Investing.com - Le dollar U.S. avait un peu moins la forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, à l'approche imminente du témoignage crucial devant le congrès du chef de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a moins fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,08% pour tomber à 1,3153.
Le billet vert demeurait sur la sellette, alors que les observateurs guettaient l'intervention semestrielle de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, au sujet de sa politique monétaire, sur fond de rumeurs sur le moment où débuterait une éventuelle diminution de ses 85 milliards d'USD rachats mensuels.
Celui-ci avait perdu des plumes après qu'il ait rappelé la semaine passée que l'économie américaine nécessitait le maintien des aides en place.
Il répètera vraisemblablement qu'elles pourraient être réduites d'ici la fin de l'année en cas d'accélération de la relance, mais que les taux d'intérêt demeureront à leur plus bas niveaux historiques aussi loin que les projections puissent porter.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD avançant de 0,33% pour s'élever à 1,5206.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des couleurs après que le procès-verbal de la dernière réunion de son émettrice ait montré que ses décideurs avaient opté unanimement pour le statu quo.
Les deux membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre qui avaient auparavant voté pour davantage de coups de pouces les estimaient cependant toujours "nécessaires".
Le bureau britannique des statistiques avait pour sa part ainsi dénombré 21.200 demandeurs d'emploi inscrits de moins après ajustement saisonnier puor juin, au lieu des 8.000 pressentis.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,54% pour se hisser à 99,62.
Le compte-rendu détaillé de la dernière réunion de la Banque du Japon avait fait savoir à l'aube que l'économie nippone devrait retrouver le chemin d'une reprise modérée, insistant sur le fait que ses apports de capitaux se prolongeraient aussi longtemps que nécessaire.
Le franc suisse a par contre exercé sa pression, l'USD/CHF trébuchant de 0,06% pour se replier à 0,9383.
Le baromètre des attentes helvètes établi par le centre de recherches économiques ZEW est quand à lui remonté depuis 2,2 vers 4,8 pour juin, une légère déception au vu des 6,0 attendus.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs largement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,46% pour se retrouver à 0,9207, le NZD/USD se laissant arracher 0,47% pour toucher le fond à 0,7855 et l'USD/CAD prenant 0,27% pour monter à 1,0395.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,10% pour se situer à 82,71.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés ainsi qu'avec celui des lancements de chantiers, tandis que leur banque centrale diffusera son livre beige.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a moins fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,08% pour tomber à 1,3153.
Le billet vert demeurait sur la sellette, alors que les observateurs guettaient l'intervention semestrielle de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, au sujet de sa politique monétaire, sur fond de rumeurs sur le moment où débuterait une éventuelle diminution de ses 85 milliards d'USD rachats mensuels.
Celui-ci avait perdu des plumes après qu'il ait rappelé la semaine passée que l'économie américaine nécessitait le maintien des aides en place.
Il répètera vraisemblablement qu'elles pourraient être réduites d'ici la fin de l'année en cas d'accélération de la relance, mais que les taux d'intérêt demeureront à leur plus bas niveaux historiques aussi loin que les projections puissent porter.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD avançant de 0,33% pour s'élever à 1,5206.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des couleurs après que le procès-verbal de la dernière réunion de son émettrice ait montré que ses décideurs avaient opté unanimement pour le statu quo.
Les deux membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre qui avaient auparavant voté pour davantage de coups de pouces les estimaient cependant toujours "nécessaires".
Le bureau britannique des statistiques avait pour sa part ainsi dénombré 21.200 demandeurs d'emploi inscrits de moins après ajustement saisonnier puor juin, au lieu des 8.000 pressentis.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,54% pour se hisser à 99,62.
Le compte-rendu détaillé de la dernière réunion de la Banque du Japon avait fait savoir à l'aube que l'économie nippone devrait retrouver le chemin d'une reprise modérée, insistant sur le fait que ses apports de capitaux se prolongeraient aussi longtemps que nécessaire.
Le franc suisse a par contre exercé sa pression, l'USD/CHF trébuchant de 0,06% pour se replier à 0,9383.
Le baromètre des attentes helvètes établi par le centre de recherches économiques ZEW est quand à lui remonté depuis 2,2 vers 4,8 pour juin, une légère déception au vu des 6,0 attendus.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs largement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,46% pour se retrouver à 0,9207, le NZD/USD se laissant arracher 0,47% pour toucher le fond à 0,7855 et l'USD/CAD prenant 0,27% pour monter à 1,0395.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,10% pour se situer à 82,71.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés ainsi qu'avec celui des lancements de chantiers, tandis que leur banque centrale diffusera son livre beige.