Investing.com - Le dollar U.S. était dans forme très mitigée face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, sur fond d'incrédulité concernant la possibilité d'une fermeture des vannes de son émettrice, tandis que son homologue européen subissait des résultats peu réjouissants là où il a cours.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY dérapant de 0,61% pour glisser à 99,28.
Il se trouvait en effet toujours plombé par la déception causée par des créations de postes américaines inférieures aux espérances pour le mois passé.
Celle-ci n'en rendait que plus farfelue l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD de rachats d'actifs mensuels dès sa réunion de la semaine prochaine.
C'était le contraire avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,13% pour tomber à 1,3291.
Il avait été auparavant signalé que la production industrielle du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une déconvenue de 1,5% en juillet, dépassant nettement les 0,1% envisagés, portant son érosion annuelle à 2,1% au lieu des 0,1% dé&jà redoutés.
Cette contre-performance a du coup renforcé les doutes sur la relance de la région, alors que le chef de son autorité monétaire avait déclaré la semaine passée que sa politique monétaire demeurerait aussi assouplie qu'il faudrait pour l'alimenter.
Le billet vert a toutefois cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, qui s'accrochait à un pic de sept mois, le GBP/USD frémissant de 0,03% pour s'élever à 1,5822.
Celle-ci a retrouvé du poil de la bête après que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré devant le comité parlementaire de trésorerie que l'économie commençait à se remettre, grâce à son programme de soutien.
Le franc suisse a bien résisté à sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,02% pour culminer à 0,9307.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,85% pour se retrouver à 0,9249, le NZD/USD arrachant 0,92% pour culminer à 0,8155 et l'USD/CAD prenant 0,03% pour monter à 1,0322.
La première a perdu des plumes après qu'une étude officielle ait révélé à l'aube que 10.800 postes avaient été supprimés an Australie au cours du mois passé, et que le taux de chômage avait du coup gonflé depuis 5,7 vers 5,8% sur la même période.
La seconde a par contre retrouvé des couleurs après que la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande ait maintenu son taux d'intérêt à 2,5%, tout en précisant qu'il devrait probablement être remonté l'an prochain.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,01% pour se situer à 81,72.
Les observateurs guettaient désormais le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY dérapant de 0,61% pour glisser à 99,28.
Il se trouvait en effet toujours plombé par la déception causée par des créations de postes américaines inférieures aux espérances pour le mois passé.
Celle-ci n'en rendait que plus farfelue l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD de rachats d'actifs mensuels dès sa réunion de la semaine prochaine.
C'était le contraire avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,13% pour tomber à 1,3291.
Il avait été auparavant signalé que la production industrielle du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une déconvenue de 1,5% en juillet, dépassant nettement les 0,1% envisagés, portant son érosion annuelle à 2,1% au lieu des 0,1% dé&jà redoutés.
Cette contre-performance a du coup renforcé les doutes sur la relance de la région, alors que le chef de son autorité monétaire avait déclaré la semaine passée que sa politique monétaire demeurerait aussi assouplie qu'il faudrait pour l'alimenter.
Le billet vert a toutefois cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, qui s'accrochait à un pic de sept mois, le GBP/USD frémissant de 0,03% pour s'élever à 1,5822.
Celle-ci a retrouvé du poil de la bête après que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré devant le comité parlementaire de trésorerie que l'économie commençait à se remettre, grâce à son programme de soutien.
Le franc suisse a bien résisté à sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,02% pour culminer à 0,9307.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,85% pour se retrouver à 0,9249, le NZD/USD arrachant 0,92% pour culminer à 0,8155 et l'USD/CAD prenant 0,03% pour monter à 1,0322.
La première a perdu des plumes après qu'une étude officielle ait révélé à l'aube que 10.800 postes avaient été supprimés an Australie au cours du mois passé, et que le taux de chômage avait du coup gonflé depuis 5,7 vers 5,8% sur la même période.
La seconde a par contre retrouvé des couleurs après que la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande ait maintenu son taux d'intérêt à 2,5%, tout en précisant qu'il devrait probablement être remonté l'an prochain.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,01% pour se situer à 81,72.
Les observateurs guettaient désormais le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis.