Investing.com - Le dollar U.S. était en assez bonne forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, les rumeurs de réduction prochaine des injections de son émettrice n'ayant pas été étouffées par les propos tenus hier par son chef.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,13% pour tomber à 1,3108.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet rappelé lors de son audition semestrielle devant le congrès qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,60% pour se hisser à 100,15, aux abords d'un sommet du jour.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling et au franc suisse, le GBP/USD glissant de 0,21% pour chuter à 1,5179 et l'USD/CHF grignotant 0,19% pour culminer à 0,9426.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,82% pour se retrouver à 0,9161, le NZD/USD se laissant arracher 0,44% pour toucher le fond à 0,7871 et l'USD/CAD prenant 0,23% pour monter à 1,0428.
La première s'est a perdu des plumes après que la National Australia Bank ait fait savoir à l'aube que son baromètre de la confiance dans les entreprises était passé de 2 à -1 au cours du second trimestre.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a aussi souligné que son indice des signaux économiques prévisionnels avait stagné en mai, après avoir pourtant frémi de 0,3% le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,19% pour se situer à 82,94.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec les chiffres de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,13% pour tomber à 1,3108.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet rappelé lors de son audition semestrielle devant le congrès qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,60% pour se hisser à 100,15, aux abords d'un sommet du jour.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling et au franc suisse, le GBP/USD glissant de 0,21% pour chuter à 1,5179 et l'USD/CHF grignotant 0,19% pour culminer à 0,9426.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,82% pour se retrouver à 0,9161, le NZD/USD se laissant arracher 0,44% pour toucher le fond à 0,7871 et l'USD/CAD prenant 0,23% pour monter à 1,0428.
La première s'est a perdu des plumes après que la National Australia Bank ait fait savoir à l'aube que son baromètre de la confiance dans les entreprises était passé de 2 à -1 au cours du second trimestre.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a aussi souligné que son indice des signaux économiques prévisionnels avait stagné en mai, après avoir pourtant frémi de 0,3% le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,19% pour se situer à 82,94.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec les chiffres de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie.