Investing.com - Le dollar U.S. ne faiblissait pas face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, mais sa tendance à l'embellie déclenchée par les rumeurs d'un tour de vis de la Réserve Fédérale découlant de la reprise américaine semblait devoir se perpétuer.
En seconde partie de séance européenne, le yen a encore fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,25% pour se hisser à 101,22, s'accrochant à un pic de six semaines.
Il avait en effet été montré la semaine passée que l'économie des Etats-Unis avait créé davantage de postes que prévu, confortant l'hypothèse d'une relance de leur marché du travail.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, avait affirmé le mois dernier que celle-ci envisageait de réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles avant que l'année soit achevée au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
L'euro a vu sa résistance faiblir, l'EUR/USD trébuchant de 0,10% pour s'établir à 1,2857.
La monnaie unique demeurait sur la défensive après que le chef de la Banque Centrale Européenne ait déclaré la semaine dernière qu'elle ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
Le billet vert a aussi gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,59% pour chuter à 1,4860, établissant un nouveau creux de quatre mois dans le sillage de la déception causée par le domaine secondaire où elle a cours, assombrissant les perspectives économiques.
La production manufacturée britannique a ainsi subi une érosion de 0,8% en mai, alors qu'un sursaut de 0,3% était espéré, tandis que celle des industries stagnait au lieu d'accomplir l'ascension de 0,2% espérée, dégringolant même de 2,3% d'une année sur l'autre.
Il était d'autre part à noter que le déficit du commerce extérieur du Royaume-Uni était passé de 8,43 à 8,49 milliards de GBP dans le même temps, au lieu de se limiter à 8,47 milliards.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,50% pour culminer à 0,9683.
Les autorités helvètes avaient révélé dans la matinée que les ventes au détail dans la confédération avaient gonflé de 1,8% annualisés pour le cinquième mois de l'année, dénotant cependant un net fléchissement par rapport aux 3,1% enregistrés en avril, alors que les économistes pressentaient une progression de 1,9%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,54% pour se retrouver à 0,9180, le NZD/USD s'élevant de 0,82% pour culminer à 0,7864 et l'USD/CAD laissant échapper 0,19% pour couler à 1,0538.
Les autorités chinoises avaient montré à l'aube que l'inflation natinale avait augmenté le mois passé plus vite qu'envisagé.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,12% pour se situer à 84,53.
Le groupe des ministres des finances de l'Union Européenne comptait quand à lui procéder aujourd'hui à de nouveaux pourparlers à Bruxelles.
En seconde partie de séance européenne, le yen a encore fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,25% pour se hisser à 101,22, s'accrochant à un pic de six semaines.
Il avait en effet été montré la semaine passée que l'économie des Etats-Unis avait créé davantage de postes que prévu, confortant l'hypothèse d'une relance de leur marché du travail.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, avait affirmé le mois dernier que celle-ci envisageait de réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles avant que l'année soit achevée au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
L'euro a vu sa résistance faiblir, l'EUR/USD trébuchant de 0,10% pour s'établir à 1,2857.
La monnaie unique demeurait sur la défensive après que le chef de la Banque Centrale Européenne ait déclaré la semaine dernière qu'elle ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
Le billet vert a aussi gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,59% pour chuter à 1,4860, établissant un nouveau creux de quatre mois dans le sillage de la déception causée par le domaine secondaire où elle a cours, assombrissant les perspectives économiques.
La production manufacturée britannique a ainsi subi une érosion de 0,8% en mai, alors qu'un sursaut de 0,3% était espéré, tandis que celle des industries stagnait au lieu d'accomplir l'ascension de 0,2% espérée, dégringolant même de 2,3% d'une année sur l'autre.
Il était d'autre part à noter que le déficit du commerce extérieur du Royaume-Uni était passé de 8,43 à 8,49 milliards de GBP dans le même temps, au lieu de se limiter à 8,47 milliards.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,50% pour culminer à 0,9683.
Les autorités helvètes avaient révélé dans la matinée que les ventes au détail dans la confédération avaient gonflé de 1,8% annualisés pour le cinquième mois de l'année, dénotant cependant un net fléchissement par rapport aux 3,1% enregistrés en avril, alors que les économistes pressentaient une progression de 1,9%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,54% pour se retrouver à 0,9180, le NZD/USD s'élevant de 0,82% pour culminer à 0,7864 et l'USD/CAD laissant échapper 0,19% pour couler à 1,0538.
Les autorités chinoises avaient montré à l'aube que l'inflation natinale avait augmenté le mois passé plus vite qu'envisagé.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,12% pour se situer à 84,53.
Le groupe des ministres des finances de l'Union Européenne comptait quand à lui procéder aujourd'hui à de nouveaux pourparlers à Bruxelles.