Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, les observateurs retenant leur souffle à l'approche de la publication du procès-verbal du dernier conseil de direction de la banque centrale américaine, ainsi que du discours de son chef qui suivra.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,30% pour grimper à 1,2817, s'extirpant d'une ornière de trois mois.
Le moral est en effet paradoxalement remonté suite à la déception causée par les résultats chinois du jour, alimentant les rumeurs de nouveaux assouplissements de la part de Pékin.
Les autorités de la Chine ont en effet montré à l'aube que les exportations avaient diminué sans crier gare d'une année sur l'autre en juin, ranimant le spectre d'un essoufflement de la reprise mondiale, les importations suivant le même chemin, mettant en relief un ralentissement de la demande nationale.
La monnaie unique restait sur la défensive après qu'un haut responsable de la Banque Centrale Européenne ait fait savoir hier que ses prévisions pour les évolutions futures s'étendaient aux-delà de 12 mois.
Les rumeurs de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale se trouvaient d'autre part étouffées, les yeux braqués sur le procès-verbal du dernier conseil de direction de la Réserve Fédérale devant être diffusé aujourd'hui, ainsi que sur les propos que son président Ben Bernanke tiendra ensuite.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,19% pour se hisser à 1,4890, échappant ainsi à un gouffre de trois ans.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée hier à son pire niveau depuis juin 2010 après que de médiocres résultats manufacturiers britanniques aient augmenté les probabilités de nouveaux coups de pouce de la part de la Banque d'Angleterre.
Il a d'autre part subi une forte pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 1,17% pour se retrouver à 99,95.
Il en était de même avec le franc suisse et l'USD/CHF glissant de 0,52% pour tomber à 0,9678.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, ais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,44% pour monter à 0,9215, le NZD/USD se rétractant de 0,01% pour toucher le fond à 0,7853 et l'USD/CAD régressant de 0,12% pour aller vers 1,0513.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,46% pour se situer à 84,47.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,30% pour grimper à 1,2817, s'extirpant d'une ornière de trois mois.
Le moral est en effet paradoxalement remonté suite à la déception causée par les résultats chinois du jour, alimentant les rumeurs de nouveaux assouplissements de la part de Pékin.
Les autorités de la Chine ont en effet montré à l'aube que les exportations avaient diminué sans crier gare d'une année sur l'autre en juin, ranimant le spectre d'un essoufflement de la reprise mondiale, les importations suivant le même chemin, mettant en relief un ralentissement de la demande nationale.
La monnaie unique restait sur la défensive après qu'un haut responsable de la Banque Centrale Européenne ait fait savoir hier que ses prévisions pour les évolutions futures s'étendaient aux-delà de 12 mois.
Les rumeurs de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale se trouvaient d'autre part étouffées, les yeux braqués sur le procès-verbal du dernier conseil de direction de la Réserve Fédérale devant être diffusé aujourd'hui, ainsi que sur les propos que son président Ben Bernanke tiendra ensuite.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,19% pour se hisser à 1,4890, échappant ainsi à un gouffre de trois ans.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée hier à son pire niveau depuis juin 2010 après que de médiocres résultats manufacturiers britanniques aient augmenté les probabilités de nouveaux coups de pouce de la part de la Banque d'Angleterre.
Il a d'autre part subi une forte pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 1,17% pour se retrouver à 99,95.
Il en était de même avec le franc suisse et l'USD/CHF glissant de 0,52% pour tomber à 0,9678.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, ais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,44% pour monter à 0,9215, le NZD/USD se rétractant de 0,01% pour toucher le fond à 0,7853 et l'USD/CAD régressant de 0,12% pour aller vers 1,0513.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,46% pour se situer à 84,47.