, au lieu de se limiter à -2,8 comme pressenti.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,32% pour se hisser à 1,5680.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,07% pour tomber à 0,9367.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,15% pour monter à 0,9203, le NZD/USD engrangeant 0,03% pour culminer à 0,8003 et l'USD/CAD régressant de 0,29% pour aller vers 1,0381.
La première, fortement dépendante de la demande chinoise, profitait elle aussi des bonnes nouvelles régionales, au lendemain d'élections fédérales.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,07% pour se situer à 82,12.