Investing.com - Le dollar U.S. a consolidé ses positions face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, prenant l'avantage sur son homologue nippon grâce à la déceptionn de chiffres de la Chine, tandis que l'européen gardait la pèche grâce à des statistiques positives, l'oeil sur les chiffres américains dont l'arrivée était imminente.
En seconde partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,84% pour se hisser à 100,29, établissant un nouveau pic journalier au passage.
Il a en effet été souligné à l'aube que la première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière chinoise établie par HSBC avait plongé depuis les 48,2 définitifs précédents vers 47,7 pour juillet, sa pire valeur en onze mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
Le billet vert avait retrouvé des couleurs après que les médiocres performances émanant des Etats-Unis aient étouffé les bruits évoquant un resserrage les boulons de la part de la Réserve Fédérale dès cette année.
Il était aussi à noter que le déficit du commerce extérieur du Japon s'était monté à 180,8 milliards de JPY ce mois-ci, l'affaiblissement de sa monnaie ayant tiré les coûts des importations vers le haut, celles-ci ayant bondi de 11,8% d'une année sur l'autre et les exportations de 7,8% sur une période identique.
Il en allait pas de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD se rétractant de 0,06% pour descendre à 1,3218, s'éloignant ainsi d'un pic de cinq semaines établi ce matin à 1,3256.
La monnaie unique avait retrouvé du mordant après que l'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois en cours, grâce aux belles performances de la locomotive franco-allemande.
Cette bonne nouvelle laissait du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
Celui des directeurs d'achat des industries germaniques avait ainsi bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant du coup les 49,2 espérés, alors que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
Ceux de la france sont respectivement passés de 48,4 à 49,8, établissant un sommet de 17 mois, et de 47,2 à 48,2 sur la même période.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le franc suisse subissant aussi sa pression, le GBP/USD glissant de 0,28% pour chuter à 1,5325 et l'USD/CHF grignotant 0,29% pour culminer à 0,9375.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,96% pour se retrouver à 0,9207, le NZD/USD se laissant arracher 0,51% pour toucher le fond à 0,7955 et l'USD/CAD laissant échapper 0,05% pour s'établir à 1,0281.
Les deux premières se trouvaient affectées par l'angoisse d'une diminution de la demande de la Chine, leur premier partenaire commercial.
Les autorités de l'Australie avaient aussi révélé que les prix à la consommation nationaux avaient augmenté de 0,4% au second trimestre, comme lors du précédent, au lieu des 0,5% prédits, n'encourageant guère les rumeurs de nouvelle baisse des taux de la banque centrale du pays pour août.
Celles de la Nouvelle-Zélande ont d'autre part constaté une explosion inespérée de l'excédent du commerce extérieur, gonflant depuis 71 jusqu'à 414 milliards de NZD pour le mois dernier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,23% pour se situer à 82,28.
Les yeux étaient désormais tournés vers la divulgation imminente du nombre des ventes de logements neufs des Etats-Unis, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait déclaré la semaine passée que les perfusions d'argent frais de cette dernière dépendraient de l'état de santé de l'économie nationale.
En seconde partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,84% pour se hisser à 100,29, établissant un nouveau pic journalier au passage.
Il a en effet été souligné à l'aube que la première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière chinoise établie par HSBC avait plongé depuis les 48,2 définitifs précédents vers 47,7 pour juillet, sa pire valeur en onze mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
Le billet vert avait retrouvé des couleurs après que les médiocres performances émanant des Etats-Unis aient étouffé les bruits évoquant un resserrage les boulons de la part de la Réserve Fédérale dès cette année.
Il était aussi à noter que le déficit du commerce extérieur du Japon s'était monté à 180,8 milliards de JPY ce mois-ci, l'affaiblissement de sa monnaie ayant tiré les coûts des importations vers le haut, celles-ci ayant bondi de 11,8% d'une année sur l'autre et les exportations de 7,8% sur une période identique.
Il en allait pas de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD se rétractant de 0,06% pour descendre à 1,3218, s'éloignant ainsi d'un pic de cinq semaines établi ce matin à 1,3256.
La monnaie unique avait retrouvé du mordant après que l'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois en cours, grâce aux belles performances de la locomotive franco-allemande.
Cette bonne nouvelle laissait du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
Celui des directeurs d'achat des industries germaniques avait ainsi bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant du coup les 49,2 espérés, alors que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
Ceux de la france sont respectivement passés de 48,4 à 49,8, établissant un sommet de 17 mois, et de 47,2 à 48,2 sur la même période.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le franc suisse subissant aussi sa pression, le GBP/USD glissant de 0,28% pour chuter à 1,5325 et l'USD/CHF grignotant 0,29% pour culminer à 0,9375.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,96% pour se retrouver à 0,9207, le NZD/USD se laissant arracher 0,51% pour toucher le fond à 0,7955 et l'USD/CAD laissant échapper 0,05% pour s'établir à 1,0281.
Les deux premières se trouvaient affectées par l'angoisse d'une diminution de la demande de la Chine, leur premier partenaire commercial.
Les autorités de l'Australie avaient aussi révélé que les prix à la consommation nationaux avaient augmenté de 0,4% au second trimestre, comme lors du précédent, au lieu des 0,5% prédits, n'encourageant guère les rumeurs de nouvelle baisse des taux de la banque centrale du pays pour août.
Celles de la Nouvelle-Zélande ont d'autre part constaté une explosion inespérée de l'excédent du commerce extérieur, gonflant depuis 71 jusqu'à 414 milliards de NZD pour le mois dernier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,23% pour se situer à 82,28.
Les yeux étaient désormais tournés vers la divulgation imminente du nombre des ventes de logements neufs des Etats-Unis, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait déclaré la semaine passée que les perfusions d'argent frais de cette dernière dépendraient de l'état de santé de l'économie nationale.