Investing.com - Le dollar U.S. n'a pas réussi à garder l'avantage face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, alors que les observateurs méditaient les conséquences du statu quo adopté la semaine passée par son émettrice.
En seconde partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,54% pour se retrouver à 98,82.
Le billet vert demeurait suur la sellette après que la Réserve Fédérale ait déclaré qu'elle souhaitait attendre encore pour tâcher d'obtenir des preuves tangibles que l'économie se consolide sur le long terme avant d'ajuster le volume des injections de capitaux.
Cette nouvelle a surpris les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle les réduirait de 10 à 15 milliards.
Il a cependant repris du poil de la bête après que James Bullard, président de la réserve fédérale de Saint Louis, ait révélé que cette option attentiste avait été choisie "de justesse", et rappelé qu'il n'était pas exclu que le contraire ait lieu le mois prochain.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD se rétractant de 0,05% pour reprendre pied à 1,3516.
Ce dernier s'est retrouvé dans une ornière journalière après que les résultats du domaine secondaire du bloc où il a cours aient déçu, bien que le tertiaire ait marqué des points.
L'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier y est ainsi passé des 51,4 définitifs d'août à 51,1, au lieu des 51,8 anticipés.
Celui des services ne suivait cependant pas le même chemin, passant de 50,7 à 52,1 dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 51,1 semblait probable.
Le premier de ces baromètres correspondants de l'Allemagne se rétractait pour sa part depuis 51,8 jusqu'à 51,3, prenant à revers ceux espérant un sursaut à 52,2.
Le second a par contre accéléré de 52,8 vers 54,4, sa meilleure valeur en quatre mois, dépassant largement les 53,1 attendus.
La monnaie unique a cependant retrouvé des couleurs après que le parti de la chancelière sortante Angela Merkel ait assuré à cette dernière un troisième mandat consécutif historique à l'issue des élections législatives d'hier, les chefs des différentes factions devant se rencontrer sous peu afin d'évoquer les coalitions possibles.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,28% pour se hisser à 1,6049, aux alentours d'un sommet journalier.
Il a d'autre part fait à peine mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF frémissant de 0,04% pour prendre pied à 0,9111.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,44% pour monter à 0,9437, le NZD/USD engrangeant 0,20% pour culminer à 0,8378 et l'USD/CAD régressant de 0,14% pour aller vers 1,0292.
La devise de l'Australie est remontée après que la Chine, son principal partenaire commercial, ait vu à l'aube l'estimation préalable du baromètre de ses industries établi par la banque HSBC s'élever depuis 50,1 vers 51,2 pour ce mois-ci.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 50,9.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui 0,05% pour se situer à 80,50.
En seconde partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,54% pour se retrouver à 98,82.
Le billet vert demeurait suur la sellette après que la Réserve Fédérale ait déclaré qu'elle souhaitait attendre encore pour tâcher d'obtenir des preuves tangibles que l'économie se consolide sur le long terme avant d'ajuster le volume des injections de capitaux.
Cette nouvelle a surpris les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle les réduirait de 10 à 15 milliards.
Il a cependant repris du poil de la bête après que James Bullard, président de la réserve fédérale de Saint Louis, ait révélé que cette option attentiste avait été choisie "de justesse", et rappelé qu'il n'était pas exclu que le contraire ait lieu le mois prochain.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD se rétractant de 0,05% pour reprendre pied à 1,3516.
Ce dernier s'est retrouvé dans une ornière journalière après que les résultats du domaine secondaire du bloc où il a cours aient déçu, bien que le tertiaire ait marqué des points.
L'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier y est ainsi passé des 51,4 définitifs d'août à 51,1, au lieu des 51,8 anticipés.
Celui des services ne suivait cependant pas le même chemin, passant de 50,7 à 52,1 dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 51,1 semblait probable.
Le premier de ces baromètres correspondants de l'Allemagne se rétractait pour sa part depuis 51,8 jusqu'à 51,3, prenant à revers ceux espérant un sursaut à 52,2.
Le second a par contre accéléré de 52,8 vers 54,4, sa meilleure valeur en quatre mois, dépassant largement les 53,1 attendus.
La monnaie unique a cependant retrouvé des couleurs après que le parti de la chancelière sortante Angela Merkel ait assuré à cette dernière un troisième mandat consécutif historique à l'issue des élections législatives d'hier, les chefs des différentes factions devant se rencontrer sous peu afin d'évoquer les coalitions possibles.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,28% pour se hisser à 1,6049, aux alentours d'un sommet journalier.
Il a d'autre part fait à peine mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF frémissant de 0,04% pour prendre pied à 0,9111.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,44% pour monter à 0,9437, le NZD/USD engrangeant 0,20% pour culminer à 0,8378 et l'USD/CAD régressant de 0,14% pour aller vers 1,0292.
La devise de l'Australie est remontée après que la Chine, son principal partenaire commercial, ait vu à l'aube l'estimation préalable du baromètre de ses industries établi par la banque HSBC s'élever depuis 50,1 vers 51,2 pour ce mois-ci.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 50,9.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui 0,05% pour se situer à 80,50.