Investing.com - Le dollar U.S. était en repli face à la plupart de ses concurrents ce mardi, la prudence restant de mise à la veille des conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a toutefois à peine fléchi devant lui, l'USD/JPY s'élevant de 0,08% pour se retrouver à 99,15.
La nervosité était palpable à la veille de la prise de cap de la banque centrale des Etats-Unis, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses d'injections de capitaux.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,21% pour grimper à 1,3361.
Ce dernier avait retrouvé des couleurs après que le centre de recherches économiques ZEW ait constaté une hausse de son baromètre du moral économique allemand des 42,0 d'août vers 49,6, sur fond de perspectives régionales en bonne voie, l'amenant à son meilleur niveau depuis avril 2010.
Le billet vert a par contre repris la main à la livre sterling, le GBP/USD se rétractant de 0,05% pour retrouver pied à 1,5890, quittant un piédestal de huit mois après qu'un ralentissement sans surprise de l'inflation au détail depuis les 2,8% d'une année sur l'autre enregistrés en juillet vers 2,7% ait été mis en relief pour le mois dernier.
Il a tout de même moins bien résisté au franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,19% pour tomber à 0,9256.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise, et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,21% pour monter à 0,9337, le NZD/USD engrangeant 0,30% pour culminer à 0,8194 et l'USD/CAD régressant de 0,05% pour aller vers 1,0318.
La première n'a pas flanché après que le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie ait montré à l'aube qu'elle comptait demeurer souple, et qu'aucune action urgente n'étaiit envisagée de sa part, estiant qu'une poursuite de sa dépréciation "aiderait" l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,15% pour se situer à 81,30.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les évolutions des prix proposés aux particuliers.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a toutefois à peine fléchi devant lui, l'USD/JPY s'élevant de 0,08% pour se retrouver à 99,15.
La nervosité était palpable à la veille de la prise de cap de la banque centrale des Etats-Unis, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses d'injections de capitaux.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,21% pour grimper à 1,3361.
Ce dernier avait retrouvé des couleurs après que le centre de recherches économiques ZEW ait constaté une hausse de son baromètre du moral économique allemand des 42,0 d'août vers 49,6, sur fond de perspectives régionales en bonne voie, l'amenant à son meilleur niveau depuis avril 2010.
Le billet vert a par contre repris la main à la livre sterling, le GBP/USD se rétractant de 0,05% pour retrouver pied à 1,5890, quittant un piédestal de huit mois après qu'un ralentissement sans surprise de l'inflation au détail depuis les 2,8% d'une année sur l'autre enregistrés en juillet vers 2,7% ait été mis en relief pour le mois dernier.
Il a tout de même moins bien résisté au franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,19% pour tomber à 0,9256.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise, et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,21% pour monter à 0,9337, le NZD/USD engrangeant 0,30% pour culminer à 0,8194 et l'USD/CAD régressant de 0,05% pour aller vers 1,0318.
La première n'a pas flanché après que le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie ait montré à l'aube qu'elle comptait demeurer souple, et qu'aucune action urgente n'étaiit envisagée de sa part, estiant qu'une poursuite de sa dépréciation "aiderait" l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,15% pour se situer à 81,30.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les évolutions des prix proposés aux particuliers.