Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, sa popularité ayant été écornée par les propos tenus à nouveau hier par le chef de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,16% pour grimper à 1,3128.
Le billet vert demeurait cependant sur la sellette, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait rappelé hier que la politique monétaire demeurerait fortement assouplie, même en cas de diminution de ses injections de liquidités.
Il tenait ses propos lors du second jour de son audition semestrielle devant les élus du pays.
Une étude officielle avait aussi fait savoir à l'aube que les coûts de production de l'Allemagne avaient stagné le mois passé, alors qu'une érosion de 0,1% était pressentie, suite à celle de 0,3% enregistrée auparavant.
Il était d'autre part à noter que les prix des logements de l'Espagne s'étaient effondrés de 2,4% au second trimestre, aggravant les 0,8% du précédent.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,11% pour se hisser à 1,5241.
Les autorités britanniques avaient souligné ce matin que les emprunts nets contractés par le secteur public avaient moins diminué qu'attendu, en passant en juin de 12,8 à 10,2 milliards de GBP.
Les experts pensaient pourtant les voir fondre jusqu'à 9,5 milliards de GBP pour la période considérée.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,11% pour se retrouver à 100,30 et l'USD/CHF glissant de 0,22% pour tomber à 0,9426.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,13% pour monter à 0,9182, le NZD/USD engrangeant 0,63% pour culminer à 0,7951 et l'USD/CAD régressant de 0,02% pour aller vers 1,0374.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,21% pour se situer à 82,77.
Le volume des transactions d'aujourd'hui semblait toutefois devoir demeurer faible, en l'absence d'informations économiques majeures provenant des Etats-Unis.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,16% pour grimper à 1,3128.
Le billet vert demeurait cependant sur la sellette, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait rappelé hier que la politique monétaire demeurerait fortement assouplie, même en cas de diminution de ses injections de liquidités.
Il tenait ses propos lors du second jour de son audition semestrielle devant les élus du pays.
Une étude officielle avait aussi fait savoir à l'aube que les coûts de production de l'Allemagne avaient stagné le mois passé, alors qu'une érosion de 0,1% était pressentie, suite à celle de 0,3% enregistrée auparavant.
Il était d'autre part à noter que les prix des logements de l'Espagne s'étaient effondrés de 2,4% au second trimestre, aggravant les 0,8% du précédent.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,11% pour se hisser à 1,5241.
Les autorités britanniques avaient souligné ce matin que les emprunts nets contractés par le secteur public avaient moins diminué qu'attendu, en passant en juin de 12,8 à 10,2 milliards de GBP.
Les experts pensaient pourtant les voir fondre jusqu'à 9,5 milliards de GBP pour la période considérée.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,11% pour se retrouver à 100,30 et l'USD/CHF glissant de 0,22% pour tomber à 0,9426.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,13% pour monter à 0,9182, le NZD/USD engrangeant 0,63% pour culminer à 0,7951 et l'USD/CAD régressant de 0,02% pour aller vers 1,0374.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,21% pour se situer à 82,77.
Le volume des transactions d'aujourd'hui semblait toutefois devoir demeurer faible, en l'absence d'informations économiques majeures provenant des Etats-Unis.