Investing.com - Le dollar U.S. a subi un coup de pompe face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, son homologue du nord profitant de beaux résultats commerciaux là où il a cours.
En seconde partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,29% pour s'établir à 99,94, ayant atteint un pic journalier après avoir établi un plancher à 99,15.
Il s'est en effet retrouvé sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité du marché des habitations aux Etats-Unis avait diminué sans crier gare en juin, étouffant les rumeurs de réduction des injections de liquidités de la Réserve Fédérale.
Le gouvernement japonais avait pour sa part revu à l'aube pour juin ses projections économiques à la hausse la troisième fois d'affilée, déclarant que "certains domaines montrent des signes de relance durable".
Il a notamment souligné que les prix à la consommation étaient "en cours de stabilisation", laissant espérer un apaisement de la déflation.
L'euro a par contre redressé la barre, l'EUR/USD frémissant de 0,06% pour prendre pied à 1,3192.
Le volume des transactions demeurant cependant réduit par les vacances d'été.
Le billet vert a cependant gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,06% pour chuter à 1,5349, le franc suisse subissant aussi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,26% pour culminer à 0,9386.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs légèrement dominé sa cousine australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD se laissant arracher 0,06% pour se retrouver à 0,9243 et le NZD/USD avançant de 0,09% pour culminer à 0,7977.
La canadienne l'a par contre fait plonger dans une ornière de cinq semaines, l'USD/CAD fondant de 0,26% pour sombrer à 1,0306, après qu'il ait été montré par les autorités que les magasins du pays avaient nettement dépassé les prédictions en mai.
Statistics Canada a ainsi révélé que les ventes au détail nationales avaient bondi de 1,9% par rapport à avril, au lieu des 0,4% envisagés, celles de base ayant raflé 1,2%, alors que 0,1% étaient espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,09% pour se situer à 82,35.
En seconde partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,29% pour s'établir à 99,94, ayant atteint un pic journalier après avoir établi un plancher à 99,15.
Il s'est en effet retrouvé sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité du marché des habitations aux Etats-Unis avait diminué sans crier gare en juin, étouffant les rumeurs de réduction des injections de liquidités de la Réserve Fédérale.
Le gouvernement japonais avait pour sa part revu à l'aube pour juin ses projections économiques à la hausse la troisième fois d'affilée, déclarant que "certains domaines montrent des signes de relance durable".
Il a notamment souligné que les prix à la consommation étaient "en cours de stabilisation", laissant espérer un apaisement de la déflation.
L'euro a par contre redressé la barre, l'EUR/USD frémissant de 0,06% pour prendre pied à 1,3192.
Le volume des transactions demeurant cependant réduit par les vacances d'été.
Le billet vert a cependant gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,06% pour chuter à 1,5349, le franc suisse subissant aussi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,26% pour culminer à 0,9386.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs légèrement dominé sa cousine australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD se laissant arracher 0,06% pour se retrouver à 0,9243 et le NZD/USD avançant de 0,09% pour culminer à 0,7977.
La canadienne l'a par contre fait plonger dans une ornière de cinq semaines, l'USD/CAD fondant de 0,26% pour sombrer à 1,0306, après qu'il ait été montré par les autorités que les magasins du pays avaient nettement dépassé les prédictions en mai.
Statistics Canada a ainsi révélé que les ventes au détail nationales avaient bondi de 1,9% par rapport à avril, au lieu des 0,4% envisagés, celles de base ayant raflé 1,2%, alors que 0,1% étaient espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,09% pour se situer à 82,35.