Investing.com - Le dollar U.S. a retrouvé de la vigueur face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, et notamment par rapport à son homologue nippon, grâce à un marché du travail émettant des signaux positifs.
En seconde partie de séance européenne, il a nettement moins fléchi devant le yen, l'USD/JPY dérapant de 0,28% pour glisser à 99,61, après avoir dégringolé jusqu'à 99,21.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 31.000 incriptions au chômage de mois au cours de la semaine achevée le 7 septembre, pour un total hebdomadaire de 293.000 après correction saisonnière, après les 323.000 de la précédente.
Il a cependant précisé que ce trou était dû à l'absence des décomptes de deux états, dont les enregistrement s'étaient trouvés perturbés par des mises à jour informatiques.
Il a encore creusé l'écart avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,26% pour tomber à 1,3274.
Il avait auparavant été signalé que la production industrielle du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une déconvenue de 1,5% en juillet, dépassant nettement les 0,1% envisagés, portant son érosion annuelle à 2,1% au lieu des 0,1% dé&jà redoutés.
Le billet vert a aussi fait céder la livre sterling, qui s'accrochait à un pic de sept mois, le GBP/USD reculant de 0,11% pour reprendre pied à 1,5800.
Celle-ci avait porutant retrouvé du poil de la bête après que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré devant le comité parlementaire de trésorerie que l'économie commençait à se remettre, grâce à son programme de soutien.
Le franc suisse a de nouveau subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,15% pour culminer à 0,9319.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,86% pour se retrouver à 0,9247, le NZD/USD arrachant 0,56% pour culminer à 0,8127 et l'USD/CAD prenant 0,03% pour monter à 1,0322.
La première a perdu des plumes après qu'une étude officielle ait révélé à l'aube que 10.800 postes avaient été supprimés an Australie au cours du mois passé, et que le taux de chômage avait du coup gonflé depuis 5,7 vers 5,8% sur la même période.
La seconde a par contre retrouvé des couleurs après que la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande ait maintenu son taux d'intérêt à 2,5%, tout en précisant qu'il devrait probablement être remonté l'an prochain.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,12% pour se situer à 81,81.
En seconde partie de séance européenne, il a nettement moins fléchi devant le yen, l'USD/JPY dérapant de 0,28% pour glisser à 99,61, après avoir dégringolé jusqu'à 99,21.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 31.000 incriptions au chômage de mois au cours de la semaine achevée le 7 septembre, pour un total hebdomadaire de 293.000 après correction saisonnière, après les 323.000 de la précédente.
Il a cependant précisé que ce trou était dû à l'absence des décomptes de deux états, dont les enregistrement s'étaient trouvés perturbés par des mises à jour informatiques.
Il a encore creusé l'écart avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,26% pour tomber à 1,3274.
Il avait auparavant été signalé que la production industrielle du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une déconvenue de 1,5% en juillet, dépassant nettement les 0,1% envisagés, portant son érosion annuelle à 2,1% au lieu des 0,1% dé&jà redoutés.
Le billet vert a aussi fait céder la livre sterling, qui s'accrochait à un pic de sept mois, le GBP/USD reculant de 0,11% pour reprendre pied à 1,5800.
Celle-ci avait porutant retrouvé du poil de la bête après que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré devant le comité parlementaire de trésorerie que l'économie commençait à se remettre, grâce à son programme de soutien.
Le franc suisse a de nouveau subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,15% pour culminer à 0,9319.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,86% pour se retrouver à 0,9247, le NZD/USD arrachant 0,56% pour culminer à 0,8127 et l'USD/CAD prenant 0,03% pour monter à 1,0322.
La première a perdu des plumes après qu'une étude officielle ait révélé à l'aube que 10.800 postes avaient été supprimés an Australie au cours du mois passé, et que le taux de chômage avait du coup gonflé depuis 5,7 vers 5,8% sur la même période.
La seconde a par contre retrouvé des couleurs après que la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande ait maintenu son taux d'intérêt à 2,5%, tout en précisant qu'il devrait probablement être remonté l'an prochain.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,12% pour se situer à 81,81.