Investing.com - Le dollar U.S. était partagé face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, prenant l'avantage sur son homologue nippon grâce à la déceptionn de chiffres de la Chine, tandis que l'européen gardait la pèche grâce à de bonnes nouvelles.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,66% pour se hisser à 100,10, tablissant un pic journalier au passage.
Il a en effet été souligné à l'aube que la première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière chinoise établie par HSBC avait plongé depuis les 48,2 définitifs précédents vers 47,7 pour juillet, sa pire valeur en onze mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
Le billet vert avait retrouvé des couleurs après que les médiocres performances émanant des Etats-Unis aient étouffé les bruits évoquant resserrage les boulons de la part de la Réserve Fédérale.
Il était aussi à noter que le déficit du commerce extérieur du Japon s'était monté à 180,8 milliards de JPY ce mois-ci, l'affaiblissement de sa monnaie ayant tiré les coûts des importations vers le haut, celles-ci ayant bondi de 11,8% d'une année sur l'autre et les exportations de 7,8% sur une période identique.
Il n'en allait pas de mêem avec l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0,08% pour monter à 1,3235, aux abords d'un pic de cinq semaines.
La monnaie unique avait retrouvé du mordant après que l'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois en cours, grâce aux bonnes performances de la locomotive franco-allemande.
Cette bonnen nouvelle laissait du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
Celui des directeurs d'achat des industries germaniques avait ainsi bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant du coup les 49,2 espérés, alors que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
Ceux de la france sont respectivement passés de 48,4 à 49,8, établissant un sommet de 17 mois, et de 47,2 à 48,2 sur la même période.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le franc suisse subissant aussi sa pression, le GBP/USD glissant de 0,13% pour chuter à 1,5345 et l'USD/CHF grignotant 0,10% pour culminer à 0,9357.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,91% pour se retrouver à 0,9210, le NZD/USD se laissant arracher 0,44% pour toucher le fond à 0,7960 et l'USD/CAD prenant 0,05% pour s'établir à 1,0293.
Les deux premières se trouvaient affectées par l'angoisse d'une diminution de la demande de la Chine, leur premier partenaire commercial.
Les autorités de l'Australie avaient aussi révélé que les prix à la consommation nationaux avaient augmenté de 0,4% au second trimestre, comme lors du précédent, au lieu des 0,5% prédits, n'encourageant guère les rumeurs de nouvelle baisse des taux de la banque centrale du pays pour août.
Celles de la Nouvelle-Zélande ont d'autre part constaté une explosion inespérée de l'excédent du commerce extérieur, gonflant depuis 71 jusqu'à 414 milliards de NZD pour le mois dernier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,11% pour se situer à 82,17.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre de leurs ventes de logements neufs.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,66% pour se hisser à 100,10, tablissant un pic journalier au passage.
Il a en effet été souligné à l'aube que la première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière chinoise établie par HSBC avait plongé depuis les 48,2 définitifs précédents vers 47,7 pour juillet, sa pire valeur en onze mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
Le billet vert avait retrouvé des couleurs après que les médiocres performances émanant des Etats-Unis aient étouffé les bruits évoquant resserrage les boulons de la part de la Réserve Fédérale.
Il était aussi à noter que le déficit du commerce extérieur du Japon s'était monté à 180,8 milliards de JPY ce mois-ci, l'affaiblissement de sa monnaie ayant tiré les coûts des importations vers le haut, celles-ci ayant bondi de 11,8% d'une année sur l'autre et les exportations de 7,8% sur une période identique.
Il n'en allait pas de mêem avec l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0,08% pour monter à 1,3235, aux abords d'un pic de cinq semaines.
La monnaie unique avait retrouvé du mordant après que l'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois en cours, grâce aux bonnes performances de la locomotive franco-allemande.
Cette bonnen nouvelle laissait du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
Celui des directeurs d'achat des industries germaniques avait ainsi bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant du coup les 49,2 espérés, alors que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
Ceux de la france sont respectivement passés de 48,4 à 49,8, établissant un sommet de 17 mois, et de 47,2 à 48,2 sur la même période.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le franc suisse subissant aussi sa pression, le GBP/USD glissant de 0,13% pour chuter à 1,5345 et l'USD/CHF grignotant 0,10% pour culminer à 0,9357.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,91% pour se retrouver à 0,9210, le NZD/USD se laissant arracher 0,44% pour toucher le fond à 0,7960 et l'USD/CAD prenant 0,05% pour s'établir à 1,0293.
Les deux premières se trouvaient affectées par l'angoisse d'une diminution de la demande de la Chine, leur premier partenaire commercial.
Les autorités de l'Australie avaient aussi révélé que les prix à la consommation nationaux avaient augmenté de 0,4% au second trimestre, comme lors du précédent, au lieu des 0,5% prédits, n'encourageant guère les rumeurs de nouvelle baisse des taux de la banque centrale du pays pour août.
Celles de la Nouvelle-Zélande ont d'autre part constaté une explosion inespérée de l'excédent du commerce extérieur, gonflant depuis 71 jusqu'à 414 milliards de NZD pour le mois dernier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,11% pour se situer à 82,17.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre de leurs ventes de logements neufs.