Investing.com - Le dollar U.S. n'a pas craqué face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, avec le reflux de l'angoisse de frappes contre la Syrie, alors que son homologue britannique caracolait à un sommet de sept mois grâce à un sursaut sur le marché du travail là où elle a cours.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,30% pour se hisser à 1,5778, après avoir même atteint 1,5826, son plus haut niveau depuis février.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a ainsi vu la proportion des demandeurs d'emploi se résorber depuis 7,8 vers 7,7% en juillet, alors qu'une stagnation semblait au menu.
La Banque d'Angleterre avait réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Il a aussi noté 32.600 inscrits de moins, au lieu des 22.000 espérés.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,12% pour se retrouver à 100,26.
La valeur sûre de la devise nippone a en effet perdu des plumes après que le président américain Barack Obama ait accepté d'étudier la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous surveillance internationale, afin d'éviter une intervention militaire de sa part.
Le billet vert a également cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, l'EUR/USD gagnant 0,05% pour grimper à 1,3273.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,10% pour tomber à 0,9340.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas par l'australienne, l'AUD/USD se rétractant de 0,08% pour descendre à 0,9305, le NZD/USD engrangeant 0,04% pour culminer à 0,8071 et l'USD/CAD régressant de 0,07% pour aller vers 1,0341.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,07% pour se situer à 81,76.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,30% pour se hisser à 1,5778, après avoir même atteint 1,5826, son plus haut niveau depuis février.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a ainsi vu la proportion des demandeurs d'emploi se résorber depuis 7,8 vers 7,7% en juillet, alors qu'une stagnation semblait au menu.
La Banque d'Angleterre avait réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Il a aussi noté 32.600 inscrits de moins, au lieu des 22.000 espérés.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,12% pour se retrouver à 100,26.
La valeur sûre de la devise nippone a en effet perdu des plumes après que le président américain Barack Obama ait accepté d'étudier la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous surveillance internationale, afin d'éviter une intervention militaire de sa part.
Le billet vert a également cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, l'EUR/USD gagnant 0,05% pour grimper à 1,3273.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,10% pour tomber à 0,9340.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas par l'australienne, l'AUD/USD se rétractant de 0,08% pour descendre à 0,9305, le NZD/USD engrangeant 0,04% pour culminer à 0,8071 et l'USD/CAD régressant de 0,07% pour aller vers 1,0341.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,07% pour se situer à 81,76.